Edit Thessalonique

comportent 3 éléments : les magistrats, les assemblées de citoyens, le Sénat A) Les magistrats 1) Les pouvoirs des magistrats (2 types) la potestas (autorité) : appartient à tous les magistrats. Droit de créer des règles au nom de la cité (un édit). Cet édit est valable pendant la durée du magistrat. Pouvoir de contrainte mineur (condamner a une amende ou gages). l’imperium : seuls titulaires, les magistrats supérieurs. Ils reçoivent par une loi spéciale l’imperium. Pouvoir de commandement militaire

qu’ils troublent l’ordre public romain. Constantin va se convertir au catholicisme à la fin de son règne, sur son lit de mort. En 313, l’édit de milan qui accorde à chacun la liberté de pratiquer la religion de son choix. En 380, c’est l’édit de Thessalonique qui fait du christianisme la religion d’état. Après Constantin tous les empereurs sont chrétien sauf un. L’église va faire au pouvoir romain en lui donnant une doctrine de l’évêque Eusèbe de Cesaret. Elle fonde 18 siècles plus tard le pouvoir des

biens de son mari. Le préteur va créer de nouvelle règles, plus souples, plus humaines, plus efficaces qui vont s’ajouter au droit civil ancien mais ils n’effacent rien du texte ancien. Le préteur est nommé pour un an, et le préteur va prendre un édit (= un texte public que tout le monde connaît) dans lequel il va dire les droits qu’il va défendre. Il va dessiner une politique juridique qu’il va ensuite appliquer pendant son mandat, mais son mandat est de seulement un an. Il y peut y avoir des

(Rm 16, 14), évêque de Pouzzoles [5 nov.] ; PHILÉMON, évêque de Gaza [22 nov.] ; PUDENS (2 Tim 4, 21) [14 avr.] ; RUFUS, évêque de Thèbes (Rm 16, 13) [8 avr.] ; SILAS (Act 15), évêque de Corinthe et SILVAIN (2 Cor 1, 19 ; 1 Th 1, 1), évêque de Thessalonique [30 juil.] ; STACHYS, disciple de Paul et d’André (Rm 16, 9), évêque de Byzance [31 oct.] ; STÉPHANAS (1 Cor 1, 16) [15 juin] ; SOSTHÈNE (1 Cor 1, 1), évêque de Colophon [8 déc.] ; SOSIPATER (Rm 16, 21), évêque d’Iconium [10 nov. et 29 avr.] ;

appartiennent au père. Paragraphe 2 : Le mariage chrétien Le christianisme, après avoir fait l’objet de nombreuses persécutions, fut reconnu par l’empereur Constantin par le célèbre édit de Milan en 313. Cet édit instaure en effet une liberté de religions/ En 380, l’empereur Théodose, par l’édit de Thessalonique, fait du christianisme la religion d’Etat. Aussi, la religion, chrétienne aux IVe et Ve siècles, telle qu’elle est conçue par les pères de l’Eglise, exerce une influence sur le mariage

religion. Paragraphe 2 : l’évolution du christianisme comme religion d’état. Deux textes de lois importent ici : le premier est l’Edit de Milan, qui est la reconnaissance de la religion chrétienne en tant que religion et le deuxième est l’Edit de Thessalonique qui rédige le fait que la religion chrétienne devient religion d’état en -380. Les rapports Eglise-Etat connaissent de nouvelles relations : l’empereur est désormais chrétien et n’hésite pas à s’immiscer dans la vie de l’Eglise, désigne les évêques

romain entre le 2ème siècle av. JC et le 2ème siècle apr. JC. Le préteur est le magistrat judiciaire, élu pour un an. C’est lui qui intervient dans la 1ère phase du procès. Lors de son entrée en fonction, il publie un édit qui constitue son programme d’activité pour l’année à venir. Cet édit énumère les cas dans lesquels le magistrat délivrera des actions. Comme notre droit moderne, le droit romain distingue le droit et l’action (en justice). En droit prétorien, le préteur peut délivrer des actions dans

en raison des conquêtes mais aussi par l’affranchissement des esclaves qui est un acte remarquable : un acte privé qui a des conséquences de droit public. Enfin en 212, l’empereur accorde Caracalla accorda la citoyenneté à tous les pérégrins, par un édit. Il ouvre la citoyenneté romaine à tous les habitants de l’empire (= le pérégrins). Marcus Aurelius Antoninus est dit Caracalla. En 212, les tria nomina sont victimes de leur propre succès. En effet, il est d’usage qu’un pérégrin lorsqu’il acquiert

ap J-C) «Ma cité et ma patrie en tant qu’antonin, c’est Rome, en tant qu’homme, c’est l’univers». Ils pensèrent que nous ne sommes pas citoyen d’un Etat mais citoyen du monde. On aboutit ainsi à la rédaction de l’Edit de Caracalla (empereur). Cet Edit va accorder la citoyenneté à tous les habitants de l’Empire en 212 : « Je donne à tous les pérégrins qui sont sur terre (comprendre terre romaine) le droit de la cité romaine en sauvegardant le droit des cité ». Cependant, les étrangers qui viendront

empire romain né, avec une pluralité de royaumes qui se succèdent sur une base ethnique. Francs Syagriu s Alamans Paris Zone de chaos Wisigoth s A) Le morcellement de l'ordre juridique. Les citoyens de l'Empire Romain vivaient (depuis 212 Edit de Caracalla), sous un régime de territorialité des Lois. (= Droit Romain applicable sur l'ensemble du territoire de l'Empire Romain). Ex : article 1 du C.Civil « Les lois sont exécutoires sur tout le territoire français ». Globalement, dans l'Empire