Edit Thessalonique

chez les monothéistes, notamment chez les chrétiens et juifs d'où les persécutions. On constate donc la transmission du modèle oriental des monarchies d'essence divine de l'Orient ancien. A partir de l'édit de Milan (édit de tolérance religieuse de 313). Puis l'édit de Thessalonique (380) : reconnaissance du christianisme comme religion d’État. Il n'est alors plus question de diviniser l'Empereur mais cela favorise la sacralisation du pouvoir ce qui légitime le pouvoir qui devient sacré. Ce n'est

n’est pas de ce monde donc ils développent le Dualisme, -La religion chrétienne se répand et l’empereur Constantin en 313 donne un caractère officiel à la religion c’est l’édit de Milan qui proclame la liberté de culte. En 380, on a l’édit de Thessalonique qui proclame le christianisme comme religion d’état. Ceci va permettre de renforcer l’Empire. La fin du culte de l’empereur ce qui va favorisé la sacralisation du pouvoir impérial (devient sacré), l’empereur va intervenir dans la vie religieuse

qui intervient. On peut parler de Droit Prétorien pour désigner le droit dans le cadre d’un procès. En France, le droit administratif s’est construit au 19ème à partir de l’action d’un juge. C’est un droit qui s’autonomise au 19ème également. Cet Edit devient la source essentielle du droit privé à partir du IIème siècle av. J-C. La Jurisprudence : (attention, le mot n’a pas le même sens qu’aujourd'hui) A Rome, on parle de Doctrine. C’est la réflexion savante du droit ; on parle du jurisprudentiel

l’esclavage, hors le christianisme propose une égalité devant dieu. L’empereur constentin se convertie et reconnait oficielement le christianisme, c'est-à-dire que a aprtir de 313, la religion chréienne est admise dans l’empire. En 380 l’edit de théssalonique , théodose 1er fait du christinaisme la religion d’état.l’empire romain est en plein declin, et le christianisme est un facteur d’unite de cette empire. L’église et l’etat auront un raport bénéfique, car l’eglise continue de se développer, et elle

comportent 3 éléments : les magistrats, les assemblées de citoyens, le Sénat a) Les magistrats 1) Les pouvoirs des magistrats (2 types) la potestas (autorité) : appartient à tous les magistrats. Droit de créer des règles au nom de la cité (un édit). Cet édit est valable pendant la durée du magistrat. Pouvoir de contrainte mineur (condamner a une amende ou gages). ⁃ l’imperium : seuls titulaires, les magistrats supérieurs. Ils reçoivent par une loi spéciale l’imperium. Pouvoir de commandement militaire

entrain de s’opérer. La règle veut que lorsque le préteur entre en fonction il va affirmer ce qu’il va défendre, il fait une promesse au début de son mandat, il le fait dans un texte appelé l’édit du préteur. Il a la possibilité de prendre un édit particulier lorsque survient un évènement qu’il n’avait prévu mais qui nécessite selon lui une nouvelle règle. Chaque nouveau préteur est libre de choisir ce qu’il va défendre. Mais très rapidement les préteurs successifs vont prendre l’habitude

Histoire juridique de la construction de l’ÉtatCe cour s’intègre à l'étude de l'histoire du droit, assister à ce cour, c'est s'intéresser à une partie de l'histoire du droitl'histoire du droit est à côté du droit privé et du droit public, l'un des trois secteurs de la science du droitla science du droit est divisée en 3 secteurs ; l'histoire du droit, le droit privé et le droit publicl'histoire du droit comporte de nombreuses matières dont en seront abordé un certain nombre cette année : l'histoire

comportent 3 éléments : les magistrats, les assemblées de citoyens, le Sénat * Les magistrats Les pouvoirs des magistrats (2 types)jhg la potestas (autorité) : appartient à tous les magistrats. Droit de créer des règles au nom de la cité (un édit). Cet édit est valable pendant la durée du magistrat. Pouvoir de contrainte mineur (condamner a une amende ou gages). l’imperium : seuls titulaires, les magistrats supérieurs. Ils reçoivent par une loi spéciale l’imperium. Pouvoir de commandement militaire

L’EDIT DU PRETEUR : UNE SOURCE DE DROIT FECONDE. A la fin du deuxième siècle avant JC une loi accorde au préteur le droit de créer librement des actions nouvelles. En conséquence, les préteurs prennent l’habitude d’annoncer chaque année dans un édit (une déclaration publique officielle) dès le moment de leur entrée en charge, les nouvelles actions qu’ils comptent introduire dans le droit, c’est une sorte de programme judiciaire qui contient la liste des actions que le préteur s’engage à délivrer

élites et, à terme, la romanisation. Les élites travaillent tellement pour que leur ville devienne des colonies que tous ces statuts différents deviennent inutiles. 3) L’édit de Caracalla et ses conséquences Dans l’Empire romain, cet édit va simplifier grandement l’application du droit. Il sera plus simplement compris et va donc se diffuser encore plus facilement. a) La portée de l’édit L’édit est pris en 212 par l’Empereur romain Caracalla, il constitue un aboutissement de