Echelle Doloplus

Tempur. Texte court / page 4 Prévention et traitement des escarres de l’adulte et du sujet âgé LES QUESTIONS POSÉES QUESTION I COMMENT DECRIRE ET EVALUER LES STADES DE L ’ESCARRE ? QUESTION II QUELS SONT LES FACTEURS DE RISQUE ET LES ECHELLES DE RISQUE ? QUESTION III QUELLES SONT LES MESURES GENERALES DE PREVENTION ? QUESTION IV QUELS SONT LES TRAITEMENTS DE L’ESCARRE ? QUESTION V QUELS SONT LES SUPPORTS DE PREVENTION ET DE TRAITEMENT DES ESCARRES ? QUESTION VI QUEL EST

Tempur. Texte court / page 4 Prévention et traitement des escarres de l’adulte et du sujet âgé LES QUESTIONS POSÉES QUESTION I COMMENT DÉCRIRE ET ÉVALUER LES STADES DE L’ESCARRE ? QUESTION II QUELS SONT LES FACTEURS DE RISQUE ET LES ÉCHELLES DE RISQUE ? QUESTION III QUELLES SONT LES MESURES GÉNÉRALES DE PRÉVENTION ? QUESTION IV QUELS SONT LES TRAITEMENTS DE L’ESCARRE ? QUESTION V QUELS SONT LES SUPPORTS DE PRÉVENTION ET DE TRAITEMENT DES ESCARRES ? QUESTION VI QUEL EST

Mouvement :Réveils nocturneSe manifestant par :Réveils fréquents, insomnies.Liée à :Toux, douleur.Facteur favorisant :Douleur.Sensations et sentiments :DouleurSe manifestant par : Par une douleur 3 c.à.d. intense sur l’EVS (Echelle Verbale Simple) ou voir annexe Echelle Doloplus (chez la personne âgée)Liée à :Rhumatismes, maladie de ParkinsonFacteur favorisant :Invalidité physique.Maladie de ParkinsonSe manifestant par :Les différents symptômes de la maladie de Parkinson, c.à.d. akinésie, hypertonie

Lésions malignes Signes en faveur d’un saignement récent Forrest III ou IIc : Absence d’hémorragie, lésions noirâtres de la base de l’ulcère Forrest Ia, IIa ou IIB : Caillot adhérent visible, vaisseau en cours de saignement §§§ ECHELLE DE SOMNOLENCE D’EPWORTH L’échelle de somnolence d’Epworth permet d’évaluer facilement si le degré et la fréquence des périodes de somnolence nécessitent une prise en charge médicale. La somnolence est la propension à "tomber" de sommeil. Afin

est très vigilante quand à la prise en charge de la douleur, elle a instauré plusieurs échelles de la douleur qui sont utilisées dans le service, l'échelle verbale simple en 5 points, l'échelle numérique, l'échelle visuelle analogique et l'échelle comportementale doloplus. Les quatres échelles sont utilisés suivant la compréhension que le patient en a, le plus important est de toujours utiliser la même échelle pour le même patient afin de pouvoir regarder l'évolution de la douleur. Pratiquement tous

----------------------------------------------------------- 187 Annexe 1 Échelle numérique --------------------------------------------------------------------------------------------------------- 188 Annexe 2 Échelle Verbale Simple ------------------------------------------------------------------------------------------ 188 Annexe 3 Qualificatifs de la douleur ----------------------------------------------------------------------------- 189 Annexe 4 Échelle de Retentissement de la Douleur sur le Comportement quotidien

une limitation de l’amplitude des mouvements.Faible acuité visuelle.DORMIR, SE REPOSERDort habituellement de 22h à 6h mais doit se lever 2 fois par nuit pour aller aux toilettes.Aime s’allonger en début d’après-midi sans pour autant dormir.Anxiété (Echelle d’Hamilton à 28).SE VÊTIR, SE DEVÊTIRChoisit seule ses vêtements.Porte habituellement soutien-gorge, combinaison, tricot de peau, robe, gilet.Aime être bien coiffée (barrette dans les cheveux).Besoin d’aide partielle car amplitude des mouvements limitée

Technique Française, Genevrier, Medimo Imagerie Médicale, Tempur.PRÉVENTION ET TRAITEMENT DES ESCARRES DE L’ADULTE ET DU SUJET ÂGÉ 5 LES QUESTIONS POSÉES Comment décrire et évaluer les stades de l’escarre ? Quels sont les facteurs de risque et les échelles de risque ? Quelles sont les mesures générales de prévention ? Quels sont les traitements de l’escarre ? Quels sont les supports de prévention et de traitement des escarres ? Quel est le retentissement psycho-social et sur la qualité de vie, et

comportementale • Objectifs à atteindre s 5. Différents types de douleur • Mécanisme physiopathologique • La durée d’évolution • Type de pathologie en cause s 6. Évaluation de la douleur • La démarche d’évaluation • Les échelles unidimensionnelles • Les échelles multidimensionnelles • Les échelles comportementales • Le bilan psychologique • Conclusion s 7. Traitements pharmacologiques • Le paracétamol • L’aspirine (et les A.I.N.S.) • Les antalgiques opiacés • Les antidépresseurs et les anti-convulsivants

le personnel soignant doit être à même de repérer la souffrance (recroquevillement, mimiques d’expression) et de la mesurer pour l’adaptation du traitement morphinique. A ce niveau existent en effet des échelles permettant de mesurer le niveau de souffrance du sujet (par exemple, l’échelle DOLOPLUS-2) mais qui ne sont effectives que si celui-ci est capable de parler et de comprendre. Au-delà de ces problèmes de mesure subsiste un problème plus important qui n’est pas prêt de trouver une issue universellement