Dénoncer Les Moeurs

première partie nous verrons le projet de l'auteur à l'époque ,dans son roman épistolaire et l'influence qu'il a encore aujourd'hui dans le monde moderne. Le projet de l’auteur à travers ce livre est de dénoncer les moeurs de la société de Régence qui débuta en 1715 à la mort de Louis XVI. . Laclos dénonce une société libertine, qui vit dans la débauche, le culte du luxe .Le public a réagi violemment à la parution du roman, car il y voyait une satire de la haute société du dix-huitième. La vision de l’homme

llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllDisserta- tion des aspects comiques d’une pièce de théâtre Par son origine religieuse, le théâtre joue du sérieux et de la dérision. Si la tragédie montrait très clairement la catharsis, la comédie n'était pas en reste pour corriger les mœurs en riant. Aussi nous allons nous interroger sur cette fonction si les aspects comiques d'une pièce de théâtre ne servent qu'à faire rire. Par ailleurs, comment comprendre les aspects comiques à la fois du texte et de sa représentation sinon par le

Ce corpus est composé de trois textes qui ont recours a la fiction afin de dénoncer la guerre, le premier le texte «  Les caractères » de Jean de la Bruyère écrit en 1688, le second texte «  Micromégas » de Voltaire paru en 1752 puis le dernier est extrait de l'oeuvre «  188 contes à régler » de Jacques Sternberg en 1988, nous étudierons le portrait satirique que dressent ces trois auteurs afin de remettent en cause la guerre puis nous verrons de quelle manière lancent t'ils un appel a une prise

profondes de la nature humaine. Les passions, en particulier, ont été son sujet de prédilection pour l’écriture de La Comédie Humaine. Joëlle Gleize dit d’ailleurs «  La Cousine Bette est une étude de mœurs […] et la passion y est peinte dans la diversité et la multiplicité de ses effets. On a pu y lire […] une sorte d’exemplum de l’analyse des passions, de roman expérimental. » Cette affirmation est d'autant plus vraie que La cousine Bette est un roman

Au XVIIème et XVIIIème siècle, à la suite des grandes découvertes, les moralistes classiques et philosophes des Lumières inspirés par les récits de voyages s'intéressent progressivement aux mœurs de certains pays. Le portrait de la Cour de Jean de La Bruyère extrait des Caractères publié en 1696 s'intéresse particulièrement à la monarchie française sous Louis XIV. Parmi les textes du XVIIIème siècle, Dialogues de M. le baron de la Hontan et d'un sauvage dans l'amérique, le contraste entre le sauvage

Pangloss, inculque une théorie très simpliste sur l’optimisme. Nous verrons dans ce roman ce que dénonce Voltaire et quelles propositions sont faites pour améliorer le sort de l’homme et de la société. Nous étudierons d’abord les différentes critiques, puis nous analyserons les propositions.               Voltaire fait de nombreuses attaques dans Candide.             Il ridiculise tout d’abord les mœurs nobles dans le premier chapitre. Les personnages grotesques sont présentés comme des caricatures

(1877), il dénonce les mœurs du monde ouvrier de cette époque. Dans l’Œuvre, il raconte l’histoire de Claude Lantier, peintre qui en essayant de devenir célèbre va vivre une histoire d’amour au début passionnée et qui va connaitre une longue série d’échecs qui le pousseront à se suicider. Dans cet extrait, le tableau « Plein air » de Claude se retrouve au salon des refusés et suscite beaucoup de réactions devant un tableau aussi osé et inédit. Dès lors, de quelle manière Zola dénonce-t-il les médisances

siècle, siècle des Lumières. Inspiré de la forme du conte, il cherche à transmettre au lecteur des idées et des concepts à caractère philosophique. Souvent considéré comme un instrument de critique de la société, le conte philosophique cherche à dénoncer les mœurs d’une époque, afin de d’échapper à la censure qui oppresse généralement les écrivains de ce temps. Dans Candide, paru en 1759, Voltaire nous invite à réfléchir sur le sens de la vie qui, malgré ses aléas, vaut la peine d’être vécue ; sur l’homme

par exemple, nous enseignent un art de vivre, issu de sa propre expérience : la vraie sagesse pour cet humaniste réside dans la mesure, afin de « jouir loyalement de son être ». Au siècle suivant, Molière, Racine ou La Fontaine veulent corriger les mœurs. La littérature alors devient un pédagogue moraliste: Molière fustige l’égoïsme de ceux qu’une manie obsède ; il fait rire des ridicules et des vices et nous apprend la modération en nous mettant en garde contre les Tartuffe, les Dom Juan, les profiteurs

politique ou sur un autre fait d’un tout autre domaine. Nous pouvons prendre le cas de Molière, célèbre par ces pièces qui dénonce souvent les vices de la société de son époque, au XVIIème siècle. On peut prendre comme exemple sa pièce Tartuffe qui dénonce le statut de la femme dans la société ou bien Dom Juan qui attaque l’hypocrisie religieuse par son statut de libertin de mœurs. Ses deux pièces éveilleront, par après, une brève polémique puisqu’elles seront toutes deux interdites de représentation