Définition De La Démocratie Athénienne

cela que la notion même de citoyen se réfère à l’éthique et exclut ceux qui ne peuvent accéder à l’excellence : les femmes, artisans, commerçants (in Aristote, La Politique, trad. J. Tricot, Paris, Vrin, 1970, III, 5) et les esclaves (I, 6). Sur la définition du citoyen, voir note n° 95 et 56. 15. J.-J. Chevallier, Histoire de la pensée politique, Paris, Payot & Rivages, 1993, p. 85-88. 16. Sur les oppositions et accords entre Aristote et Platon, M. Prelot et G. Lescuyer, Histoire des idées politiques

devoir après avoir étudié la séquence 2 (Histoire) du tome 1. I - Questions de connaissances 1. Des trois propositions suivantes, laquelle est correcte ? Quand le peuple est souverain, le régime politique s’appelle : a) l’aristocratie b) la démocratie c) l’oligarchie La perte des droits politiques d’un citoyen pour faute grave s’appelle : a) l’atimie b) l’isotélie c) l’isonomie La frise des Panathénées se trouve sur le temple : a) d’Athéna Niké b) le Parthénon c) l’Erechtéion Parthénon vient

classique ou la philo s’empare de la notion nomoi et établit un discour philo sur la norme. Penser le Droit, l’apport de la philosophie grecque : A. Le relativisme juridique des sophistes : l’homme est la mesure de toute chose : Ils ne sont pas Athéniens. 2nd moitié Vème siecle s’installe à Athènes et enseigne un max de connaissance nécessaire a la réussite sociale de ces futurs citoyens. Sophiste (sophia ; sagesse) Postulats sophistes : -L’impossible affirmation de l’être et du non être. On ne

étymologique, ce qui apparaît. Or la loi au niveau juridique est le produit de la politique et c’est le champ du territoire politique que l'on va codifier de façon technique pour en faire une règle de droit. Ex: Le droit pénal n’est pas par définition un produit politique. La 1er des règles qui structure la société, c'est une règle morale et religieuse mais si on ne croit pas en dieu pourquoi suivre la règle. Si on déroge aux règles, la société va tomber dans un état anarchique. Ex: La

l’esclave de son temps, mais chercher seulement la justice, voilà ce que signifie connais-toi toi-même ! Les Athéniens n’ont pas voulu l’entendre, on sait qu’il a dû boire la cigüe, accusé de corrompre la jeunesse et de ne pas reconnaître les dieux de la cité. Le crime de Socrate, c’est d’avoir voulu sauver l’individu contre la foule des bien-pensants, contre le régime politique dont les athéniens étaient si fiers, mais dans lequel il est impossible d’avoir souci de son âme, c’est à dire d’être libre

questions posée est soumise à l'assemblée. Dans une démocratie directe comme l'athène démocratique La démocratie semi De nombreux auteurs ne font pas la distinction entre démocratie directe et démocratie semi. Démocratie directe : on peut discuter avant de voter. Démocratie semi-directe : on peut seulement dire oui ou non. Ces procédures ne donnent au citoyen qu'une marge d'action limitée dans la démocratie semi-direct. Démocratie semi-direct : exemple du référendum. C 'est une chose

Aristote n'a plus à le redouter. Mais cette mort provoque un sursaut à Athènes qui se révolte alors contre les Macédoniens. Aristote est menacé. Il s'enfuit à Chalcis avec Herpyllis et ses enfants. Il y meurt à 62 ans, après avoir vu l'écrasement des Athéniens par son ami Antipater. Apport conceptuel a) Le monde selon Aristote Aristote conçoit le monde comme clos, fini et hiérarchisé. La limite du monde est la sphère des fixes, les fixes étant les étoiles accrochées à la sphère céleste transparente

distingue : * La monarchie (gouvernement d’un seul). * L’aristocratie (gouvernement d’un petit groupe). * La démocratie (gouvernement de tous). →Hérodote va essayer de trouver quel est le meilleur régime pour la Grèce. Selon Hérodote, c’est la monarchie. Mais au cours de son existence, la Grèce antique va essayer tous les régimes. →Platon et Aristote, auteurs Athéniens du 4e et du 5e siècle avant JC, ont examiné tous les régimes que la Grèce a connus. Tous les deux constatent que chaque

Lorsque l'on parle de la barbarie, nous pensons généralement aux populations cruelles qui peuplaient le monde il y a plusieurs centaines d'années. Seulement, nous oublions fort souvent que le terme « barbarie » possède de multiples définitions selon les époques et les peuples qui l'employaient, qui ne sont pas forcément péjoratives. Est-il légitime de faire le panégyrique de la barbarie ? En avons nous une possibilité réelle et morale ? C'est à dire, le pouvons nous réellement ? En avons nous le

il faut définir chacun des termes. Ils ont un sens commun et parfois un sens historiquement défini. Par exemple, lorsqu’on parle de «la famille», cela ne signifie pas la même chose aujourd’hui que dans l’Antiquité. Un terme peut avoir plusieurs définitions, et c’est à partir des variations de sens et de leur confrontation, que l’on parviendra à articuler une réflexion satisfaisante. Par ailleurs, certains sujets juxtaposent plusieurs notions. Par exemple «famille et cité» ; «famille ou cité» ; «la