Dysurie

Posologie | Objectifs | Effets indésirables | Rôle ide | Efficacité | Lepticur | Anti-cholinérgique | 1 ampoule 10mg=2ml | Traiter en urgence le syndrome extra pyramidal (dû au blocage des récepteurs dopaminergiques par les neuroleptiques) | Dysurie, constipation, sécheresse buccale | Signes du syndrome extra pyramidal : tremblements, hypertonie, akinésie (mouvements rares et lents) Prise du ttt | Pas de présence de signes extra- pyramidaux | SI EPISTAXISExacyl 1gr/10mlAmpouleExacyl (coalgan)500mg/ml

Thrapie aux corticodes. Coxalgie Douleur de la hanche. Curiethrapie Emploi thrapeutique du radium. Cyanose Etat de la peau qui est bleue par un manque doxygne. Cyphose Courbure de la colonne vertbrale (dos courb). Cystite Inflammation de la vessie. D Dysurie Difficult duriner, une gne dans lmission des urines. Dontologie Ensemble des rgles qui rgissent les rapports des mdecins entre eux et envers les patients. Dermatologie Etude de la peau. Dermatologue Mdecin spcialiste de la peau et de ses maladies

l’action d’uriner. Le besoin d’uriner se fait ressentir quand la vessie a atteint son maximum soit environ 250 mL. Cette miction nécessite la contraction vésicale et l’ouverture des sphincters de l’urètre. a) Les anomalies de la miction La dysurie : le rein secrète normalement l’urine mais l’individu a du mal à les évacuer. La pollakiurie : émission fréquente d’urine sans augmentation du volume de la diurèse. L’énurésie : incontinence de l’urine nocturne d’origine fonctionnelle (enfants de

recherche d’une EP En fonction des données cliniques, on effectuera : GDS, ECG, radiographie de thorax, angio-TDM thoracique IV. Formes cliniques IV.1. Phlébites à extension pelvienne Des signes urinaires sont souvent associés (dysurie, pollakiurie) : il existe un grand risque d’EP IV.2. Thrombose de la VCI ( tableau d’œdèmes diffus des MI, des lombes & des OGE IV.3. Thrombose de la VCS et des membres supérieurs Il faut rechercher une compression médiastinale

traitement lors des repas-Surveillance de l’efficacité-Surveillance des effets indésirables du traitement médicamenteux : dépression respiratoire, troubles de l’accommodation, confusion, dépression, hypotension, nausées, sudation, aggravation d’une dysurie préexistante- Voir avec le kiné les mouvements autorisés (cf. diagnostic infirmier : mobilité physique réduite)- Evaluer la fatigue (idem)En collaboration avec les kinésithérapeutesSéances de kinésithérapie planifiées

positives * Adénocarcinome (95%) * Stade : TNM * Grade : bas - haut Score de Gleason agressivité cellulaire * Capsule prostatique | AsymptomatiqueToucher rectalsubjectif, attention aux faux positifs | * Signes fonctionnels urinaires: * Dysurie (du mal a urine, goutte a goutte) * Pollakiurie (urine +++) * Hématurie * Insuffisance rénale obstructive * Anurie * Métastatique * Douleur osseuse | | * | Si patient PSA>4 ou toucher rectal positif et entre 50 et 75 ans, faire

hépatomégalie splénomégalie. -Oedèmes, éruption urticaires. * Troisième période / pontes massives des vers adultes en fonction de l’espèce. 2)Phase de localisation viscérale : A/ L’appareil uro-génital : * Atteinte viscérale : a/Clinique : Dysurie, pollakiurie, douleur sus pubienne à la miction, impression urines chaudes. Hématurie : constante, souvent révélatrice. b/ Radiologie : *A.S.P : calcifications vésicales « vessie porcelaine » *U.I.V : temps cystographique : aspect pseudo tumoral

digestif. Elle a également une action émolliente, dépurative, diurétique et laxative. *La myrtille, on s'en servait notamment pour traiter la diarrhée et la dysenterie, pour interrompre la lactation et pour soulager les symptômes du scorbut et de la dysurie. On a également employé les feuilles pour faire baisser les taux de glucose sanguin chez les diabétiques. * La mélisse est constituée d'huile essentielle, de résine, de tanin, mucilage, un principe amer. Antispasmodique, tonique, digestif, sédatif

réaction inflammatoire de la muqueuse qui peut même s’ulcéré et devenir légèrement hémorragique (=hématurie) Les signes : -brulures mictionnel -hématurie -pollakiurie (envie souvent de faire pipi mais peu abondante) -peu ou pas de fièvre -dysurie (difficulté à la miction) Le traitement est mis en place après la confirmation du diagnostic et identification du germe grâce à l’examen cytobactériologique des urines (=ECBU). Il n’y a pas d’hospitalisation. Conseils aux parents : -boire +++

notre aide dans le couloir | | Syndrome dépressif | | Entretien d’aide Sollicitation à se mobiliser, à marcher… | | Insuffisance rénale lié à son cancer et se manifestant par un risque d’anémie de dysurie ou anurie | Hémogramme | Faire le bilan, et transmettre les résultats Surveillance de l’élimination urinaire Mise en place de protocole d’hydratation si examen avec produits à élimination rénale Sollicitation pour l’hydratation