Dysurie

médecin à poser le diagnostic (Interrogatoire du patient ou de sa famille s’il s’agit d’un enfant (Conseiller a la mère d’éduquer son enfant par la vidange de la vessie avant de se coucher et d’éviter les liquides la nuit . La dysurie Définition : La dysurie englobe toutes les anomalies de la miction , qu’elle soit ou non douloureuse : -Effort pour uriner -Retard de la miction -Faiblesse du jet -Fuite urinaire poste mictionelle Elle s’observe en cas d’obstacle urétro prostatique

* La patiente se plaint de dyspareunie au niveau de l’orifice vaginal. Chez l'homme[modifier] Il est très souvent asymptomatique (90 % de cas), d'où son dépistage difficile et sa dissémination facile. En cas d'urétrite avérée, il existe une dysurie. Des signes plus discrets comme une goutte matinale ou une méatite peuvent être présents. Traitement[modifier] Il faut traiter toutes les personnes (patiente et tous les partenaires connus), symptomatiques ou pas[réf. nécessaire], par: * métronidazole

disparaisse Risque d’infection urinaire lié à ses ATCD d’IU, pyélonéphrite S’assurer que Mme T élimine suffisamment, reconnaitre signes d’apparition IU Rôle propre : Surveillance de l’élimination Reconnaitre signes apparition IU : dysurie, pollakiurie, brûlures et douleurs mictionnelles BU si symptômes Mme T a bien uriné, RAS pas de signes d’IU Diagnostics infirmiers (Potentiels) Risque de déshydratation lié aux fortes chaleurs et à son âge S’assurer que Mme T soit

Sternberg au sein des ganglions pathologiques, atteinte de la moelle osseuse Classification de Ann Arbor Thrapeutique chimiothrapie et radiothrapie Rappel physiopathologiques et pidmiologie Signes cliniques de lhypertrophie bnigne pollakiurie, dysurie Adnome de la prostate Examens cliniques le toucher rectal, dosage cratinine, dosage PSA,analyse durines, dbimtrie, chographie rnale, cystoscopie Complications de ladnome prostatique rtention aigue, prostatite aigue, hmaturies, calculs vsicaux, rtention

ostéosynthèse= réunion des fragments osseux, à l’aide de fils ou de vis métalliques.) • Tomie : incision d’un organe plein ou ouverture d’un organe creux Racines d’ordre général • Acro : extrémité • Brachy : court • Brady : lent • Dys : difficulté (ex : dysurie) • Hyper : excès • Hypo : insuffisance • Dolicho : long ( ex: dolichocôlon) Racines d’ordre général • Laparo : flanc • Mega : grand ( ex : megaoesophage) • Méla, mel : noir • Micro : petit ( ex : microlithiase) • Oligo : rare ( ex : oligurie

dans les douleurs chroniques rebelles aux traitements pharmacologiques Contrôle des sphincters et protections, auto ou hétéro-sondage intermittent si nécessaire en cas de dysynergie vésicosphinctérienne, à privilégier si hyperactivité vésicale avec dysurie Sonde à demeure exceptionnellement dans les formes évoluées Neurostimulateur électrique transcutané (TENS) Matériel de sondage intermittent ou à demeure (sondes, kits…), poches à urine, étuis péniens, protections et couches, coquilles absorbantes

: 10 à 14 jours (parfois 21 jours, si abcès…) ECBU systématique à 72 heures ECBU à 6 semaines 3) Prostatite aigue : Eléments de sémiologie : Les cystites aigues sont très peu fréquentes chez l’homme. Tout symptôme urinaire (pollakiurie, dysurie) accompagné de fièvre et d’une altération de l’état général témoignent, le plus souvent, d’une prostatite aigue. Un toucher rectal est nécessaire, il révèle une prostate douloureuse, inflammatoire. SIH Caudan Page 13 sur 49 24/12/2010

: Diminution de l’agressivité et de l’agitation, réduction des symptôme psychotiques aigus ou chronique ( diminution ou disparition des hallucinations et du délire).! Les effets indésirables : Neurovégétatifs ( hypotension, sécheresse buccale, dysurie) ; Neurologique ( dyskinésie, syndrome extra pyramidal) ; Psychique ( sédation, confusion, anxiété, dépression) ; Endocrinien et métabolique (prise de poids, diabète…) ; Cardiaque (allongement du QT, risque de mort subite) ; Syndrome malin des

parole) Dysphagie : difficulté à avaler (phagie = avaler) Dyspepsie : difficulté à digérer (pepsie = digérer) Dysphonie : difficulté à parler (phonie = voix) Dystocie : difficulté d’accoucher Dyskinésie : difficulté à faire des mouvements Dysurie : difficulté à uriner Dysfonctionnement : perturbation du fonctionnement normal Dystrophie : croissance et nutrition perturbées Malposition : mauvaise position Dysdipsie : perturbation de la soif Péri : autour de Péricarde : autour du cœur

région nucco-linguo-faciale * Crises convulsives. Prise de poids Aménorrhée par diminution des hormones FSH et LH Galactorrhée par hyperprolactinémie Basse de la libido, impuissance, frigidité Effets atropiniques : hyposialie, constipation, dysurie, trouble de l’accommodation Effets α 1 adrénolytique : hypotension orthostatique, lipothymies, vertiges. Effets indésirables non psychiatriques imprévisibles : * Graves : * mort subite (accident cardiaque exceptionnel) * syndrome malin :