Dysurie

expressément portée sur l'ordonnance
28 4. Antidépresseurs :  Tricycliques : amitriptyline ++, clomipramine et imipramine Inhibition non sélectifs recapture des monoamines NNT 3.6, NNH 6 (effet anticholinergique); CI: tbles cardiaques, glaucome, dysurie  ISRSNA : ↑ amines biogènes dans synapses par inhibition capture 5-HT et NA depuis faisc. inhibiteur descendant sur afférences Se et Neurone spino-thalamique ou IN niveau corne post moelle  stimulation Récepteur α2 adrénergique  inhibition transmission

pneumopéritoine ● Aérobilie (rare) ● Calcul radio-opaque ● Calcul à l’échographie ● Péritonite génitale Femme Jeune + / – stérilet ● Antécédent d’infection utéro-vaginale ● ● Douleur progressive ● Hypogastrique ● Température d’emblée ● Dysurie ● Douleur à la mobilisation utérine ● Contracture hypogastrique ● Iléus pelvien à l’ASP ● Échographie : épanchement dans le Douglas, pyosalpinx ● hCG/HCD = hypochondre gauche/droit. FIG/FID = fosse iliaque gauche/droite. © 2003-2005

Chaleur Myosis Hyposialorrhée - Constipation Dysurie Bradypnée *Dysphorie : perturbation de l'humeur caractérisée par un sentiment déplaisant et dérangeant d'inconfort émotionnel ou mental, symptôme de la tristesse, de l'anxiété, de l'insatisfaction, de la tension, de l'irritabilité, ou de l'indifférence * Myosis : diminution du diamètre pupillaire * Hyposialorrhée : sensation de bouche sèche liée à une disparition ou une raréfaction de la salive. * Dysurie : difficulté à l'évacuation de la vessie (liée

− localisation : pour être le plus précis possible, demandez au patient de localiser avec un doigt ; − irradiation ; − profil de la douleur : brûlante, lancinante, etc. − signes accompagnateurs : température, perte de poids, constipation, dysurie, etc. − recherche d’un élément causal : reprise du sport, faux mouvement, etc. EXAMEN CLINIQUE Un examen clinique correctement réalisé et interprété peut, sans la nécessité de réaliser des examens complémentaires, mener au diagnostic. Pour cela

les troubles somatiques, on retrouve l’insomnie de la phase précédente. S’y ajoutent l’asthénie, le désintérêt alimentaire voire l’anorexie, des perturbations d’ordre sexuel pouvant aller jusqu’à un dégoût, une sensation de lenteur digestive, une dysurie, de la tachycardie et de l’hypertension artérielle. Tous ces signes apparaissent à différents degrés, on parlera de: -mélancolie simple pour des symptômes atténués. Très fréquente, on retrouve l’insomnie, l’asthénie et une baisse de l’activité.

urines implique d’observer l’aspect (couleur/limpidité) et l’odeur. Les signes d’alertes qui peuvent être associés aux troubles urinaires sont : - douleurs - signes accompagnateurs - comportement patient Mictalgie : douleur à la miction Dysurie : difficulté a uriner Rétention urinaire : impossibilité a uriné alors que la vessie est pleine Hématurie : présence de sang dans les urines Pyurie : présence de pus dans les urines Pollakiurie : fait d’uriner souvent par petite quantité Glycosurie :

...................................................................................... 46 ÉNURÉSIE ................................................................................................................................................47 DYSURIE ..................................................................................................................................................47 ANURIE ..........................................................................................

jonction pyélo-urétérale jonction bassinet-uretère anurie absence d’urine dans la vessie oligurie diminution de la quantité d’urine émise polyurie accroissement de la quantité d’urine émise pollakiurie émission fréquente de petite quantité d’urine dysurie miction difficile hématurie présence de sang dans les urines (hématies) clairance (clearance) efficacité du travail d’épuration des reins néphrite, pyélonéphrite, pyélite, urétéropyélonéphrite, urétérite, cystite, urétrocystite, urétrite etc

micro-organismes/ml) au(x) même(s) micro-organismes(s) sans qu'il y ait plus de deux micro-organismes isolés. Bactériurie symptomatique (chez un patient sondé ou non) o o Fièvre (>38°C) sans autre localisation infectieuse et/ou envie impérieuse et/ou dysurie et/ou pollakiurie et/ou tension suspubienne. ET Uroculture positive (>105 micro-organismes/ml) sans qu'il y ait plus de deux espèces microbiennes isolées, ou une uroculture positive (>103 micro-organismes/ml) avec leucocyturie (>104 leucocytes/ml)

du bilan de coagulation. 1.4.3 Phlébite pelvienne Elle complique une endométrite. Il faut y penser devant une endométrite sévère et rebelle au traitement antibiotique. -Les éléments du diagnostic ne sont pas spécifiques : signes urinaires (dysurie, pollakiurie, rétention d'urines), signes intestinaux (ballonnement, ténesme), douleur d'un paramètre au toucher vaginal. C'est leur association à l'endométrite qui est évocatrice. -Principes thérapeutiques : héparine et antibiotiques. 1.5