Dysurie

- porphyrie aiguë intermittente, - Ne pas associer aux IMAO non sélectifs (iproniazide). | -gastralgies, nausées-poussée hypertensive avec céphalées et bradycardie ou tachycardie par hypersensibilité individuelle ou interaction médicamenteuse-dysurie. | Prise de constantes hémodynamiques | Tahor | Hypercholestérolémie | -affection hépatique évolutive, élévation prolongée des transaminases sériques-chez la femme qui allaite-galactosémie congénitale. | -insomnie,-Hypo-esthésie, paresthésie, vertiges

intenses et dans les échecs de traitements par antalgiques de palier II. Parmi les effets indésirables, la constipation est inévitable et doit être systématiquement prévenue (mesures hygiéno-diététiques, laxatifs) . Nausées, vomissements, somnolence, dysurie, sueurs et prurit surviennent au début du traitement et sont souvent transitoires. Le surdosage se manifeste par de la somnolence, signe d’appel précoce d’une dépression respiratoire, et une baisse de la fréquence respiratoire, Myosis extrême, hypotension

sommeil, insomnies, troubles de la vision, dyspepsie/pyrosis, douleur abdominale, nausées/vomissements, constipation, diarrhées, flatulences, prurit, éruptions cutanées, urticaire, problèmes capillaires et du cuir chevelu, miction anormale (notamment dysurie, fréquence, nycturie), troubles sexuels, fatigue.. →Sa maladie de parkinson  est traitée par la combinaison de 2 médicaments : MODOPAR 125 : 1 gélule matin, midi et soir, c’est un antiparkinsonien dopaminergique : le déficit en dopamine dans les

pathologie bénigne qui peut avoir comme conséquence l'apparition progressive d'une gêne à l'évacuation de la vessie. Il apparait fréquemment chez l'homme à partir de 50 ans. Les signes rencontrés sont très significatifs de cette atteinte : - Une dysurie (difficultés pour uriner, le patient devant "pousser" pour uriner) ; - Une pollakiurie (mictions fréquentes et de faible abondance) survenant d'abord la nuit puis la nuit et le jour ; - Une faiblesse du jet ; - Des envies urgentes d'uriner

I N F E C T I O N S G É N I TA L E S D E L A F E M M E . L E U C O R R H É E S La leucorrhée peut être isolée, ou plus souvent associée à divers symptômes : brûlures et (ou) prurit vulvaire, dyspareunie récente liée à l’état inflammatoire, dysurie, brûlures mictionnelles. • L’interrogatoire doit faire préciser : – les circonstances de survenue de la leucorrhée : rapport sexuel, épisode de la vie génitale [interruption volontaire de grossesse (IVG), avortement, exploration gynécologique, traitement

5. A/ Donner les signes cliniques de la pyélonéphrite aiguë de la femme jeune. FIÈVRE – LOMBALGIE – DYSURIE • Signes fonctionnels : - Début brutal - Fièvre élevée, supérieure à 38,5°C - Douleur lombaire, unilatérale, irradiant vers les organes sexuels externes - Frissons • Signes fonctionnels urinaires ayant parfois précédé le tableau : - Pollakiurie – brûlures mictionnelles – dysurie ANNALES PAE MEDECINE GÉNÉRALE - MAFUTA - 2020.indd 16ANNALES PAE MEDECINE GÉNÉRALE - MAFUTA - 2020

l’action d’uriner. Le besoin d’uriner se fait ressentir quand la vessie a atteint son maximum soir environ 250 ml. Cette miction nécessite la contraction vésicale et l’ouverture des sphincters de l’urètre. La miction peut avoir des anomalies :· La dysurie, c’est quand le rein secrète normalement l’urine mais l’individu a du mal à les évacuer.· La pollakiurie, c’est l’émission fréquente d’urine sans augmentation du volume de la diurèse. · L’énurésie, c’est l’incontinence de l’urine nocturne d’origine

anafranil et laroxyl Contre-indications : - infarctus du myocarde récent - risque de glaucome à angle fermé - risque de rétention urinaire par obstacle uréthro-prostatique Effets indésirables : - asthénie - troubles cardio-vasculaires - dysurie - hépatites Bilan pré-thérapeutique : cardiaque, prostatique, oculaire, ECG. Surveillance : pouls, tension couchée/debout, transit, urines  Les ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) : Effets indésirables : - effets

simple Femme non ménopausée, non enceinte Définition – Inflammation du bassinet et du parenchyme rénal – E. Coli 80% des cas Tableau clinique – – – – – Fièvre (>38°C), frissons Douleur lombaire, douleur abdominale Ileus, nausées, vomissements Dysurie, impériosités, pollakiurie Infection urinaire (bandelette) Algorithme de prise en charge Tableau clinique: Fièvre, lombalgie, pyurie Nausées, vomissements, signes de septicémie NON Prise en charge ambulatoire ECBU Échographie, ASP Traitement

tissus DIPS : soif Polydipsie le fait d’avoir une soif excessive DORS : dos Dorsalgie douleur au niveau du dos DYS : idée de difficulté Dyspnée : difficulté respiratoire Dysphagie : difficulté à déglutir Dyspepsie : difficulté à digérer Dysurie : difficulté à uriner Dyskinésie : difficulté d’exécuter certains mouvements E ECTOMIE : ablation Amygdalectomie : ablation des amygdales Appendicectomie : ablation de l’appendice Nephrectomie : ablation du rein Hystérectomie