Dom Juan Figure De Style

| | |Extrait n° 2 : les huîtres d’Ostende | | |Points étudiés : les figures de style, les discours rapportés, Duroy bon orateur + autre remarques. | |S. 4 |Fin de l’extrait n° 2 | |

Joinville, Villehardouin (4e croisade), Robert de Clari ou encore Jean Froissart. 2) Moyen-âge (14e-15e): Littérature en moyen français. Ce sont les siècles les moins riches au niveau de la littérature. La France manque un peu de grandes figures. 1. Le 14e siècle • Guillaume de Machaut (1300 – 1377) Poète à l’ancienne, poète musicien. Il va composer comme les trouvers des textes en musique. Il y a donc une association entre la musique et la parole. • Eustache Deschamps

vulgarité. Ainsi le jargon précieux commence à prendre essor, on retrouve ses particularités à plusieurs niveaux, celui du vocabulaire, de la syntaxe et dans le choix d’une langue rhétorique. Tout d’abord, les précieuses recherchent la pureté de style et rejettent les bas mots et ainsi que ceux dont les sonorités sont jugées cocasses ou sales. Par exemple, elles préféraient aux mots bas/populaires ou trop ouvertement crus des périphrases adoucissantes par souci moral, des mots comme charogne, cadavre

du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux. Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un style familier, où souvent domine l'intention satirique et morale : la comédie "châtie les mœurs en riant", tournant en ridicule des caractères ou des vices à la mode. Formes dominantes : Types de texte : théâtral, narratif. comiques de caractère

lève. On m’obéit, on garde mes doigts, on les baise [...] mais redressant la tête, je fixe le mâle de mes yeux froids, de mes yeux d’eau, et il lâche ma main. Je le regarde, jusqu’à ce que son désir glacé lui glace le cœur » (l. 13). C’est ici la figure de la femme froide et déterminée qui use de ses yeux comme une « arme contre le désir des hommes » (l. 11), perçus comme simples « mâle(s) », qu’elle veut dominer et punir, telle une mante religieuse qui dévore le sien après l’accouplement ou la

romancier ? Après avoir dressé les principales thématiques du roman, nous dégagerons les portraits physiques et psychologiques des personnages en mettant en relief leur gestuel. Et nous passerons ensuite à l’étude de l’oralité dans l’œuvre animée par les figures rhétoriques abondantes. _____________________________________ 1 Boustani, Carmen, Effets du féminin : variations narratives francophones, Editions Karthala, Coll. Particulière, 2003, p. 9 7 PREMIÈRE PARTIE : UNE PASSION ROMANTIQUE ET

admirablement arqués, sa peau était ardente et comme veloutée avec de l’or ; elle était mince et fine, on voyait des veines d’azur serpenter sur cette gorge brune et pourprée. Joignez à cela un duvet fin qui brunissait sa lèvre supérieure et donnait à sa figure une expression mâle et énergique à faire pâlir les beautés blondes. On aurait pu lui reprocher trop d’embonpoint ou plutôt un négligé artistique. Aussi les femmes en général la trouvaient-elles de mauvais ton. Elle parlait lentement : c’était une

tant de difficultés ? En 1664, le roi est le parrain de son 1er enfant et il présente Le tartuffe, le 12 mai, qui déchaine un véritable scandale. La pièce est interdite. Voilà Molière objet de calomnies, de rumeurs. Il écrit dans la hâte Dom Juan qui est représenté en 1665. Certes un grand succès, mais les pressions s’exercent et la pièce est supprimée. Depuis deux Misanthrope. ans, il travaille au 1666, c’est la première représentation du Misanthrope avec un succès

Wittenberg est l’occasion d’un important changement stylistique. Après avoir réalisé Le Martyre de Sainte Catherine (1506, Gemäldegalerie, Dresde) qui témoigne d’une expressivité violente, le peintre se tourne vers des compositions plus sobres, d’un style plus mesuré et intellectuel et d’apparence plus maniérée ; dans le même temps, sa palette de couleurs gagne en subtilité. De plus, le règne de Jean le Constant (1525-1532) est marqué dans la production de Cranach par la multiplication des œuvres

se lève. On m’obéit, on garde mes doigts, on les baise [...] mais redressant la tête, je fixe le mâle de mes yeux froids, de mes yeux d’eau, et il lâche ma main. Je le regarde, jusqu’à ce que son désir glacé lui glace le cœur » (l. 13). C’est ici la figure de la femme froide et déterminée qui use de ses yeux comme une « arme contre le désir des hommes » (l. 11), perçus comme simples « mâle(s) », qu’elle veut dominer et punir, telle une mante religieuse qui dévore le sien après l’accouplement ou la Gorgone