Dom Juan Conflit

illustration de la langue française, Regrets de Joachim du Bellay Amours de Cassandre de Pierre de Ronsard Les réflexions et les essais Essais de Montaigne La peinture Léonard de Vinci Le baroque Dans la seconde moitié du XVIe siècle, le conflit entre catholiques et protestants, la faiblesse du pouvoir royal, la découverte d'un univers dont l'homme n’est plus le centre favorisent une nouvelle sensibilité : le baroque. Face aux difficultés et incertitudes du temps, les auteurs et les artistes

trop généraliser au risque de ne pas savoir compléter le plan… Attention de bien séparer aussi l’impression du narrateur et la réalité des faits. Ne pas oublier enfin de laisser une petite place à Flaubert… Le commentaire doit s’appuyer sur le conflit entre le rêve du passé et la réalité du présent, et dégager l’imparable détachement du narrateur malgré la nostalgie. Sans oublier Flaubert… 1) COMMENTAIRE I – Un narrateur pris au piège de la réalité et du souvenir 1) L’incrédulité : - une

d'avoir atteint son objectif. En outre, l’impossible est motivant : se fixer un but nous permet d'avancer aussi impossible celui-ci soit-il car la vie n'a pas de sens si on ne se dirige pas vers une direction. Prenons l’exemple du désir amoureux dans Dom Juan, ce qui l’anime est la conquête amoureuse : il voit une belle jeune fille, il la désire. Il fait donc tout pour la faire tomber amoureuse de lui en contournant les difficultés et une fois le mariage consommé, il se lasse et va à la recherche d’autres

collaboration, Molière et Lully en créeront au total onze, la plus célèbre étant Le Bourgeois gentilhomme. Molière est ensuite nommé responsable des divertissements de la cour. En 1665, on joue seulement quinze représentations du désormais célèbre Dom Juan, protagoniste révolté qui défie toute forme d’autorité. Il achève rapidement la rédaction de cette pièce pour remplacer à l’affiche le Tartuffe- qui n’est autre qu’une mise en garde contre l’hypocrisie religieuse- que la cabale des dévots a réussi

sportif le capitaine de l'équipe obéit aux dirigeants et à lui même autorité sur les joueurs, enfin il y a parfois une inversion du rapport du pouvoir, c'est la dialectique du maitre et de l'esclave ou serviteur (comme on la voit par exemple dans Dom Juan). Il faut voir surtout quel est le rapport qui existe entre la société politique et le pouvoir politique, dans ce domaine on constate que le pouvoir politique va agir sur la société politique comme la société politique agit sur le pouvoir. L'action

sadisme sur l’auteur pour le moins surpris. L’obsession de la vérité n’a rien de bon et semble même contre-productive. Les égards dont usent les diplomates lors de conflits latents montrent combien la maîtrise du langage est une arme et les mensonges ses munitions. Ces détours ménagent les susceptibilités et le plus souvent évitent les conflits ou les résolvent, sans pour autant que les concessions ne soient trop importantes. Le processus se complexifie lorsqu’il s’agit de groupuscules secrets. Koyré

l’attention de l’Eglise, en 1669. Pour finir, c’est Dom Juan (1665) qui est totalement interdit à cause de son personnage Don Juan. Ce dernier, athée, combat la fausse dévotion et l’hypocrisie et va jusqu’à l’affronter en dépit des conséquences (il meurt foudroyé). 3) Conséquence sur le dramaturge. De par leurs censures, les dévots suscitent l’intérêt des dramaturges : c’est pourquoi Molière évoque clairement dans Dom Juan (V, 2) la manière dont la bonne foi des chrétiens sincères

Fontaine, nous avons assisté à plusieurs représentations de pièces de Molière. Un acteur (que l’on a retrouvé plusieurs fois) a rendu très comiques les « latineries » de Diafoirus jeune dans Le Malade imaginaire ou les discours en patois de Pierrot dans Dom Juan. III- Forces et limites de la mise en scène Le texte théâtral a cette capacité à n’être jamais le même : suivant les metteurs en scène, le spectacle est différent => l’approche du metteur en scène donne une vision nouvelle

valets uniquement, ce qui crée un effet farcesque, de pur comique au 1er degré. Avec les personnages de Blaise et de Colette, tous deux des paysans un peu lourdauds qui parlent dans un mauvais français, on peut penser au début du IIème acte du Dom Juan de Molière entre « Piarrot » et « Charlotte » où la simple prononciation de la langue fait rire. Ce sont de simples fils et fille de fermier et jardinier, ce qui les différencie de Merlin et Lisette, valet et suivante de bourgeois. D’ailleurs, on

analyserons les caractéristiques de l’homme de lettres qu’il présente. Cyrano est avant tout un cadet de Gascogne et s’apparente ainsi à un véritable duelliste, un bretteur qui aime les confrontations. La scène à étudier, qui met Cyrano au centre du conflit, nous dévoile donc, par divers moyens, l’homme d’armes qui constitue une caractéristique du personnage éponyme. Le dramaturge souligne tout d’abord la fierté de Cyrano. En effet, la deuxième partie du vers 236 ainsi que la didascalie « épanoui »