Doit On Aimer Autrui

fût la seule vie véritablement heureuse ; mais il y a là quelque chose que le simple bon sens, et l'expérience la plus quotidienne, refusent d'admettre. Il peut certes bien arriver qu'un amoureux éconduit, emporté par sa souffrance, jure de ne plus aimer ; mais pourquoi ne tient-il jamais parole ? Sans doute sa douleur présente lui fait-elle oublier à quel point il avait été heureux d'aimer, avant que d'être repoussé, à quel point aussi il se sentait vivant et libre lorsqu'il était animé par son désir

une dizaine d'académies mais selon les résultats le programme doit prendre corps à la rentrée 2014! Son but est grand comme l'a dit Vincent Peillon je cite: "le gouvernement s'est engagé à s'appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités". Mais hottez-mois d'un doute, les relations homme/femme et la notion de sexe ne relèveraient-ils pas de la sphère privée? … Pour le gouvernement comme il y a interaction et relation avec autrui, cela relève du politique et il appartient donc à l'éducation

sortant des dogmes anciens, trouver des solutions nouvelles. Le domaine de la justice, est un domaine ou une vérité a besoin d’être prouvée. Pour la justice française, le culpabilité d’un individu doit être prouvée. On ne peut condamner un être humain sans voir la certitude qu’il est coupable. Le doute doit profiter à l’accusé. Trouver une preuve peut condamner ou innocenter un individu. Plus important encore, trouver une preuve peut innocenter un individu qu’on croyait coupable. C’est pourquoi la

contingente de l’agréable. Le Beau doit être le même pour tous. Malgré son caractère de plaisir, essentiellement subjectif, personnel et variable, le jugement esthétique est universel. L’état subjectif provoqué en moi par la contemplation est universellement communicable. Quoique subjectif, le goût esthétique n’est pas relatif. Dans le plaisir de l’agréable, je conçois sans peine que ce qui me plaît (la saveur d’un met, la couleur d’une étoffe) puisse ne pas plaire à autrui. Par contre, dans le sentiment

entreprise. Savoir-faire : - Capacité à décoder le discours d’un enfant : il peut y avoir une différence entre ce qu’il dit et ce qu’il ressent réellement ; - Capacité à éviter les crises ; - Capacité à s’auto-évaluer et à être évalué par autrui sans se sentir menacé dans son identité personnelle ; - Capacité à se remettre en question : il faut être capable de passer le relais à quelqu’un d’autre si on ne se sent pas capable de gérer la situation. Savoir-être : - Calme et sérénité ;

un contrat social qui empêcherait les attaques, la violence et l’agressivité. Hobbes croit que : «L’état doit détenir un pouvoir absolu qui, pour la sécurité de ses citoyens, l’ordre et la paix de son royaume, doit instaurer la peur et réprimer ses adversaires.» (Hobbes, Thomas, Encyclopédie de la philosophie, 2002, p.735) Donc Hobbes nous dit que l’homme est naturellement violent, l’état doit le protéger de lui-même et des ses semblables. De cette vision, on peut conclure que l’être humain est fondamentalement

communique le réel qu’à travers ce qu’on appelle l’univers de l’artiste. Comment cet univers paraîtra-t-il vrai à tous les hommes ? 3. la beauté : Mais là aussi, de nombreux problèmes se posent. La beauté est-elle la fin suprême de l’art ? Doit-elle être jointe à l’utilité ? Qu’est-ce surtout qu’on entend par beauté ? Quels sont les rapports avec l’expression de la nature et de l’imagination de l’artiste ? L’art pour l’art L’art a pour seule fin la beauté et la plaisir sans aucun

et ne passe pas par l’action. La liberté est un acte, l’homme n’est pas libre une fois pour toute, elle doit être réalisée. Réfléchir philosophiquement sur la liberté, c’est élever une intuition au statut du concept, ce qui nous amène à poser la question essentielle, qu’est-ce qui soutient la liberté, quelle est la causalité de la liberté s’il y en a une. Toute la problématique sur ce sujet doit se centrer autour de cette question fondamentale: puisque nous devons définir si la liberté est possible

Introduction à la Morale Sociale La morale sociale doit être définie par référence à la morale personnelle, que l'on appelle communément « morale » tout court. Celle-ci nous dit ce que doit être le comportement de l'homme par référence à sa fin dernière, à son bien suprême. La règle « tu ne tueras pas » est une règle de morale personnelle. La morale sociale nous dit ce que doit être la structure des institutions, Etat, famille, entreprise, etc., par référence à leur mission. La manière dont

avec le lecteur. Il y expose ses intentions ( raconter sa vie intégralement ou partiellement, tout dire ou ne pas tout dire...)( ( et/ou il y justifie son projet ( faire comprendre qui il est, rétablir la vérité sur lui-même, servir d'exemple pour autrui ...) et/ou il s'y engage à dire la vérité, ou fait part de sa conception de la vérité autobiographique( ( et/ou il fait part de ses difficultés ( la fragilité des souvenirs, le risque d'enjoliver le passé, les pièges de l'amour-propre ...) ( et/ou