Djenné

Faiblesse de l’unité et des identités nationales • Ressources fossiles attirant les grands capitalistes L’EMPIRE DU MALI Repères historiques • Essor au XIIIe siècle • Richesses : or, noix de cola, route des caravanes, grandes villes commerçantes (Djenné, Gao, Tombouctou…), esclaves • Lieu d’érudition pour l’islam • Réputation jusque dans les chancelleries européennes • Deux grands empereurs éclairés – Soundiata Keita (XIIIe siècle) – Kankou Moussa (1312-1337) • Début du déclin au XVIe siècle • Chute

Abderrahman ben Abdallah ben Imran ben Amir Es Sa'di (ou Sâ'îdi) est né le 28 mai 1596 à Tombouctou[1] et mort sans doute aux environs de 1656 (dernière année référencée dans ses écrits). Il travailla comme notaire à Djenné en même temps qu'il était suppléant de l'imam de la mosquée de Sankoré. À partir de 1627, il devint l'imam titulaire de ladite mosquée. Vers 1637, Es Sa'di regagne Tombouctou, sa ville natale, où il sera nommé imam. Plus tard il occupe la charge de Kâteb, c'est-à-dire secrétaire

dugutigui. 3. Economie de l'empire L'économie reposait sur l'agriculture, l'élevage, la peche et le commerce. Le Mali Sie englobait Les anciennes régions du Ghana échangeait Avec le Maghreb et les paie coties au Sud du Sahara. Walata, Tombouctou, Djenné ÉTAIENT Devenus les centres Commerciaux principaux de la région. Du Maghreb, le Mali recevait des tissus, des bijoux, le sel. Du sud le Mali importait la cola, de l'huile de palme. le Mali exporait de l'or, du poisson, des étoffes, artisanaux. Les

second époux de sa mère, Tidjani Amadou Ali Thiam, de l’ethnie toucouleur. Il fréquente d’abord l’école coranique de Tierno Bokar, un dignitaire de laconfrérie tidjaniyya, avant d’être réquisitionné d’office pour l’école française à Bandiagara puis à Djenné. En 1915, il se sauve pour rejoindre sa mère à Katioù il reprendra ses études. En 1921, il refuse d’entrer à l’École normale de Gorée. À titre de punition, le gouverneur l’affecte à Ouagadougou, en qualité d’« écrivain temporaire à titre essentiellement

Sikasso(Mali) par les Traoré, mais aussi contre la redoutable armée de Samory Touré. II.3  Le royaume de Ouahabou. C’est un petit royaume créé dans l’ouest du Burkina entre le Mogho et le Guiriko par un marabout musulman du nom de Mamadou Karantao venu de Djénné au Mali. Il s’implante à Boromo où il soumet les gourounsi et étend son territoire dans toute la boucle de l’ex Volta Noire. Vers 1850, il déplace sa capitale de Boromo à Ouahabou qui a donné son nom au royaume. En 1897 son fils Karamoko Moktar signe

fait la gloire de l’humanité : Saint Augustin, Origène, Tertullien, etc.   La philosophie va également durant cette période se déployer à l’intérieur du continent notamment avec les platoniciens et les aristotéliciens arabisant de Tombouctou, de Djenné et de Gao. Mise à part la brillante civilisation pharaonique africaine, l’Afrique de l’Ouest a été entre le treizième et le seizième siècle de notre ère, le siège de grandes universités africaines ou furent enseignés, par de grands maîtres à l’instar

souverains du Ghana, dont la capitale a été localisée à Koumbi Saleh, au sud de l’actuelle Mauritanie. À la fin du IXe siècle, les souverains de Ghana étendent leur autorité à l’ouest sur la région aurifère du Galam et sur le Tekrour, à proximité de Djenné et de Tombouctou, et au nord sur certaines tribus berbères du Sahara. Au Xe siècle, les Berbères d’Aoudaghost se révoltent contre l’autorité du tounka (roi) de Ghana, qui est mis à mort par le chef des insurgés. Vers 990, un successeur du roi de

Celle-ci début le 6 mai 1931, au bois de Vincennes, et plusieurs autres pays y participent. Sur 110 hectares, toutes les colonies et protectorats français sont représentés : le temple cambodgien d'Angkor Vat est reproduit, ainsi que la mosquée de Djenné au Niger. Les productions culturelles de chaque colonie sont mises en valeur (chanteurs, danseurs). En six mois, l'exposition accueille 8 millions de curieux (dont 1 millions d'étrangers). BLe colonialisme : triomphe ou déclin en 1931 ? 1Le succès

relative à une tonne de marchandise diverse. En utilisant ce critère, la typologie des ports algériens se présente comme suit : · Huit ports a prédominance de trafic de marchandise général, il s'agit : Alger, Dellys, Oran, Annaba, Mostaganem, Djen-Djen, Ténès et Ghazaouet. · Trois ports mixtes : Bejaia, Arzew et Skikda (ancien port). · Deux ports spécialisés dans les hydrocarbures : Bethioua et Skikda (nouveau port) 1.2. Les interrelations villes/ports : Adossée au port, la ville est évidemment

sculptures grises, l’autre sa puissante masse rouge ; le premier renferme des petits hommes jaunes, le second de grands athlètes noirs ; on passe du pays aux bâtons d’encens au pays des tam-tams ». Le pavillon de l’AOF est comparé à l’un de ses villages, Djenné, où l’art est sommaire, très simpliste voire grossier. Malgré le temple d’Angkor Vat, le pavillon africain demeure incontestablement le « clou » de l’Exposition Coloniale de 1931. Le pavillon est construit autour d’un élément central, qui est un