Divertir Ou Instruire

propos s’avèrent fort déplaisants. Certes la manière d’énoncer une histoire s’avère très importante, mais l’histoire en elle même l’est également ! En effet, l’histoire en elle-même est cruciale. Un écrivain se doit de songer autant à instruire le lecteur qu’à le divertir. Son histoire se doit donc d’être attrayante et de ne point ennuyer celui-ci, et c’est d’ailleurs à mes yeux toute la véritable intention de la tragédie ! Pour continuer, j’ai énormément travaillé mes œuvres tout au long de ma vie et

». Cette affirmation amène alors le lecteur à s'interroger si elle est conforme à ses attentes ? La réponse à cette question se fera en étudiant d'abord l’aspect plaisant d’une oeuvre ; cependant, comme on ne lit pas des contes seulement pour se divertir car il faut savoir apprendre d’une lecture, l’édification d’une œuvre sera nécessaire abordée ensuite afin de terminer par le constat suivant : un livre qui ne nous apprend rien n’est d’aucune utilité, l’œuvre doit apporter un raisonnement plus large

fonction ? Doit-on alors opposer littérature et réalité ? Nous verrons tout d’abord en quoi la littérature a en elle un pouvoir d’évasion ; ensuite nous nous attacherons à souligner le fait que sont but premier est de défendre ses idées et de nous instruire. Depuis que la littérature existe de nombreux romans ont fait rêver les lecteurs. Les écrivains font souvent appel à leur imagination ainsi le lecteur est donc confronté à une pensée qui n’est pas la sienne. De plus, les écrivains mettent en scène

parcours d'un groupe de révolutionnaires communistes au XXe siecle. Ainsi, au travers d’une fiction, le lecteur va à la découverte d’un ailleurs temporel, spatial, ou social, et dans tous les cas, va se détourner de son quotidien, et donc, se divertir. Mais là ne s’arrete pas les différentes découvertes qu’a à offrir une fiction, car en plus d’etre transporté dans d’autres milieux, le lecteur va aussi à la découverte de l’Autre. En effet, toute fiction repose sur ses personnages qui, bien que

ou, «pour vivre heureux, vivons cachés» (Le Grillon). Fénelon fut aussi le créateur de fables, en premier lieu, à but distractif, mais remarquées surtout comme éducatives. En effet, «Les Aventures de Télémaque» furent éditées en premier lieu pour instruire Louis de France, son jeune élève, même elles furent vite considérées comme une critique de la politique de Louis XIV. Il faut savoir que l'influence littéraire de Télémaque fut considérable pendant plus de deux siècles. C'est un livre pour jeune

son point de vue sur la politique qui ne lui est pas nouveau. Mais les gens deviennent attentifs et même intéressés, lorsqu’il attire leur attention sur une histoire d’aventures, qui semble avoir aucun lien avec le problème, mais au contraire les divertir. L'objectif classique de l'apologue est d'attirer l'attention des lecteurs sur un fait, une idée ou un système critiquable, en en montrant les faiblesses, l'ineptie ou l'absurdité, mais de façon ‘’masquée’’ et "détournée". La fable connaît un

regard sur les autres ? La littérature est un outil pour convaincre ou persuader le lecteur, l’écrivain Comment un écrivain peut-il selon vous convaincre ou s’en sert pour développer ses idées et nous les faire adhérer. Le rôle de l’écrivain est de divertir, de faire rêver, de dénoncer, d’expliquer... Pour cela il utilise différents moyens pour convaincre à travers la raison et joue avec les sentiments comme outil de persuasion. Ces deux mots sont complémentaires, on peut convaincre sans persuader

l'accessibilité de l'apologue aux enfants. Tout comme le conte, la fable raconte une histoire plaisante parfois même imaginaire. En effet, il n'est pas commode de rencontrer des animaux qui parlent. Cette facette de la fable la rend drôle et permet de divertir le lecteur. "Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi;" (V.34) pour un enfant il est marrant "d'entendre" ces animaux qui parlent et se comportent donc comme des Hommes puisqu'en effet, contrairement à nous, ils ne possèdent pas la parole. De

vivant, donc plus divertissant D. Les spectacles à vocation avant tout divertissante 1. Les procédés Caricatures humaines, comique de situation, quiproquo, coup de théâtre, dénouement heureux, miraculeux 2. Les registres et les exemples : se divertir c’est souvent rire, mais aussi pleurer, vibrer * Toutes les variétés du comique Le théâtre de foire au Moyen Age, qui s’adresse à un public très populaire, les farces, tout le vaudeville, le théâtre de Boulevard avec l’histoire ridicules des

surréalistes, marqués par la psychanalyse et mette en scène des personnages profondément divisés ; enfin ils ont lu Antonin Arteau et donne au corps et à l’espace une grande place. 2 partis pris : refus du réalisme et du théâtre de boulevard/ refus de divertir. Années 70 : Nouveau Roman (Duras, Saurault, Butor) expulse les effets du réel qui rendait le personnage vraisemblable personnage devient impersonnel. = théâtre depuis les années 80 I- Le Personnage Le degré du perso est réduit, on va