Dissertation Métaphore Filée

climat : « ténébreux orage ; tonnerre ; pluie ; brillants soleils », - le champ lexical du jardin : « jardin ; fruits ; pelle ; râteaux ; terres ; fleurs ; sol ». Et c’est en utilisant ces deux champs lexicaux que Baudelaire va construire une métaphore filée sur les saisons et le climat qui va occuper les trois premières strophes. On note parmi les termes importants : « orage ; soleil ; tonnerre ; pluie ; jardin ; fruits ; automne ; terres ; fleurs ». Dans ce sonnet, le temps devient le « Temps »

buissons et de prouver une soudaine arrivée de ce prince. Aussi, la métaphore « trésor » indique l’importance du personnage qui pourtant est anonyme dans le sonnet. Ici encore rien est cité directement, tout est signifié. Ce moment est crucial pour le conte puisqu’il annonce le réveil futur. Une touche musical au poème est matérialisée par l’arrivée de la coure de chasse du prince comme le stipule le conte. En effet, la métaphore « un vent fondue de flute » ainsi que « phrase de cor » tend à signifier

Pléiade comme Ronsard. Ici, le temps est représenté par la métaphore de l’eau qui est filée tout au long du poème. Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité" et présence d'adjectifs significatifs : "l’heure fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps du temps "l’océan des âges" (21, 35-36) assimilé à l’eau -> métaphore filée du temps qui coule. Les allitérations en [l], des vers

réveiller un mort ; mourir de faim LITOTE n.f. Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement : - Va, je ne te hais point METAPHORE n.f. Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison : - Et tes mains, feuilles de l’automne Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. METONYMIE n.f. Remplacer un élément par un autre élément appartenant au même ensemble logique (contenu ->

de la vie o Une vie qui passe Des comparaisons qui se ramènent tout le temps au flux de l’eau ▪ Comparaison  « comme eux s’est écoulée » et « Comme un enfant bercé par un chant monotone » ▪ Une métaphore filée entre la vie du narrateur et le cour du ruisseau « La source de mes jours comme eux s’est écoulée » et « Mon âme s’assoupit au murmure des eaux. » o Antithèse entre la vie et la mort ▪ « Un asile d’un jour pour attendre la

"comme du lait" (v.16) 3)La convocation des règnes végétal, animal et minéral - Le règne végétal: "les haies" (v.1), "les arbres" (v.5), "vert tendre" (v.6). - Les animaux: "poulains", ""brebis" - Le règne minéral est évoquée à travers une métaphore filée: "L'échelonnement des haies/ Moutonne à l'infini" (v.1 et 2) ou "mer claire" (v.2 et 3). Le poète décrit un paysage de campagne en assimilant ce décor à la mer (les haies ressemblent aux "moutons" de la mer puisque nous trouvons une opposition

. _Premièrement le travail est devenu un prédateur de l'enfant , Victor Hugo met en place une métaphore filée . Les thermes « machine sombre » , «  sous les meules » montrent que le travail c'est transformer en « monstre hideux » . « Il tue » et « souffle étouffant » le compare a un dragon , a un animal dont les enfants ne peuvent plus ce débarrasser . Il devient meme un rapace par la métaphore « il prend l'age tendre en sa serre » . De plus , le travail « brise la jeunesse » , « retire la pensée

Dans un passage où la poésie est renforcée par les anaphores « Adieu, Florence » et les appositions, les bannis montrent les différentes facettes du personnages « la bâtarde » Lorenzaccio utilise la métaphore filée de l'océan pour évoquer le monde et les hommes à l'acte III, sc.3. Une autre métaphore révèle l'horreur face à la vérité du monde, celle de la mise à nu : « la main qui soulevé une fois... sa monstrueuse nudité » acte III, sc.3 La variété du lexique s'explique d'abord par la variété

Tes yeux sont bleus comme le ciel 2) La métaphore: cela consiste à établir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outil. Elle fait ressortir une ressemblance entre 2 réalités non désignée habituellement. Ex: Et tes mains, feuilles de l'automne Les étoiles volaient dans les branches des arbres 2.bis) La métaphore filée: cela consiste à développer une suite de métaphores sur le même thème. La première métaphore en engendre d'autres construites avec le même

«hélas» «las» - Les pleurs / la plainte: - champ lexical «sanglots» (1925) «yeux enflez de pleurs» (1928) (Sédécie et les enfants) - Hyperbole 1919/1920 «Criant et lamentant d’une façon si tendre, Qu’ils eussent de pitié fait une roche fendre» / - métaphore «les flots d’une mer courroucée» : une personnification de la mer - appel à la plainte : appel d’Amital aux pleurs «Mes filles soupirez, pleurez, soyez en deul» (2013 impératif en gradation) - Démesure (2069) «Qui fournira de pleurs à nos yeux tarissans»