Dispositif Orsec

Introduction générale au droit Etre au courant de l’ensemble de l’actualité. Ex : Jeudi et vendredi dernier conférence sur l’environnement, dispositifs juridique nouveaux. Samedi aprem, manifestation devant l’ambassade des Etats unis à Paris. Informer l’autorité d’une éventuelle manifestation dans la rue. Celle-ci non autorisée, donc répression mise en œuvre. Mr Valls a annoncé qu’il y avait enquête. Il y a aussi la crise syrienne = Que fait la communauté internationale ? Différents sujets sur

chaque mois à midi. Le signal est diffusé par tous les moyens disponibles et notamment par le réseau national d’alerte et les équipements des collectivités territoriales. Il est relayé par les dispositifs d’alarme et d’avertissement dont sont dotés les établissements recevant du public et par les dispositifs d’alarme et de détection dont sont dotés les immeubles de grande hauteur. Les messages d’alerte contiennent des informations relatives à l’étendue du phénomène (tout ou partie du territoire national)

milliers de morts. Date et cyclone Certains cyclones très meurtriers et dévastateurs survenus par le passé [tableau ci-dessous] rappellent que la France d'outre-mer n'est pas à l'abri de nouvelles catastrophes, en dépit des progrès réalisés dans les dispositifs de prévision et d'information des populations. Les enjeux Les enjeux humains : au nombre des victimes corporelles, souvent important (environ 6 000 décès chaque année), s'ajoute un nombre de sans-abri, potentiellement considérable compte tenu

sanitaire et social) 2 dimensions : o hospitalière o extrahospitalière : méd du travail, scolaire, pénitentiaire, libérale secteur médico-social : EHPAD, ESAT, FO, MAS, SSIAD Dispositifs en santé mentale : CMP, HJ, CATTP, ESAT Sectorisation Dispositifs de soins d’urgence : SAMU, SMUR, PLAN ORSEC 4. Organisation de la protection sociale Ensemble des aides permettant d‘assurer une vie décente à chaque individu et à sa famille face à un risque social lié aux événements

une rupture. Une série de dysfonctionnement, Une inadéquation soudaine du cadre d’action, Une faillite de la capacité à appréhender, traiter et contrôler les événements, P. Lagadec (2004), Des difficultés quantitatives et qualitatives, Des dispositifs d’urgence pris à contre pied, Des incertitudes extrêmes, Une longue durée qui épuise les hommes, L’irruption d’un nombre impressionnant d’institutions, Des problèmes critiques de communication, Des enjeux considérables. Certaines dimensions

risque NRBC-E, crises sanitaires…) ; − la réaffirmation du rôle du ministère de l’Intérieur et de la DGSCGC (COGIC/CIC) pour la conduite opérationnelle des crises majeures ; − le renforcement de la place des SDIS et des sapeurs-pompiers au cœur du dispositif de gestion des crises, à travers notamment le renforcement de l’articulation entre les niveaux départemental et zonal, la revalorisation des moyens des états-majors interministériels de zone et l’optimisation des capacités de montée en puissance

de la sécurité c ivile du 13 août 2004 abroge la loi n° 87565 du 22 juillet 1987 relative à l’organisation de la sécurité civile qui reconnaissait juridiquement la notion de sécurité civile et l’établissement des plans d’organisation des secours (ORSEC). La loi de 2004 modernise la doctrine et l’organisation de la sécurité civile. Entretien du 6 octobre 2009 avec Monsieur Gilles BARSACQ Secrétaire Général pour les Affaires Régionales auprès de Michel SAPPIN, Préfet de la région Provence-Alpes-Côte

pour prévoir une éruption, il faut une surveillance intensive du volcan et de son environnement. Cette surveillance demande beaucoup d’argent. De ce fait, peu de volcans sont surveillés convenablement : 140 sont surveillés dont moins de 40 par des dispositifs complets. D’ailleurs, selon un modèle informatique, on a pu prévoir que, si le Vésuve entrait en éruption majeure, un million de personnes risqueraient la mort par asphyxie et brûlures en à peine 15 minutes. Loïc Grandcamp http://www.ac-nancy-metz

respect des règles qui régissent le fonctionnement de l'établissement, la gestion, l'approvisionnement, la préparation, le contrôle, la détention et la dispensation des médicaments, produits et objets mentionnés à l’article L. 512, ainsi que les dispositifs médicaux stériles". Les directives et recommandations relatives à l’achat, l’approvisionnement et la gestion s'inscrivent dans une démarche d'assurance de la qualité qui couvre autant les éléments techniques (médico-pharmaceutiques) qu'administratifs

d’une victime sur le brancard. 2. PRINCIPES GENERAUX DE RELEVAGE ET DE MANUTENTION La victime, soustraite à la cause de sa détresse et installée dans la position que nécessite son état, doit être placée sur un brancard, directement ou à l'aide d'un dispositif particulier de relevage, afin d’assurer son déplacement vers un poste de secours ou un véhicule de premiers secours. L’application des techniques de relevage comporte des risques, notamment pour la victime, qu'un bon entraînement et une connaissance