Disparition De La Démocratie Athénienne

La formation des Cités s'accompagne d'un déclin de l'institution royale qui laisse le champ libre à une prise de pouvoirs par une oligarchie formée par les grandes lignages mobilières de la Grèce. L'unité politique de la Cité était passée par la disparition des petites royautés traditionnelles. § 1 : L'éviction de l'institution royale L'éviction n'est possible qu'en raison de la faiblesse de la royauté à l'époque homérique. Cette éviction des rois se réalise tranquillement sans violence, simplement

hommages encore rendus au législateur de Sparte se trouve dans un texte de l’historien romain Justin, que l’on doit placer au IVe siècle après J.-C. Autrement dit, l’image de Lycurgue a non seu- lement traversé les siècles mais a survécu à la disparition de Sparte, à l’écroulement politique d’Athènes et même à la prospérité autocra- tique du Haut-Empire romain. Et que dit Justin, qui se fonde sur de bonnes sources, du modèle politique cher à Lycurgue ? Ce n’est ni plus ni moins qu’une rigoureuse

La République, Platon(-428/-347) Biographie de l'auteur: Platon est une philosophe grec du Vème siècles avant Jésus Christ,née a Athenes, il critique beaucoup la démocratie athénienne. Il rédige plusieurs ouvrages comme La République ou Les Lois qui parlent de lois et de politique de la citée idéal selon lui ainsi qu'une trentaine de dialogues, lettres, d'un livre de définitions et six dialogues apocryphes. Il crée aussi l'Académie, vers -388 av J-C qui durera près de 300ans. Platon est le

rester très conservatrice tournée vers les archaïques, la liberté d'expression n'était pas reconnue et établira un régime totalitaire. Athènes, rivale de Spartes est tournée vers les échanges, cité de la pensée de la politique, même si l'élan de la Démocratie a Athènes n'a été que très bref, cette expérience donne une réflexion politique ce que l'on ne faisait pas à Spartes. Malgré cette diversité les grecs sont tout de même conscients d'appartenir à une même communauté, celle des grecs. Les philosophes

siècle, les historiens nous ont affirmé que les grecs tiraient au sort car c’était la volonté des Dieux. Le tirage au sort est une modalité de désignation qui est meilleure que l’élection car elle est conforme à 2 principes qui sont au cœur de la démocratie : l’égalité, et une élection permettrait à des candidats d’utiliser leur puissance sociale et cela introduirait des inégalités de richesse ou de réputation ou encore d’éducation. Hors les démocrates grecs pensaient qu’elle favorisait les catégories

enthousiasmaient le public. Le jeune Platon les a certainement rencontrés. Mais Platon devait devenir un témoin de la décadence de cette Athènes qui lui était chère. défaite de sa ville dans la Guerre du Péloponnèse et le déclin de la démocratie athénienne qui s'ensuivit disparition des Cités grecques indépendantes remplacées par l'empire d'Alexandre période de transition entre la Grèce classique et l'Hellénisme qui inaugurait un nouveau chapitre dans l'histoire de l'Occident. La vie fréquenté

Démosthène, en grec ancien Δημοσθένης / Dêmosthénês, né à Athènes en 384 av. J.-C., mort à Calaurie en 322 av. J.-C., est un homme d'État athénien. Grand adversaire dePhilippe II de Macédoine, il est l'un des grands orateurs attiques. La jeunesse Démosthène naît dans une famille athénienne riche et commerçante, ce qui lui vaut le mépris des vieilles familles aristocratiques. Son père, Démosthène de Péanie, possède en effet une manufacture d'armes. Sa mère est d'origine scythe1. A sept ans, il

magistratures était restreint et que l'Aréopage détenait l'essentiel du pouvoir. Clisthène → souveraineté remise au peuple, espace civique remodelé, base concrète de l'égalité entre citoyens, appartenance aux dèmes. Naissance de la véritable citoyenneté athénienne et du statut de métèque. Facteur économique : monnaie et essor des échanges → l'appartenance à la communauté civique n'est plus nécessairement liée à la possession du sol.   B) Comment devient-on citoyen ? Politès (citoyen) = celui qui fait partie

CARTES - Le monde grec et la Grèce antiques (pp. 48-49) Doc. 1 : La cité des Athéniens Le territoire athénien, l’Attique, se situe à l’extrémité de la Grèce (voir carte 2). Après le territoire de la cité des Lacédémoniens (Sparte) et ses 8 500 km², la cité des Athéniens (2 400 km²) est le plus grand des territoires des cités grecques. Il existe, au ve s. av. J.-C., environ 700 cités grecques – le nombre exact est inconnu – et pour les trois quarts d’entre elles, le territoire est inférieur à 100

→ vocabulaire neutre, des mots d’une grande généralité pour garder une universalité à sa réflexion - caractérisation des personnages très sommaire " méchant et féroces " ; " petit royaume " ; " peuple qui se rassemble " → référence à la démocratie athénienne - " les peuples grandissaient de jours en jours "→ ça tient du mythe -" le coup étant fait " ; " exterminèrent "→ opinion du narrateur par l’insistance C) Le discours - effet d’authenticité, de rythme à la lettre. - Ce discours met