Dison

Notre compréhension du mal Le mal est définit selon bien de dictionnaire, comme le contraire du bien. Enfaite, pour définir le mal notre société le résume a l’oppose du bien. Nous établissons les choses que nous qualifions de bien et de mal. Nous disons mal ceux qui sont en désaccord avec les règles prescrite par la communauté. Nous choisissons des gens dans communauté pour faire respecter ces règles. Nous punissons aussi ceux qui sont en désaccord ou ceux qui violent nos règles. Dans les religions

paragraphe: célébration du « liquide » situé au centre du poème comme le jus à l'intérieur du fruit. Équivalence entre le plaisir gustatif et la jouissance verbale. - 4ème paragraphe: en jouant de la prétérition (dire que nous ne disons pas ce que néanmoins nous disons), tend à cerner, toujours de manière élogieuse, les particularités de l'écorce = renforcement de la vigueur de l'éloge et en même temps frustration de la part du poète. -5ème paragraphe : description détaillé du « pépin »: développement

L’homme est-il bon par nature?   Inconsciemment, même si nous ne le disons pas, lorsque nous disons que l’homme est bon ou mauvais, cela sous-entend toujours bon ou mauvais envers les autres êtres vivants qu’ils soient humains ou animal. Un individus qui ne fait de mal à personne est d’office qualifié de bon. A l’inverse, dès que l’on nuit à autrui sous quelques formes que ce soit, il devient difficile d’être rangé du côté du bien. Être bon ou mauvais relève donc de notre relation aux autres.

beaucoup ! Pourtant, baptisés, confirmés, mariés à l’église, nous nous disons chrétiens, disciples du Vivant : Jésus-Christ. Nous confessons qu’Il est mort et ressuscité. Et nous allons à la messe le dimanche. Alors, ce vernis chrétien, administré une fois pour toutes, ne devrait-il pas suffire ? Bien sûr, que non ! Car tout l’Evangile nous invite à croître, à grandir dans l’intelligence de la foi. Pour commencer, disons-le tout net. Pour nous, les sacrements ne sont pas ces rites magiques qui

remaniements politiques qu’elle a connus lui ont valu le changement de système. Progressivement, apparu l’égalité entre les citoyens y compris un élargissement de la sphère politique à certaines couches de la cité. En ce qui concerne la citoyenneté, disons que être citoyen n’était pas l’apanage de tous dans la Grèce Antique ; Les citoyens ne représente que 10% de la population. Deux possibilités s’offraient pour devenir citoyen athénien. Soit être fils de citoyen, soit être naturalisé.En effet, pour

et soi et soi-même ? Tel est l’objet de cet extrait du Rire. Une unique réponse : parce que nous appréhen- dons le monde en sa double épaisseur pour nos besoins, mouvement que l’usage commun du langage social accentue. Ainsi ne voyons-nous pas, ne disons-nous pas, ne saisissons-nous pas l’individualité de l’être. L’épreuve du texte nous invite à le comprendre. Sommes-nous dans une impasse, tout occupé de vivre, d’agir, de communiquer, de nous représenter les choses ? Sommes-nous2 condamnés à vivre

constater que sa thèse est : chercher les raisons pour lesquelles l’homme dit plus souvent la vérité qu’il ne ment sans écarté la possibilité du mensonge prépondérant. Et grâce à ce texte, nous allons pouvoir répondre à la question suivante qui est : disons-nous la vérité par respect pour la vérité ? En d’autres termes est ce que la vérité est une valeur et nous la respectons ou est-ce que la vérité est plus pratique à employer dans la vie de tous les jours ? Il faut déjà savoir ce qu’est la vérité…

à l'adolescence, en remplacement de celles-ci la nature dote les jeunes d'une nouvelle faculté : la conscience qui signifie savoir instantanément ce qu'on pense, ce qu'on dit ou ce qu'on fait. Et comme nous savons ce que nous pensons, ce que nous disons ou ce que nous faisons, nous pouvons réfléchir dessus. Le mot conscience est un des mots les plus important du vocabulaire car c'est la faculté qui différencie la race humaine du règne animal. Cette faculté permet à l'être humain d'évoluer et de transmettre

l’existentialisme est de mettre tout homme en possession de ce qu’il est et de faire reposer sur lui la responsabilité totale de son existence. Et quand nous disons que l’homme est responsable de lui-même, nous ne voulons pas dire que l’homme est responsable de sa stricte individualité, mais qu’il est responsable de tous les hommes (...). Quand nous disons que l’homme se choisit, nous entendons que chacun d’entre nous se choisit, mais par là nous voulons dire aussi qu’en se choisissant, il choisit tous les

Il n’est pas motivé du tout au travail parce que c’est pas un travail qui n’est pas stressant du tout. Ce n’est pas un travail qui demande beaucoup de tache c’est juste une seule tâche fait qu’il n’y a pas de motivation. Ce qu’il aime le plus , disons ce qui le motive le plus c’est le fait d’aider son prochain, le fait d’aller chercher des dons l’encourage à se donner à fond dans son travail. Ce qui le démotive c’est le fait de toujours rester au téléphone , ce travail ne le permet pas de se démarquer