Dison

minorité des hommes auraient pu être vrai. L'opinion est relatif à la vérité c'est à dire que la vérité ne peut pas être affirmé non plus par la majorité des hommes. Le plus souvent nous pensons que l'opinion mène à la vérité c'est à dire que si nous disons que cette opinion est vrai cela veut dire que nous avons acquis une sorte de vérité. Mais la vérité est différent de l'opinion car la vérité c'est l'accord de nos pensées avec la réalité. C'est une accession au réel. L'auteur ensuite par la conjonction

la contiguïté dans l’espace et le temps des sensations, de leur ressemblance à d’autres séries et surtout de leur causalité, Berkeley présente l’existence réelle de l’objet comme une remarque immédiate par l’esprit de cette liaison de sensations. Disons donc qu’il présuppose sans l’énoncer l’expérience de la cerise, condition pour que j’en reconnaisse une et donc que j’ai toujours eu les mêmes sensations ou plutôt des sensations semblables. D’ailleurs le mot « cerise » (ou « cherry ») s’applique

positive dans l’ensemble il n’y a pas eu de souci ; beaucoup moins au niveau du cercle familial. Mes parents n’ont pas accepté et c’est toujours assez difficile. As tu ressenti un sentiment d’exclusion à l’annonce de votre orientation sexuelle? Non, disons que ça entraîne des changements sur le comportement des autres forcément. Maintenant non euh.. J’estime ne pas avoir été victime d’exclusion à cause de ça. Maintenant voilà il y a des personnes qui comprennent mieux que d’autres ; notamment au niveau

compte des fins ultimes des actions. Les fins ultimes ne sont pas non plus des données universelles, elles sont des valeurs, qui expriment certains rapports des acteurs les uns avec les autres et vis à vis des situations. En guise de conclusion, disons que le fonctionnalisme est nettement opposé aux théories évolutionnistes qui pensaient pouvoir étudier les types d'institutions en les détachant de leur contexte. Pour ce courant, la société est un système dont les parties sont intimement liées comme

l'existence du mal sur la Terre il semble que l'on peut en conclure que celle-ci n'a pas été créée par un être bon et omniscient. Deux attributs divins apparaissent en contradiction. Nous ne disons pas : l'existence du mal, mal physique, mal moral, est incompatible avec l'existence de Dieu ; mais nous disons qu'elle est incompatible avec l'existence d'un Dieu infiniment puissant et infiniment bon. Le raisonnement est connu, ne serait-ce que par les multiples réfutations - toujours impuissantes

Et pour finir la phase éditorial, le roman devait alors être modifié ou non à la demande de l’éditeur. Ces corrections n’étaient pas forcément positives du point de vue de l’écrivain, pour Flaubert cela appauvrissait sa pensée  « disons notre pensée entière ou ne disons rien ». La façon d’écrire de ces auteurs donne de très bons livres car ils ont préparés méticuleusement le roman au brouillon, pas sans difficultés, et ainsi certaines œuvres sont très réalistes. Par ailleurs, l’avenir

l’annoncent pour le religieux. Qui a la foi lira le texte religieux comme la parole de son Dieu alors que celui qui ne l’a pas y verra un mythe. Les Anciens entendaient la voix de Zeus dans les chênes de Dodone. Quant à nous, c’est à peine si nous nous disons que c’est possible. Or, si la foi exclut la preuve dans son domaine, elle ne l’interdit pas dans les autres domaines. C’est en ce sens qu’elle n’est pas l’ennemi de la preuve. C’est même pour quoi elle peut au contraire chercher à trouver des preuves

dans l'un et l'autre cas, c'est l'intérêt qui prime et non le sens moral. Les hommes ne disent la vérité que parce que cela les arrange et non parce que c'est bien. Nietzsche met donc en évidence deux motivations principales : Premièrement, nous disons la vérité parce que c'est plus commode. Autrement dit, nous ne choisissons pas le droit chemin parce que C'EST le droit chemin, mais parce que celui-ci est plus facile à suivre. Le mensonge demande plus d'efforts : il faut cacher la vérité de manière

de séparer ces deux phases. Généralement quand nous présentons les principes de la procédure civile, c’est une procédure accusatoire ; nous disons qu’elle est laissée à la discrétion des parties, au nom du principe du « dispositif ». Le procès civil avance au rythme des écrits des parties qui se recentrent au rythme des litiges. C’est pourquoi nous disons que ce procès est aux antipodes du procès pénal. Mais en réalité il y a beaucoup de points communs, dès lors que devant chaque juridiction il

écouter ce que nous croyons muet, un sentiment enfoui, un arbre dans notre rue. Les vers des romantiques parlent d'une autre époque, il y a 150 ans, mais ils nous parlent de nous-mêmes. Ils nous disent qu'il faut écouter ce que nous disons de nous comme ce que nous disons en nous. Aujourd’hui le romantisme est pour nous le symbole de l’amour !