Dieu Et La Religion La Peste Camus

Thèmes: La religion, que ce soit pour la défendre (cf. D'Aubigné, Pascal) ou l'attaquer (cf. Voltaire). Les questions sociales : le colonialisme (cf. Diderot, Césaire, Roumain, Glissant), l'esclavage (cf Montesquieu, Condorcet, Voltaire), la dénonciation des injustices (cf. les philosophes des Lumières). Les valeurs humanitaires : la liberté, la lutte contre le racisme, la défense de la négritude (cf. Césaire, Senghor, Glissant) ; des émigrés (cf. Tahar Ben Jelloun); pour l'humanité

l'inconscient comme une autre personne qui parle en ns et qui peut perturber notre ns conscient. 2)-Le modèle du rêve Freud a affirmé que la psychanalyse est né de l'analyse des rêves. Le rêve, c'est la voie royale qui mène à l'inconscient. « Dieu est l'asile de l'ignorance » Spinoza. Freud n'est pas le premier à s'intéresser aux rêves ms on peut considérer que c'est l'une des premiers à avoir adopté à l'égard du rêve une attitude rationnelle. « Ds le rêve, on ne voit pas le futur ms le

nouvelle ère de savoir-vivre est mise en place. Les auteurs humanistes du XVIIème siècle : * Blaise Pascal né en 1623 souhaite persuader ses lecteurs à travers différents essais, pensées. Il voulait montrer la misère de l’Homme sans Dieu, pour lui, seule la religion chrétienne permettrait de comprendre la création et condition humaine. * Jean de la Fontaine né en 1629 dénonçait sous une autre forme que Pascal. Il soutenait que la relation entre les hommes était fondée sur la violence et l’abus

« Il me semble d’ailleurs qu’on ne devrait lire que les livres qui vous mordent et vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon lire ? Pour qu'il nous rende heureux, comme tu l’écris ? Mon Dieu, nous serions tout aussi heureux si nous n'avions pas de livres, et des livres qui nous rendent heureux, nous pourrions à la rigueur les écrire nous-mêmes. En revanche, nous avons besoin de livres qui agissent sur nous comme un malheur dont nous souffririons

Bibliothèque nationale de France direction des collections département Littérature et art Janvier 2010 CINQUANTENAIRE DE LA MORT D’ALBERT CAMUS (1913-1960) Bibliographie sélective En 1957, alors qu’il était en pleine période de doute et de rupture avec l’intelligentsia de gauche, Albert Camus se voyait attribuer le prix Nobel de littérature, en raison de « son engagement moral authentique ». A travers son œuvre de journaliste, romancier, essayiste et dramaturge, il fit entendre une voix singulière

littérature française du XXe siècle : Écriture de la Résistance et de l’Engagement. Chaïm Soutine, Le Bœuf écorché, 1925 « Il ne s’agit pas en effet pour l’artiste d’un engagement volontaire, mais plutôt d’un service militaire obligatoire. ». Albert Camus Préface Le XXe siècle fut marqué par les deux Guerres mondiales et la Guerre froide qui bouleversèrent l’équilibre et perturbèrent les principes de toute l’Europe et notamment celui de la France. Graduellement, celle ci s’éloigna des valeurs

ne demande pas à être acceptée éternellement par un acte de foi." (Alain Bouquet / Aux sources de l'espace-temps dans Les Cahiers de Science et Vie, Nº 54, décembre 1999) "Peut-on être un saint sans Dieu, c'est le seul problème concret que je connaisse." (Albert Camus / 1913-1960 / La Peste) "Un peuple sans superstition serait philosophe, et les philosophes ne veulent jamais obéir." (Giovanni Casanova / 1725-1798 / Histoire de ma vie) "Un philosophe se sauve de la médiocrité seulement

amour qui semble indissociable est éternel entre Alyssa et Jérôme, mais le tout à la figure d’une relation platonique. On assiste à la désillusion d’un amour terrestre et social (le rôle des fiançailles et du mariage) auquel on préfère l’amour de Dieu. On remarque aussi l’amour secret (celui de Juliette pour Jérôme), les fausses confidences et l’amour impossible. La raison : la raison conduit à un bonheur simple est accessible, à la vie, aux joies terrestre est à la maternité. Juliette en est

L’étranger, Albert Camus Résumé de l'Etranger Première partie Meursault, le narrateur, est un jeune et modeste employé de bureau habitant Alger. Le récit commence le jour de la mort de sa mère. Au petit matin, il reçoit un télégramme de l'asile de vieillards de Marengo, situé à quatre-vingt kilomètres d'Alger lui annonçant son décès. Elle y séjournait depuis trois ans. Meursault demande et obtient un congé de quarante huit heures et va déjeuner chez Céleste, un restaurant où il a l'habitude

dans l'introduction. Cependant, on ne peut pas comprendre pleinement le sens de ces mots sans bien connaître la biographie de l'auteur. Roger Martin du Gard, un écrivain français, était l ‘ athée – alors pour lui n’existait pas la vie postmortelle, le Dieu n’existait non plus. La vie comme « l’unique bien » ce n’est pas seulement quelque chose d’extraordinaire pour lui – c’est même une seule vie qu’on a (il ne croyait pas en résurrection) alors il faut bien d’en profiter. Du Gard a vécu dans la période