Devoir Moralité

des mœurs Emmanuel Kant Préface et première section Problème :Comment passe t-on de la connaissance rationnelle commune de la moralité à la connaissance philosophique ? Thèse : Dans la connaissance rationnelle commune la bonne volonté ainsi que le devoir dans notre principe de volonté sont les conditions sine qua non de la valeur morale de nos actions. Cependant si la raison commune dit à tout homme ce qu’il appartient de faire et de

On pose la question de savoir si l’homme est par nature moralement bon ou mauvais. Il n’est ni l’un ni l’autre, car l’homme par nature n’est pas du tout un être moral ; il ne devient un être moral que lorsque sa raison s’élève jusqu’aux concepts du devoir et de la loi. On peut cependant dire qu’il contient en lui-même à l’origine, des impulsions menant à tous les vices, car il possède des penchants et des instincts qui le poussent d’un côté, bien que la raison le pousse du côté opposé. Il ne peut donc

sentiments, la loyauté dans ses engagements. La fidélité est le fruit de l'Esprit, elle est avant tout un état intérieur du cœur. Cet état s’exprime par le fait de conformer sa conduite à ses engagements. Cette vertu qu'est la fidélité, relève donc du devoir moral et d'une conduite respectueuse. Dès lors, il convient de s'interroger sur la nature et les conséquences de la fidélité entre les hommes. C’est donc ce que je vous propose au travers de deux questions : DES QUESTIONS POSEES La fidélité

La question de la moralité d’une action se divise par plus que une conception. Premièrement, la motivation d’agir peut bel et bien être à la base de la moralité d’une action. Pour Hume, la raison est inerte au point de vue motivationnel, et pour lui, la loi morale ne peut pas être conduite par la raison, car nos idées et nos croyances ne peuvent pas motiver à agir. Cela voudrait dire que notre raison découle d’un sentiment ressentis, d’une passion unique a l’individu qui la ressent. Mais le problème

Devoir et bonheur. Le Pb que nous poserons ici est de savoir si la quête du bonheur est vraiment étrangère a la morale.(amorale ou immorale.) ce qui peut conduire a se demander s’il faut renoncer a être heureux pour faire ses devoirs et devenir un agent moral ou si au contraire il est possible de réconcilier bonheur et devoir ,aspiration au bonheur et souci de la moralité . I- Notre doxa moderne tend à dissocier bonheur et devoir, à les tenir, sinon pour antinomiques, sinon étrangers l’un

de l’amour-propre, sont la puissance la plus grande. Leur force réside en ceci, qu’elles ne respectent aucune des bornes que le droit et la moralité veulent leur imposer. De surcroît, la force naturelle de la passion est plus apparentée à la nature humaine que l’apprentissage long et artificiel du sens de l’ordre et de la modération, du droit et de la moralité. Lorsque nous considérons ce spectacle des passions et les conséquences de leur déchaînement, lorsque nous voyons la déraison s’associer non

QU'EST-CE QUE L'AUTORITE PARENTALE? L'autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l'intérêt de l'enfant. Elle appartient aux parents jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant pour le protéger en matière de sécurité, santé et moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne. Les parents doivent associer l'enfant aux décisions qui le concernent, selon son âge et son degré de maturité. REGIME ANTERIEUR

encore être heureux. Celon Kant on ne peut pas à la fois faire son devoir et rechercher le Bonheur, parce que le devoir c'est precisement faire passer l'imperatif de la moralité avant la recherche du bonheur. Faut t'il renoncer à être heureux pour être moral ? Une telle morale serait inhumaine, parce qu'il est dans la nature même de l'homme de rechercher à être heureux . Mais devoir et Bonheur son incompatibles. Il faut faire son devoir sans ce soucier d'être heureux, tout en esperant qu'il y aura

actions morales ont d’autres motivations premières que la recherche du bonheur, mais que celle-ci demeure la fin ultime vers laquelle elles tendent. Idéal utilitariste : néanmoins le bonheur général et non le bonheur individuel. Question du sentiment du devoir et des sanctions dans le chap. III. Pour Mill, pas de distinction réelle entre le désir et la volonté (contrairement à Kant). Le but : passer du bonheur individuel au bonheur général sans recourir à un dualisme de type kantien entre la nature et la

A-t-on des devoirs envers soi-même?Svetlana Sauthier Mardi 19 avril - A-t-on des devoirs envers soi-même? Le devoir renvoie à l’ensemble des règles morales ou juridiques que l’on doit respecter. Le devoir se distingue, par définition, à ce que l’on fait spontanément et pose des limites à notre liberté. Les lois nous les imposent par le moyen de sanctions. Mais dans la mesure où nous aborderons ce sujet d’un point de vue philosophique, il ne sera pas question de savoir s’il existe effectivement des