Désiré Landru

L’argent ne fait pas le bonheur Qui n’a pas un jour rêvé d’être riche ? De posséder une fortune pour pouvoir assouvir ses désirs et ses besoins ? Mais est ce que l’argent représente vraiment le seul moyen d’atteindre le bonheur ? N’est il pas vrai que le coté spirituel et humain est le meilleur chemin d’y parvenir ? Les uns disent que l’argent ne fait pas le bonheur, d’autres prouvent le contraire, mais qui des deux clans a raison ? Des nos jours, l’argent représente le seul moyen

derrière une apparence de bons sentiments. Molière cite que la comédie sert à critiquer avec humour son époque. Tartuffe apparaît à la scène 2 de l'acte III : il vient de montrer sa dévotion affichée. Avec Elmire dans la scène 3, il dévoile son désir amoureux. La place de cette scène au milieu de la pièce marque son importance. Tartuffe y dévoile sa véritable face. Ces deux tirades constituent la preuve de son hypocrisie, remarquable par le double langage qui s'y déploie. Nous allons nous intéresser

comme les philosophes de l'époque baroque, période marquée par un certain pessimisme, estiment que le bonheur est impossible. D'une part, Hobbe dénonce la mauvaise nature de l'homme qui est de toujours désirer et de désirer toujours plus. De plus, selon lui, l'homme ne veut pas le plaisir, ce qu'il désire le plus c'est le pouvoir. L'homme veut toujours obtenir un bien dans le futur par les moyens présents. Il n'est donc jamais satisfait et jamais heureux. D'autre part, Pascal pense que l'homme ne peut

changements opérés dans Agnès ? Agnès va vers Horace en vertu d'une conscience personnelle (ce qu'Horace appelle la « nature »). C'est le « je ne sais quoi » mentionné par Agnès au vers 7 de la scène 5 de l'acte II. Elle se laisse porter par le désir et ne peut croire qu'il y ait du mal dans le plaisir. La prescience intuitive s'oppose au savoir dogmatique et anti-naturel d'Arnolphe. 3) a) Relevez les marques de la personne dans la lettre d’Agnès. Que suggèrent-elles sur l’état d’esprit du personnage

évitant le malheur qui accompagne le bonheur ? Le désir est considéré par Spinoza dans L’éthique comme une force vitale. Se contenter de peu de désirs revient à vivre moins intensément, et donc à moins être heureux. -Un homme qui n’a pas de rêves, de but dans la vie ne trouve pas de raison même à vivre. Espérer, rêver, c’est avancer dans la vie, c’est ce qui nous pousse à agir. -Assouvir un désir mène dans un premier temps au bonheur, mais une fois ce désir assouvi, un autre vient forcément combler le

Dans quel mesure le couple présenté est il victime de la société dans laquelle il vit ? Dans une première partie nous allons voir que le couple est en fait réuni par un désir d’argent puis dans une seconde partie, nous verrons que ce récit est le constat d’une vie décevante. Voyons d’abord que ce couple est réuni par un même désir de richesse. L’argent est le seul vrai sujet de conversation du couple, en effet le couple ne partage rien d’autre que ce plaisir à dépenser l’argent, à consommer. Dans

que l’objet de mon désir est à moi, qu’il me comble… Mais peut-on alors réellement parler de bonheur, et surtout, de quel bonheur parle-t-on ? Car posséder ce que je désire aussitôt que je le désire, si souhaitable que cela paraisse, n’est-ce pas me condamner à toujours vouloir davantage, ou à toujours vouloir autre chose… et finalement à n’être jamais content, donc satisfait ? Mais d’un autre coté, peut-on vraiment croire celui qui nous dira être plus à attendre ce qu’il désire plutôt qu’à l’avoir 

sociales sont concernées, l’apparition du crédit bancaire permet aux classes les plus modestes de se faire plaisir, la stratégie des médias s’adapte à la demande en créant des consommateurs purs, des individus dirigés par leurs désirs. Le rapport désir/plaisir est tout de suite assouvit. Une idée d’accomplissement personnel par la dépense est répandue. Les « économies » ne servent « plus à rien » il est question de se faire plaisir, tout de suite. 2 Plus de vingt-cinq ans après, l'analyse de

vous fouette d'un désir subit, et vous laisse jusqu'à la nuit une inquiétude vague et un soulèvement des sens » En tout cas, Henriette est sensible à l’alcool, qui lui fait tourner la tête et finalement rejoindre Henri. Au début de leur approche, elle est plutôt gênée et timide (contrairement sa mère), puis le vin la désinhibe. On voit sa sensibilité au fait qu’elle est touchée par le récit presque poétique de la vie du canotier. Henriette incarne la jeunesse et le désir encore pleins d’innocence

et si un produit réussie à ressortir les 2 critères, ça veut dire que c’est un produit qui répondra parfaitement aux attentes féminines. 3) Axe de positionnement choisi : psychologique, car on fait appel au plaisir et à la satisfaction du désir, et on est dans une communication non persuasive, mais suggestive. 4) Le positionnement peut être justifié : -Attractif : car il répond aux attentes de la cible féminine. -Distinctif : car il ne ressemble pas aux positionnements des marques