De La Suzeraineté à La Souveraineté Du Roi

tellement à la suite d'une usurpation au détriment du roi mais à la suite d'une carence du pouvoir royale a la fin de l'époque carolingienne. Chaque fois que un pouvoir qui est constitué en droit décline et ne remplit plus sa fonction, il émerge un pouvoir de fait qui est nécessaire au maintient de l'ordre sociale. Le régime seigneurial c'es ainsi formé par une extension des droits du grand propriétaire du droit qu'il exerce sur ses terres. Les grands propriétaires ont assumés les tâches que le roi était

légistes du roi inventent la formule selon laquelle « le roi est source de toute justice et fontaine de justice ». Cela ne signifie pas que la loi édictée par le monarque est la seule source du droit, mais il devient possible de faire appel devant la justice royale des décisions de la justice seigneuriale. Le principe de prévention permet à la justice royale de se substituer au juge seigneurial en raison de son inaction. Enfin, les cas royaux, toujours plus largement définis, se voient soustraits à la justice

Dépositaire de la souveraineté, le prince exerce le plus haut degré de puissance publique, il dispose des attributs de cette souveraineté, ou pour reprendre les termes de Bodin et de Loyseau, de ses « marques » Bodin dégage cinq marques de souveraineté, englobant l’ensemble des prérogatives régaliennes. Loyseau s’inscrit dans la même ligne, usant de formules plus percurtantes. Pour l’un et l’autre, la principale marque de souveraineté consiste dans le pouvoir que détient le roi de faire la loi, les

public dont l'auteur est probablement Evrart de Trémaugon. Ce traité a été composé par Charles V dit Charles le Sage qui fût roi de France de 1364 à 1380. Son règne a marqué la fin de la guerre de Cents ans où il réussi a récupérer une grande partie des terres perdues, et restaure l'autorité de l’État. Le titre de ce texte est lié à une légende : on dit qu'Evrart de Trémaugon s'était endormi dans un verger, où il aurait rêvé du roi accompagné du pape, ainsi que d'un clerc et d'un chevalier choisit

A. Evolution de l’Empire Rome intègre ses conquêtes dans le monde de la romanité Edit de Caracalla : Citoyenneté à ts les habitants de l’Empire Rayonnement IIe siècle. Frontières assurées par légion pr assurer paix, prospérité, sécurité. Mais équilibre en réalité précaire. Arrêt des conquêtes : pertes de la main d’œuvre, appauvrissement de Rome. Crise au IIIe siècle eco, morale et sociale ms srtt pol et institutionnelle très grave Tribus germaines contenues à l’extérieur grâce à légions

siècle et qui se développe surtout à partir du Xe siècle est un système politique caractérisé par l'affaiblissement du pouvoir central royal et le morcellement du territoire en seigneuries où règnent la prédominance des seigneurs locaux. Mais ce système est surtout caractérisé par l'apparition du fief et du contrat vassalique, où un lien de dépendance s'établit entre un homme libre et un seigneur avec un ensemble de droits et de devoirs réciproques. L'on va donc assister à la création d'une pyramide sociale

modernité qui va du règne de Henri IV à la mort de Louis XIV, c'est le temps d'une rupture définitive d'avec l'ordre féodal. Mais il faut également envisager un temps plus long, depuis les premières vraies traductions de la volonté politique des rois de France de mettre en place l'Etat moderne jusqu'au temps du déclin, au terme duquel la souveraineté passe définitivement à la nation avec l'exécution de Louis XVI. Il convient d'accorder une attention toute particulière à la formulation de cette question

devient dominante et contribue à reléguer au second plan l’histoire. La société est dépourvue de tout passé, c’est le produit d’individu autonome, libre à l’égard de tout héritage. Notre esprit moderne y est réfractaire il y a une idée de dépendance à l’ancêtre. Nous sommes ainsi enclins à penser que l’histoire n’est pas contributive à l’égard du passé. L’intuition de la démocratie, c’est mettre en scène un individu citoyen à faire acte pour lui-même. * Se référer à « De la démocratie en Amérique »

 il est devenu faible et nulle part il y a de pouvoir fort. L' Église  connait alors un abaissement très profond, la papauté va être discrédité par la mauvaise conduite des  Papes eux­même et dans l'Église locale c'est la discipline qui règne. On se met à vendre les charges  épiscopale ou à les transmettre d'oncle à neveux ou de père en fils. La mort d' Otton II va laisser  l'empire sans chef, l'Espagne va également sombrer dans les troubles.  La génération qui a connu l'an 1000 a vécut un destin tragique, bouleversé par les angoisses

L’accroissement du pouvoir Français 1.A la croisée des dynasties : la grandeur Capétienne Du règne de louis le Jeune à la bataille de Bouvines Bien que les derniers temps du moyen âge se sont caractérisés tout d’abord par une phase d’effacement, d’effondrement même, du pouvoir royal (10e-11e siècles), on remarque tout de même un passage à une société intermédiaire entre celle de l’âge précédent où l’église avait tout absorbé et la future société de la renaissance. En France c’est une période