De Gaulle Monarque

des Francs, Clovis. Longtemps considéré dans l’historiographie comme étant l’un des personnages historiques les plus importants, son règne fut celui du premier roi chrétien des Francs. Cette lettre s’inscrit justement dans le cadre du baptême du monarque, et l’évêque le félicite d’avoir embrassé la foi chrétienne orthodoxe. Il est utile de mentionner qu’à la date de rédaction de cette lettre, c’est-à-dire aux alentours de 499 de notre ère, les frontières politiques des différents royaumes d’Europe

et Paul Duez dans un Traité de droit constitutionnel, en 1933. Ce qui pouvait être évident sous la IIIe et la IVe Républiques se révèle plus compliqué pour la Ve République. La particularité principale de la Ve République, pensée par le général de Gaulle et insaturée par la Constitution de 1958, est un chef de l’exécutif fort. La légitimité de ce Président de la République s’est accrue par le fait qu’il soit désormais élu au suffrage universel direct. Pourtant, malgré ses importantes prérogatives

est aussi le chef des armées il négocie et ratifie les traités et représente la France à l’étranger. Ainsi doter de large pouvoirs, le président est bien la clef de voute des institutions. Élu 1er président de la 5ème république, le général de Gaulle montre par sa pratique institutionnelle le sens qu’il a voulu donner à la constitution. Il s’impose comme le seul chef de l’exécutif. Il faut que le 1er ministre ait sa confiance et procède de lui, et non de l’Assemblé nationale. Il se place au dessus

institutionnalisé la place du général de Gaulle dans les institutions en choisissant l’élection au suffrage universel direct. Le général de Gaulle estimait que l’élection au suffrage universel n'était pas nécessaire pour lui dans le cas d'une légitimité historique, et considérait que cela bénéficierait à ses successeurs. Il en va de même en Irlande, Islande ou on a voulu donner une légitimité populaire au chef de l'Etat qui de cette façon n'aurait rien à envier au prestige du monarque. En Roumanie et Pologne, on

mécanismes juridiques indispensables à l’équilibre et à la bonne marche des fonctions politiques ». Juridiquement, l’esprit initial de la Ve République –et à travers elle du Comité interministériel chargé de la rédaction de la Constitution et dirigé par de Gaulle– est bel et bien d’instaurer un régime parlementaire, dans le but de mettre un terme à l’instabilité parlementaire des IIIe et IVe Républiques. Si l’apport essentiel de la Ve République a consisté à doter notre pays d’institutions stables –atteignant

1. De Gaulle et les « Gaullistes » 1.1. La réforme de 1962 et ses conséquences Le 18 mars 1962 les accords d’Evian sont signés et la guerre d’Algérie prend fin après de longs moments d’hésitation de la part de de Gaulle. Plusieurs officiers français d’Algérie ne peuvent l’accepter. Le 22 Août 1962 l’OAS organise un attentat auquel le Général échappe de peu (Attentat du Petit Clamart). En réaction à cela et envisageant sa disparition brutale il propose une réforme de la constitution faisant passer

rupture par rapport à la tradition parlementaire de la République française dans la volonté de renforcer le rôle du pouvoir exécutif. Elle est régie par la constitution du 4 octobre 1958, approuvée par voie référendaire. Son instigateur est Charles de Gaulle et il en deviendra le premier président. Sur le plan de la durée, la Cinquième République qui a fêté ses 55 ans en 2013, est le régime républicain français le plus stable après la Troisième République (1870-1940). Qualifié de régime semi-présidentiel

LA RENAISSANCE Lyon était, à l’époque de la Renaissance, habité de 60000 habitants, résidant en permanence en ville. Elle fut une des villes les plus importantes d’Europe, et fut un point de rencontre entre différents commerçants, artistes et monarques. On considère que la ville connu son apogée entre 1515 et 1562, et son déclin de 1562 à 1577… Comment Lyon fut, à la Renaissance, un centre politique, économique et culturel ? On abordera tout d’abord la puissance politique et économique

souveraineté nationale, c’est-à-dire que dans la théorie du gouvernement représentatif, un principe selon lequel les organes suprêmes de l’état (spécialement les organes législatifs) ne tiennent pas leurs pouvoirs d’un droit propre (contrairement au monarque de l’Ancien Régime) mais l’exercent en qualité de représentants qui peuvent seuls exprimer sa volonté, et de la souveraineté populaire, désignant un principe selon lequel la souveraineté appartient au peuple, défini concrètement comme l’ensemble

debre devant le conseil d'etat en sont la preuve . on en conclut que l'esprit initial est parlementaire,comme on peut le voir dans le texte de la constitution . mais cela nierai lappensée du principal auteur de la constitution qu'est le général de gaulle , qui lui n'a jamais été question d'un simple rééquilibrage des pouvoirs . dans une deuxième relecture de la constitution on peut apercevoir que le véritable esprit est celui du discours de bayeux , dans les termes utilisé , dans l'odre d'apparitions