De Gaulle Monarque

parenthèse inspirant les 2 monarques : Louis XVIII jusqu’en 1824 puis Charles X jusqu’en 1830 qui ont vécu l’évolution du régime britannique. Ils ne vont pas faire une Constitution en 1815 et en 1830 mais vont imposer une Charte qui est une concession faite par le monarque incarnant l’intégralité du pouvoir mais acceptant, dans le cadre de la charte, de « s’amputer » d’une partie de son pouvoir au profit d’une assemblée. I. Une monarchie parlementaire A. Le monarque Il détient à lui seul le chef

A l’heure de l’hyper présidence de Nicolas Sarkozy, un certain nombre d’individus remettent en question la légitimité et l’action du président de la République, lequel n’a plus l’influence et la popularité qu’a pu connaître De Gaulle dès 1958. La conception du chef de l’Etat semble donc avoir évolué en apparence, mais ce n’est en réalité que parce que « la France vit encore dans le mythe du  ‘héros’, recréant ainsi au travers même d’une stabilité de plus de dix années les conditions de l’instabilité »

DISSERTATION : L’exécutif sous la Vème république (model) -       La 5e République maintient le dualisme de l'exécutif propre au régime parlementaire, représenté par le président de la République et le premier ministre. Le chef de l'Etat, successeur du monarque, garantit la continuité des institutions, mais ne gouverne pas. C'est le président du conseil ou premier ministre qui, en sa qualité de chef de la majorité parlementaire, dirige le gouvernement de l'Etat. En ce sens, la Constitution de 1958 reste

l’Angleterre eût basculé vers un régime parlementaire aux XVIIe et XVIIIe siècle, le Parlement annula le Bill of Attainder et eût recours à la procédure de l’impeachment qui lui permettait de pouvoir renverser légalement d’abord les proches du monarque, puis le monarque lui-même. Mais à la peur de cette procédure, les ministres finirent automatiquement par démissionner, ce qui amena la tombée en désuétude de l’impeachment. Cependant, la responsabilité politique fut adoptée comme une règle coutumière en

republique. De Gaulle, qui voulait un président fort et omniprésent a donc misé sur cela pour gagner en importance auprès du peuple. Cette vision témoigne d’une rupture avec le rôle du chef de l’état sous les républiques précédentes et notamment sous la IIIe et IVe république où il avait une fonction plus représentative que de réels pouvoirs. De Gaulle par l’exercice du pouvoir et au fil des années a mis en place ces mécanismes qui peuvent être considérés comme la mise en place d’un monarque républicain

Sujet : La république selon De Gaulle, continuité ou rupture ? « Le président de la République ne saurait être confondu avec aucune fraction. Il doit être l’homme de la nation toute entière ». Les mots du général De Gaulle nous montre bien son attachement à la fonction de président de la République et aux pouvoirs qui doivent lui être conférés. Selon lui, le président doit etre investi d’une grande puissance, puisqu’il est à la tête de la nation, et qu’il la représente toute entière. Il est

 Plan : Introduction I – La fondation de la Vème République 1) Un héritage politique 2) Naissance dans un contexte de crise 3) Les institutions II – L’évolution politique et institutionnelle 1) La Vème sous la présidence de De Gaulle a) La fin de la guerre d’Algérie b) La réforme constitutionnel : le 28 octobre 1962, par référendum c) Une politique d’indépendance nationale d) Les oppositions au pouvoir gaulliste 2) De 1969 à 1981 a) La fin de la guerre d’Algérie b) La réforme

notamment dans les 36000 hôtels de ville du pays. Les portraits des présidents de la Vème République appartiennent à la longue série des figurations officielles qui mettent en scène le pouvoir. Sous l’Ancien Régime, les portraits officiels des monarques de France étaient peints et diffusés dans le royaume et au-delà (portrait de Louis XIV par Rigaud). La tradition s’est perpétuée après la Révolution française et sous la République, à l’exception de la Ière. En effet, la fonction de la présidence

la personnification (II) en tentant d’articuler ces changements. I) La représentation A) Les monarques et l’Empereur - Symboles du pouvoir et assise de l’autorité - Présence d’un faste certain, démonstration de puissance - Mise en relation de ces éléments avec l’autoritarisme des régimes monarchiques et des régimes « napoléoniens » B) Les Présidents de la République - Chez de Gaulle : présence de médailles et symbole de la République - Chez Sarkozy : absence de signes de détention

puissance du d d’enregistrer les actes royaux (ordonnances, édits) après véficiation de leur conformité aux règles du dp / lois fonda du royaume. Si désaccord, peuvent présenter « d’humbles remontrances », puis des « remontrances itératives » que le monarque peut toutefois écarter en vertu de son droit de suprême justice, selon la procédure solennelle du « lit de justice », en venant personnellement présider la séance du Parlement. Séance du 15 I 1648 et jours suivants : profitent de la régence de l’infante