Damasio

oublier d’en tourner une. Importance des émotions dans les processus de raisonnement . Les émotions influencent l’efficacité des processus de raisonnement dans la vie de tous les jours - La théorie des marqueurs somatiques de Damasio (1994) ex : le cas de Phineas Gage. Intelligence et culture Les tests (même les tests géométriques) pourraient ne jamais être « culture free ». Par exemple, certains peuples connaissent plus les courbes, d’autres les lignes brisées.

de raison ; Descartes, Hobbes, Spinoza, Leibniz, PUF, coll. Débats philosophiques, 2001 Collectif, "René Descartes, 1596-1650 ; Les découvertes scientifiques d'un génie français", Les Cahiers de Science & Vie, n° 66, décembre 2001 Damasio (Antonio R.), L’Erreur de Descartes ; La Raison des émotions, trad. de l’américain (Descartes’ Error ; Emotion, Reason and the Human Brain, A. Grosset/Putnam Books, 1994), éditions Odile Jacob, 1995, nouvelle éd., 2001 Frankfurt (Harry G.)

obtenir par le côté rationnel de l’esprit un contrôle sur ces passions. Pourtant, cette dualité au sein de l’esprit même est également critiquée tout d’abord par Rousseau qui affirme que les passions peuvent jouer un rôle dans nos décisions puis,par Damasio, qui reprend cette idée de Rousseau. Il expose d’ailleurs pour illustrer sa théorie le cas de deux hommes qui après une lésion des lobes frontaux ont subi une modification de leur personnalité. En effet, ceux-ci furent victime d’une désinhibition

informations utiles à une meilleure connaissance du fonctionnement des systèmes cérébraux. Ces connaissances sur le fonctionnement cérébral transforment déjà le cadre conceptuel pour analyser les décisions des agents économiques. Exemple : Antonio Damasio qui est l'un des plus grands neurologues actuels montre que toute décision raisonnée mobilise il mécanisme d'émotions, ce qui entraîne un réexamen de l'analyse économique des choix rationnels. On a aussi montré que le cerveau traite de manières

Vénération. Son organe de la Vénération a été lésé, c'est pourquoi sans doute, le patient n'arrêtait pas de jurer ». Vers la fin des années 1970, le professeur Antonio Damasio, neurologue à l'hôpital universitaire d'Iowa City, eut l'occasion d'observer un cas similaire sur un patient qu'il baptisa Elliot. La conclusion qui s'imposa à Damasio, bouleversa certaines idées reçues sur le fonctionnement cérébrale : L'affaiblissement de la capacité à réagir sur le terrain des émotions pouvait être à la source

récompense, douleur …), une personnalité (dépressive, anxieuse, maniaque …), un système (panique, rage …) et un ressenti social (honte, admiration, jalousie…). La communication par les émotions faciales diffère fondamentalement du langage oral. Damasio (1994) a montré que la reconnaissance faciale des émotions implique la mise en relation de différentes connaissances. Au delà de la simple perception géométrique des visages, les expressions émotionnelles sont reconnues à partir d’un contexte particulier

ou d’autres auteurs qui insistent sur la présence des clivages touchant la structure narcissique des sujets somatisants. Enfin, à proximité de la pratique et théorie analytique des sujets somatisants, les travaux de Sifneos sur l’alexithymie, de Damasio sur les « marqueurs somatiques », ceux de Tassin sur la « confusion de bassins d’attraction » ou ceux encore de Guyotat sur le lien filiation narcissique/filiation symbolique ou le chrone, loin de s’opposer à la psychosomatique psychanalytique, ne font

pensée scientifique ! À la suite de Platon, toute notre tradition philosophique est restée focalisée sur l’âme comme faculté de connaissance. Or les sciences cognitives et neurosciences demeurent dans l’ensemble (il y a, bien sûr, des exceptions, Damasio par exemple) tributaires de cette tradition. Certes, elles rompent avec le dualisme, mais en se contentant de remplacer l’âme par le cerveau. Celui-ci assume les fonctions que les philosophes du passé lui assignaient, de sorte que même la conscience

Vénération. Son organe de la Vénération a été lésé, c'est pourquoi sans doute, le patient n'arrêtait pas de jurer ». Vers la fin des années 1970, le professeur Antonio Damasio, neurologue à l'hôpital universitaire d'Iowa City, eut l'occasion d'observer un cas similaire sur un patient qu'il baptisa Elliot. La conclusion qui s'imposa à Damasio, bouleversa certaines idées reçues sur le fonctionnement cérébrale : L'affaiblissement de la capacité à réagir sur le terrain des émotions pouvait être à la source

physiques et de modifications physiologiques. L’émotion est un mouvement, une action, une réaction à un événement. Elle peut se traduire de manière comportementale, elle nous pousse souvent à l’action. D’après René Descartes, le neurologue Antonio Damasio ou encore le naturaliste Charles Darwin, les hommes classent de manière involontaire leur émotion. Il y a donc des émotions primaires qui sont : la peur, la colère, le dégoût, la surprise, la tristesse et la joie, et des émotions secondaires, qui