D Ou Vient La Conscience Morale

l'autonomie, alors il convient de définir la liberté? La liberté est-elle inné ou acquise? Le libre arbitre existe-il? Y a t-il des degrés de liberté? La liberté est-elle le propre de l'homme? N'y a-t-il qu'indépendance et autonomie? Peut-on être moral sans être libre? La liberté signifie-t-elle l'absence de lois? Peut-on être libre sans volonté? La liberté est-elle chimère? L'homme peut-il choisir de porter le fardeau de la liberté? Les lois peuvent-elles fonder la liberté? Introduction

Avoir bonne conscience est-ce un signe suffisant de moralité ? Avoir bonne conscience, avoir la conscience tranquille, c'est avoir une conscience morale. La conscience morale est innée et universelle, tout les hommes ont conscience du bien et du mal. Mais nous n'avons pas tous les mêmes valeurs qui la juge ou le même sens du « bien » ou du « bon » car il n'y a pas plus changeant et plus relatif que la définition de cette notion. C'est pourquoi la première partie de ce développement portera

*Opposition sujet apparent / sujet réel Je disais « je » à 2 ans mais mon corps, mes pensées, mes opinions ont changées. Le sujet, le moi subit une infinité de changements au cours du temps, pourtant on s’y réfère comme a une unité stable . Sujet vient de « subjectum » > ce qui est jeté sous le changement. Héraclite: «  on ne se baigne jamais 2 fois dans le même fleuve » > changement permanent. Pour connaitre quelque chose, on doit saisir une identité stable - si tout change tout le temps, la

Dissertation: Ma conscience est-elle fondée ?       «  La conscience c’est comme une belle-mère qui serait toujours derrière vous. » Henri Louis Mencken. La conscience est concrète. Elle est là et cela est indéniable, c’est ce que dit d’une part l’auteur de cette citation. Par ailleurs il dit que la conscience est aussi quelque chose qui nous colle, qui nous juge et qui est aussi sans cesse derrière nous. Ce que nous pourrons en débattre plus tard.   Mais la conscience, c’est quoi ? La conscience vient

de la conscience: Commençons avec un peu d’étymologie. Le mot français conscience vient du latin conscientia qui est formé de cum qui signifie « avec », et de scientia pour « science ». Être conscient lorsque nous agissons, éprouvons quelque chose, réfléchissons, etc. c’est ainsi posséder simultanément une connaissance de ces actes, sensations, réflexions. Cette connaissance peut avoir tous les degrés de clarté, depuis le sentiment le plus vague jusqu’au savoir le plus évident. La conscience est donc

« Suivons notre conscience » 1) Les athéismes et leurs causes Tout homme se situe sur une ligne (imaginaire) on est tous +/- croyant et tous +/- incroyant ! 1 100 (le 0 et le 100 n’existe pas !) L’homme selon les circonstances recule ou avance, l’opposition est donc un peu fausse. On est +/- croyant ou +/- incroyant, cela passe par notre cœur. Quand on étudie l’histoire, le phénomène religieux * apparaît toujours en premier dans n’importe quelle culture (hypothèse de travail), l’athéisme

En quoi ce récit est-il un apologue ? Utilise toutes les ressources, narrative et argumentative, pour délivrer une morale. Il serait ainsi intéressant d’étudier, dans un premier temps, l’art du récit, pour dans un deuxième temps, nous pencher sur la charge critique.    I) l’art du récit - Un récit traditionnel -description du cadre de vie d’une communauté d’aveugles. Ce cadre semble idyllique puisque non seulement les aveugles ne sont pas handicapés dans leur vie quotidienne « Ils distinguaient

Philo à amour sophie à savoir => aspect théorique et pratique. Ce mot vient du Ve siècle avant J.C, c’est Platon qui l’utilise pour la première foie. Socrate quant à lui aurai inventé la philo. Chercher la vérité c’est remettre en question le savoir. La philo est le questionnement du savoir. Kant dit «il faut apprendre à philosophé et non apprendre la philo». Logos à discours rationnel (raison, parole). La philo est le refus du principe d’autorité, elle nous permet de penser par nous même

l'autre: du l'être ou du devoir, lequel vient en premier? - Le fondement du devoir c'est la liberté: une personne est une fin en soi parce qu'elle a la capacité de poser ses projets ( elle en est l'origine) comme existence ayant conscience qu'elle existe. Mais comment nier que cette capacité qu'à la conscience de soi de se fixer une loi conforme à sa dignité (noblesse oblige) et d'obéir à cette loi n'est rien d'autre que le fondement de la liberté morale? - Le fondement de la liberté c'est

Faut-il dire avec Durkheim : « Quand notre conscience morale parle, c’est la société qui parle en nous » ? « J’erre dans cette ville, dans cette meute…parmi tous ces visages, toutes ces voix qui m’assaillent, qui me dictent le Bien et le Mal… oh, je voudrais plutôt être aveugle… » Honoré de Balzac confie ainsi la détresse de ses derniers jours, dans une lettre adressée à un ami. Gagné par le délire, il désigne clairement son rapport avec la société comme « dictateur » du Bien et du Mal et plus