D Orphée

correspondant : justifiez. Je compose en esprit, sous les myrtes, Orphée L'admirable!... Le feu, des cirques purs descend; Il change le mont chauve en auguste trophée D'où s'exhale d'un dieu l'acte retentissant. Si le dieu chante, il rompt le site tout-puissant; Le soleil voit l'horreur du mouvement des pierres; Une plainte inouïe appelle éblouissants Les hauts murs d'or harmonieux d'un sanctuaire. Il chante, assis au bord du ciel splendide, Orphée! Le roc marche, et trébuche; et chaque pierre fée Se

tapisseries à fleurs 3. Le cubisme orphique (1912-1920) Origine : - terme inventé en 1912 par Guillaume Apollinaire, d’ailleurs auteur d’un poème intitulé Orphée, pour qualifier un cubisme plus orienté vers la sensation voire le lyrisme. -référence aux œuvres de Robert Delaunay ayant un lien direct avec Orphée et la mythologie grecque Caractéristiques : -détachement de la figuration et de la matière -utilisation de la forme et de la couleur pour signifier le sens de leurs

poète succombe même aux plaisirs de l’érotisme adolescent v.10-11 = connotation sexuelle -2) Une nature source d’inspiration Référence à la lyre « comme des lyres » v. 13 = mythologie grecque. Hermès crée une lyre avec une carapace de tortue. Orphée fils d’Apollon charme la nature avec la lyre. III Ce poète ne se prend pas au sérieux. -1) Un rêveur mi tendre, mi amusé -2) Un sonnet imprégné de fantaisie • Problématique 2 : Etudier les liens qui unissent la vie de bohème telle que la

va naître de cette rencontre et Pierre Henry sera embauché dans les studios de la RTF, il devient chef des travaux du Groupe de Recherche sur les Musiques Concrètes (GRMC) 6 fondé en 19515. C'est en 1953 au Festival de Donaueschingen qu'est donné Orphée le premier opéra concret5 écrit par Pierre Schaeffer et Pierre Henry en 1951 À la fin de l'année 1949 débuta la collaboration entre Pierre Henry et le chorégraphe Maurice Béjart. C'est dans le cadre de cette collaboration que Pierre Henry réalisa

s'assimile à Orphée. Domaine de la mythologie. Image suggérée dans ce très beau dernier vers. Evocation des deux femmes : 2 types de femmes, inaccessibles, la sainte, la fée, et modulant les soupirs et les cris. Sainte = Adrienne fée = Sylvie, medusine, l'actrice aurélie gennicolon. Femmes inaccessibles. Une plus terrestre et l'autre plus céleste. Harmonie des deux vers 13 et 14 : assonances en « o » vers 13 et « i » vers 14 ; liaison avec le pouvoir magique des champs d' Orphée. Représente l'art

 il fait d’elle une  sorte de nouvel Orphée (dans la mythologie grecque, c’était un poète chanteur musicien, le meilleur  de tous, marié à Eurydice qu’il aimait passionnément. Lorsqu’elle mourut, il décida de descendre aux  enfers pour la rechercher. C’est le seul à y être descendu et à en ressortir vivant). Donc il imagine ici  qu’Electre descend dans le royaume des morts pour apporter la vérité comme Orphée était descendu  pour y apporter la musique et la poésie. Mais autant Orphée avait réussis à charmer les morts

pourtant j’aimais à aimer, je cherchais un objet d’amour, parce que j’aimais à aimer ». Orphée et Eurydice, Gustave Corot, 1861 2) Le mythe d’Orphée Cette sacralisation de la figure du poète trouve un écho avec le mythe d’Orphée dans l’Antiquité: le poète est celui qui sait charmer chacun, mais qui est voué lui-même au malheur et à la souffrance, car séparé à jamais de celle qu’il a aimée. Si Orphée ne réussit pas à ramener Eurydice à la vie, Eluard ne parvient pas à ramener au jour (à la

utilisant un procédé grammaticale, le verbe "erre(r)" L7: l'instrument traditionnelle, la lyre, se modernise et devient un instrument mécanique, "les orgues de Barbarie". Il n'y a pas d'opposition à la tradition, mais plutôt un renouvellement: un nouvel Orphée L8: le poème est élégiaque: le poète exprime une plainte douloureuse sur un amour éconduit (thème traditionnelle et commun ex: Élégie de Lamartine) grâce au CL de la tristesse et la personnification des orgues: "sangloter" L8: Le C.C.Lieu "cours

au loin sonne du cor de chasse / Ô lente lente nuit ô mon fusil si lourd ». Fiche 10 Évaluation S’entraîner à l’épreuve écrite du BaC objectif : › S’entraîner à l'épreuve écrite du baccalauréat I. Corpus de textes : la figure du poète, orphée Texte A ➔ Guillaume Apollinaire, Alcools, « La chanson du Mal-Aimé », 1903, du vers 41 à la fin du poème. Texte B ➔ Gérard de Nerval, Les Chimères, « El Desdichado », 1854. (ci-contre) « Je suis le Ténébreux, – le Veuf, – l’Inconsolé

Jean Anouilh semble dégrader et banaliser le mythe antique, au lieu des symboles forts, Anouilh multiple la neutralité des détails tout en présentant Orphée comment un personnage fort et idéaliste, il nous donne l'impression d'un début de pièce manqué, par son manque d'action et d'intérêt apparent ;