Cythère

dans tout le recueil avec « Alchimie de La douleur » : « cadavre » ou bien dans « La vie Antérieur » : « dépérir » évoquant une dégradation de la santé du poète. En outre, un cadavre en décomposition est également décrit dans le poème « Un Voyage à Cythère ». Par ailleurs, ce cadavre consommé par des animaux se situe sur l’île associé à la déesse grecque de L’Amour, Aphrodite. Une nouvelle fois l’auteur compare l’amour à la pourriture et la décomposition, en soi à la mort. Satan est un sujet omniprésent

faire entrer la modernité dans le champ poétique y compris dans ses aspects les plus surprenants ou les plus prosaïques (« Une charogne » chez Baudelaire, la ville industrielle chez Verhaeren et le quotidien trivial chez Verlaine dans ces vers de Cythère, dans Les fêtes galantes, « l’Amour comblant tout, hormis / La faim, sorbets et confitures / Nous préservent des courbatures »…). En fait la variété des voix est extrême, avec cependant des courants dominants selon les époques, comme le romantisme

sobriété de l’instant. Très peu de décor : une croix, une chaise (support d’un livre de prière) : 2, 29 m / 1, 65. Pas d’émotivité, une grande rigueur qui accompagne la profondeur de la foi. XI/ Antoine Watteau, L'Embarquement pour l'île de Cythère, 1717 [pic] Watteau (peintre originaire de Valenciennes) : le thème est allégorique, mythologique. La brume s’élève de l’eau, un groupe de personne s’éloigne pour se livrer à Venus. Watteau symbolise une atmosphère de galanterie sur fond

fantastiques de la seconde génération du Romantisme (1830-1850) et notamment de ce qu'on a pu appeler le romantisme noir, ou le frénétisme. « Une charogne » n'est d'ailleurs pas un poème isolé da ns le recueil: « Une Martyre» et « Un voyage à Cythère » reprennent aussi l'idée morbide d'une liaison entre l'amour sensuel et la mort. La moralité détourne la philosophie épicurienne du « Carpe diem » inspirée du poète latin Horace qui consistait à faire prendre conscience du temps et de la mort pour

Le Beau n’est ni une formule dogmatique ni une recette, mais fait l’objet d’un jugement absolu (" Est beau ce qui plaît universellement et sans concept "). WATTEAU : rappel du bonheur éphémère et de la précarité de la vie. " l’embarquement pour Cythère ". " les Plaisirs du bal ". Comparaison avec Mozart ; parler des choses graves sur un ton léger. FRAGONARD CHARDIN : un peintre des objets familiers : le chat, la raie, le lièvre mort, la marmite… QUENTIN de la TOUR : un physionomiste remarquable

faire entrer la modernité dans le champ poétique y compris dans ses aspects les plus surprenants ou les plus prosaïques (« Une charogne » chez Baudelaire, la ville industrielle chez Verhaeren et le quotidien trivial chez Verlaine dans ces vers de Cythère, dans Les fêtes galantes, « l’Amour comblant tout, hormis / La faim, sorbets et confitures / Nous préservent des courbatures »…). En fait la variété des voix est extrême, avec cependant des courants dominants selon les époques, comme le romantisme

faire entrer la modernité dans le champ poétique y compris dans ses aspects les plus surprenants ou les plus prosaïques (« Une charogne » chez Baudelaire, la ville industrielle chez Verhaeren et le quotidien trivial chez Verlaine dans ces vers de Cythère, dans Les fêtes galantes, « l’Amour comblant tout, hormis / La faim, sorbets et confitures / Nous préservent des courbatures »…). En fait la variété des voix est extrême, avec cependant des courants dominants selon les époques, comme le romantisme

m'ont servi de programme et que je crois avoir lues dans L'Artiste." Il s'agit d'articles, du 30 juin et du 11 août 1844, qui seront repris en 1851 dans son Voyage en Orient (Introduction, XV, "San Nicolo", textes reproduits dans P.), où, en effet, Cythère est une île d'où "les dieux se sont envolés", sans un arbre, et qu'"un gibet à trois branches" signale aux voyageurs. 651. Cf Les Deux Bonnes Soeurs, v. 14. 652. Manuscrit de 1851-1852, et préoriginale de 1855: "Où tous les coeurs mortels en adoration

Matavai, peinte par William Hodges, membre d'une expédition de Cook Le 2 avril 1768[21], c’est au tour de Louis-Antoine de Bougainville d’accoster dans la Baie de Matavai. Il ne reste qu’une dizaine de jours dans cette île qu’il surnomme la « Nouvelle-Cythère », en hommage à l’accueil chaleureux et à la douceur des mœurs tahitiennes. Le récit qu’il fera de son escale contribuera à la création du mythe du paradis polynésien et alimentera le thème du bon sauvage, cher à Jean-Jacques Rousseau et alors très

(Nymphidia), ou des courtisanes (Hétaïra), la déesse marine (Pontia), ou la déesse victorieuse (Nikêphoros).  * Anadyomène, "Sortie des flots". * Androphanos, la "Tueuse d’hommes ". * Callipyge, "Aux belles fesses". * Cythérée, du temple de Cythère. * Cypris, à cause de son temple de Chypre. * Epithymbia, "Celle des funérailles". * Erycine, du temple d’Eryx, en Sicile. * Genetrix, déesse de la génération. * Hétaïra (ou Porné), protectrice des courtisanes. * Kypris, du