Culture Individuelle Et Culture Collective

LA CULTURE D’ENTREPRISE N’TSIRIFOU YASIR | ANNEE SCOLAIRE : 2012-2013 Membres du groupe : UE : psychologie des organisations Professeur : KAZIMNA KUDEABO KOFFI Carlos LAWSON Karine NANZOU WALLA NUNYAKPE Abra Eva Plan de l’exposé : Introduction I. DEFINITION ET COMPOSANTES DE LA CULTURE D’ENTREPRISE II. EVOLUTION DE LA CULTURE D’ENTREPRISE EN TANT QUE VARIABLE D’ACTION POUR LE MANAGEMENT : III. FONCTIONS, ENJEUX ET LIMITES DE LA CULTURE D’ENTREPRISE IV. DIFFERENCE

I. La culture formatrice. Par la culture, les hommes font société. C’est en elles que nous développons nos facultés proprement humaines. En même temps, notre culture nous donne nos manières essentielles de penser et d’agir, nos valeurs premières. La question du choix ne se pose absolument pas, car nous ne pouvons pas nous abstraire de notre culture pour savoir si elle est bonne ou mauvaise. Se demander si on en est prisonnier n’a pas ce sens. Elle ne nous est pas extérieure. (Ex : l’idéal de

références sont indiquées en italiques) jusqu’à la séquence. Premier cadrage Je réfléchis au titre de l’objet d’étude, identité - diversité, et je décide de l’aborder principalement avec la question : « Doit-on renoncer aux spécificités de sa culture pour s’intégrer dans la société ? ». Mais je m’aperçois qu’il va falloir aborder nécessairement la question : « En quoi l’autre est-il semblable et différent ? ». Je décide de croiser les deux interrogations pour avoir une approche plus complète

prime sur l’individu, c’est une perspective déterministe et holiste. De manière générale, cette position théorique permet d’étudier des sociétés globales. C’est quand on travaille sur des sociétés globales qu’on accapare cette vision déterministe et collective holiste. A l’inverse, il y a d’autres chercheurs qui privilégient une approche de l’autonomie des acteurs. A partir du moment que ces chercheurs travaillent sur cette autonomie des acteurs, on les appelle anti déterministes, ils sont individualistes

Charles Hampden-Turner Fons Trompenaars Au-delà du choc des cultures Dépasser les oppositions pour mieux travailler ensemble Traduit de l’anglais par Larry COHEN © Éditions d’Organisation, 2004 ISBN: 2-7081-3015-3 Chapitre 3 INDIVIDUALISME OU COLLECTIVISME : LE DILEMME Le dilemme entre individualisme et collectivisme est fondamental dans l’entreprise ou toute culture, quelle qu’elle soit. On ne peut en effet définir l’individualité sans préciser le groupe ou le contexte

Chapitre : Culture et socialisation Problématiques : * Faut-il parler de culture (unité culturelle) ou de cultures (diversité culturelle) ? * La culture évolue-t-elle ? * Comment des cultures différentes peuvent-elles s’unir (acculturation) et lier les individus dans une société en un ensemble cohérent ? * Pourquoi, comment et par quels mécanismes l’individu s’adapte-t-il à la société (Socialisation) ? Mots clés : Culture, sous-culture, contre-culture, normes, valeurs, pratiques

dans une première partie les fondements scientifiques relatifs au sujets ce qui comprend les connaissances scientifiques, les fondements institutionnels en lieu avec le bulletin officiel et le socle commun de connaissances, de compétences et de culture ainsi que la démarche d’investigation. La présentation de la séquence constituera la deuxième partie. Partie I : Synthèse des fondements scientifiques 1. Les connaissances scientifiques : Les étapes de la vie d’une plante à fleur sont la

La culture travaille-t-elle à nous rendre plus humains ? » La culture est un terme très vaste qui englobe les arts, les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l’être humain, les système de valeurs, les traditions et les croyances. « la culture c’est ce qui demeure dans l’homme lorsqu’il a tout oublier » d’un proverbe japonaise. La culture d’un groupe d’individu est une culture collective qui comprend toute les valeurs de ce groupe, mais il y a aussi une culture individuelle comprise

que par autrui. En effet, c’est une construction des agents sociaux ainsi qu’une catégorisation de la part des institutions sociales et de la communauté. Puisque notre titre est au pluriel, nous allons désormais définir ce qu’est une « identité collective ». Elle est un rassemblement de membres qui appartiennent à un groupe professionnel, une classe sociale, un groupe d’âge, mais encore à une communauté religieuse ou ethnique particulière. Une collectivité naît d’un double mouvement d’inclusion

châtiments - Les religions épargnent une névrose particulière  névrose collective de la religion Les religions ont pour fonction de protéger les être humain contre les névroses. Il différencie des névroses actuelle qui d’après lui ne relèverait pas d’un traitement. Le travail sur la NO a permis à Freud d’élargir le champ de la psychanalyse • Mythe, religion, civilisation La maladie nerveuse des temps modernes - Culture : seconde moitié de l’œuvre de Freud - 1908  thèse : « civilisation construite