Culture De Masse Belle époque

ECONOMIE FRANÇAISE Au 20eme : tournant de la 2nd révolution industrielle malgré le faible dynamisme démographique, mais l’image de la France reste celle d’un pays prospère, richesse financière admiré par les autres pays « la belle époque » = mythe d’une France ou il fait bon vivre Monnaie stable l’or= étalon monétaire Stock monétaire très important montre une modernisation commerciale (billet, chèques) Le crédit est plus aisé donc stimule l’activité économique Cette richesse financière

donc s’interroger sur les mutations de la consommation des ménages et leurs implications. Jusqu’à quel point, l’évolution de la consommation des ménages telle qu’on la connaît, a dicté le passage d’une économie tertiarisée vers la consommation de masse ? Mais, alors que l’on assiste à une diffusion planétaire de ce modèle de consommation, comment se fait-il qu’aujourd’hui la consommation des ménages ne suffît plus à soutenir la croissance économique dans les pays développés ? Etudier la consommation

La culture de masse en France depuis 1914 "Culture de masse", "industries culturelles", "Mainstream" : ces expressions désignent, à différentes périodes, un phénomène similaire, caractérisé par la production en grand nombre de biens culturels, destinés à plaire au plus grand nombre et consommés par le plus grand nombre. Nous pouvons nous interroger sur ce phénomène et son évolution et sur sa portée économique,politique et socio-culturelle. C’est dès le milieu du XIX ème siècle qu’apparaissent

l’institut d’études politiques de Paris et directeur du Centre d’histoire de Sciences Po. C’est l’un des principaux représentants de l’histoire culturelle française, qu’il a contribué à développer par ses travaux sur l’histoire des intellectuels, la culture de masse et la France des années 1960. Il succède en 2000 à Pierre Milza à la tête du Centre d’histoire de l’Europe au XXème siècle, renommé depuis en Centre d’histoire de Sciences Po. Il s’est en particulier fait remarquer pour ses analyses des relations

qui « est luxe ce qui est rare » et les autres. Si l’on en croit Philippe Perrot dans le document 2 le luxe n’est pas compatible avec la consommation de masse. Le luxe ne peut plus être luxe aussitôt qu’il s’obtient facilement. C’est son caractère spécifique de rareté qui fait son prestige. En effet pour Gustave Flaubert, la production de masse est si peu compatible avec le luxe qu’on observe l’apparition d’un faux luxe, qui vire au « laid ». De ce fait le luxe peut être considéré comme une pratique

la fin de la Grèce des cités proprement dite), la culture grecque s’étend sur la plus grande partie du monde connu ; des centres artistiques importants se développent jusqu’en Syrie (Antioche), Egypte (Alexandrie), Anatolie (Pergame). Les thèmes sont plus variés, plus naturalistes, plus décoratifs encore : les particuliers embellissent leurs maisons, leurs jardins, avec des sculptures, des mosaïques et des peintures (dont c’est la grande époque), les villes commandent des œuvres pour orner les places

médias dans la vie des individus et dans le fonctionnement de la société ? » II- L’illégitimité culturelle, politique et économique des grands médias Tous ces jugements négatifs s’expliquent par le discrédit historique qui a frappé les médias de masse (notamment la télévision). Alors même que nous les côtoyons sans cesse nous les dévalorisons. « Depuis leur avènement, leur vulgarité et leur nocivité sont tenues pour acquises au travers d’une sorte d’égalité entre participation du plus grand nombre

qui la musique est destinée et leur catégorie sociale • Le mode de production et de reproduction de la musique. • Par son efficacité économique , rentabilité économique . Mais a partir du début du 20ème siècle , les moyens de communication de masse ont parmi de diffuser la musique . Cette diffusion a transformé la musique (produit de consommation) Définition autre de la musique : Forme de hiérarchie de la musique : chansons populaires (commercial), folklore et mouvements musicaux classiques

en 1923, le petit écran devient un média de masse à partir de la Seconde guerre mondiale. Mais, la baisse est plus élevée aux Etats-Unis qu’en France. En revanche, malgré cette plus forte désaffection des salles de cinéma aux Etats-Unis, les Américains vont encore plus souvent au cinéma que les Français : 3 séances de plus par an et par habitant en 1998. -question 3 : que signifient les expressions « spectacle populaire » et « spectacle de masse » ? Que pouvez-vous en déduire de l’évolution

Culture On va s'interroger sur le mépris, conséquence de la mélancolie. Il faut situer le mépris dans un ensemble de concepts, et pour cela on va remonter au XIXe siècle. A partir de 1860, le baron Haussmann devient préfet de Parts et reçoit comme mission de la part du premier président de la République, Bonaparte, de pouvoir constituer le grand Paris. La population parisienne est multipliée par dix. On a annexé toutes les villes autour de Paris. Le petit villageois d'à côté devient Parisien