Cueillez Cueillez Votre Jeunesse

corset qui est pas évident pour la respiration. Ce « vêtement », causait/cause des problèmes de respiration assez sérieux. « Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur, la vieillesse Fera ternir votre beauté » RONSARD. Il compare la beauté à une fleur. La femme est donc considérée comme fraîche, jeune et dont l’apparence est éphémère. La jeunesse devint donc un critère de beauté poussant plusieurs femmes à utiliser des produits rajeunissant qui pouvait être toxique pour elles

« matin / vesprée »v2-4, « matin/soir »v12 Oppose le matin, la jeunesse au soir et à la vieillesse Anaphore de « las » v7-9 à regret Terme péjoratif « marâtre » + apostrophe à accusation du poète Exclamatif v9-12 à émotion du poète Phrase nominale à le poète « en perd son verbe » Douleur de la découverte de la mort Le poète fait une découverte remplit d’émotion qui entraîne une réflexion b) Conseil du poète Double impératifs « Cueillez » v16 Récurrence de la 2nde du pluriel Appel pressant

Las ! las ses beautez laissé cheoir ! Ô vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté.

a des strophes àla meme longueur de vers (ici 3 strophes de 6 vers ) et qui célèbre une personne ou un événement.2)La femme est comparée à une fleur3)Voici les marques de l’énonciation :-  « Voyez »- « Cueillez,cueillez »- « Allons voir ».4)Ronsard demande à Cassandre de profiter de sa jeunesse et sa beauté pour vivre pleinement chaque instant avant qu’elle vieillisse. Il se réfère à l’épicurisme et les modes de conjugaison sont l’infinitif et l’ impératif.Texte 21) Un sonnnet est un poème composé

"ce matin" (démonstratif), les verbes sont au plus-que-parfait ce qui indique une action achevée "avait déclose". Le matin , la fleur est rayonnante de beauté avec sa couleur vive "pourpre" qui est la couleur de la jeunesse. Le matin est associé à la naissance de cette fleur, sa jeunesse avec l'éclat de sa couleur. comparaison avec Cassandre "teint au votre pareil" -2ème temps est le soir "cette vêprée"(démonstratif), passé composé -> action achevée "a point perdu" "a laissé choir" Le récit se situe

mètre ? ¾ Chaque vers se compose de huit syllabes. Le mètre est appelé l’octosyllabe. - Déterminez la disposition des rimes. ¾ Dans chaque sixain il y a des rimes suivies (rose, déclose ; espace, place…) puis des rimes embrassées (nouveauté, jeunesse, vieillesse, beauté…). 21 II. Hypothèses de lecture : - Relisez chaque strophe et dégagez les idées principales de l’ode. Strophe1 : la comparaison entre la femme aimée et la rose. Strophe2 : invitation, de la femme aimée, à voir le

Ronsard est réputé pour ses sonnets auxquels il dédie à des figures féminines (Hélène, Marie, Cassandre).Il fait l'éloge de la beauté de ces dernières, et affirme leur précarité face au temps dans le but de les inviter à profiter de leur jeunesse. Or, dans ce poème, le poète exécute le même processus de jugement de la beauté féminine malgré cette nouvelle forme poétique auquel le poète a voulu s’exprimer. Ainsi, comment Ronsard, décrit-il la femme designée ? Et comment, à la fin, la description

péremptoire, menaçant :  «  vous serez une vielle accroupie », il utilise un rythme ternaire : « Cueillez, vivez, n’attendez » ces impératifs renforcent l’idée de menace. Pour terminer, Ronsard conclut son poème par une morale. « Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie » nous fait penser à « Carpe Diem », proverbe latin qui dit de profiter de la jeunesse malheureusement éphémère : les roses représentant la jeunesse et l’éphémérité. Ce proverbe prouve que Ronsard était épicurien, qu’il cherchait le bonheur

En second lieu, Ronsard invite Cassandre à profiter de la vie car le temps passe vite : « Puisqu’une telle fleur ne dure que du matin jusqu’au soir ». Par conséquent, il l’incite à vivre pleinement sa vie et sa jeunesse « Cueillez, cueillez votre jeunesse » avant que la vieillesse ne la frappe car celle-ci arrive rapidement. Par ailleurs, selon Ronsard, la vieillesse est synonyme de laideur, il pense que lorsque la femme vieillit, elle perd de sa beauté, tout comme la fleur lorsqu’elle

place Las ! las ses beautés laissé cheoir ! Ô vrayment marâtre Nature, Puis qu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à cette fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Poème 4 Ronsard, Sonnets pour Hélène, II. 43 : « Quand vous serez bien vieille » Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant