Couvent

l'inconscience. Il se réveille paralysé.Il sera sauvé de Malpertuis par Eisengott qui le guérit, et par une jeune serveuse du nom de Bets, qui le conduira au couvent des Pères Blancs. Hélas, l'horreur le suit. Tu quitteras Malpertuis, mais Malpertuis te suivra dans ta vie, comme le lui a dit Eisengott. Et il ne pourra échapper à son destin en effet : au couvent où il aurait dû être en sécurité, il meurt en assistant à une bataille de créatures monstrueuses, sans avoir percé l'énigme de la maison maudite et

I. Présentation de l’œuvre La jeune Cécile Volanges quitte son couvent pour faire l’apprentissage du monde et épouser le comte de Gercourt, mais une de ses parentes, la marquise de Merteuil, entend profiter de ce projet de mariage pour se venger d’une infidélité que lui a faite autrefois Gercourt. Elle charge donc son complice le vicomte de Valmont, de pervertir Cécile avant ses noces. Mais loin de Paris, dans le château de sa vieille tante, Valmont s’est de son côté mis en tête de séduire la

par oisiveté et en vérité elle n'a pas beaucoup e chose à dire à Sophie et considère les choses les plus élémentaires comme réjoissantes. Lien logique : beaucoup de références à l’absence d’experience de Cecile de Vollanges car elle a grandit au couvent —> Intention critique de Laclos. Phrase assertives : servent à dépeindre Les activités de Cécile, les visites de Cécile ainsi que certains aspects de la personnalité de la jeune femme. « Comme tu vas te moquer de la pauvre Cécile ! Oh ! j’ai

vérité, je vous ai aimé, Perdican" (II, 5) Les femmes du couvent qui ont été amoureuses ont influencé sa vision négative de l'amour. Bien qu'elle ait des sentiments pour Perdican, Dieu ou ses amies, elle est effrayée par la passion. Elle ne veut pas finir comme ces femmes désespérées et donc, elle s'empêche de vivre. Cependant, elle n'est pas capable de dissimuler ses sentiments, comme le montrent ses relations avec les autres femmes du couvent et Dieu. Elle laisse transparaître sa colère, son désir

L’église des JACOBAINS est constitué d'une église dite « église des Jacobins », d'un cloître et d'un couvent. Il a été construit par l'ordre des frères prêcheurs, un ordre mendiant dont le premier couvent de la branche masculine a été fondé en 1215 à Toulouse par Dominique de Guzmán, futur saint Dominique, afin de promouvoir la prédication de l'évangile et lutter contre l'hérésie cathare. Ces bâtiments entièrement faits de brique sont considérés comme des joyaux de l'art gothique languedocien en

lecteur s’intéresse à l’opposition des histoires Marianne et Tervire : - 2 itinéraires dans la société. - 2 caractères de jeune fille. - rapport en contraste de fille à mère. - mère naturelle et mère adoptive. - tentation ou piège du couvent. Méditation sur la destinée féminine, femme assumant sa condition. * Un roman philosophique : Les réflexions de Marianne dénotent un tour d’esprit philosophique ; la narratrice est philosophe en ce qu’elle élucide les sentiments et les

contenter d'une activité domestique, et ne sont donc considérées que comme des mères ou des ménagères. Et à la veille de la Révolution, rien n'a changé. A ce siècle qui se veut celui des Lumières, la femme est toujours emprisonnée chez elle ou au couvent. Paradoxalement, c'est à ce siècle que des femmes ouvre des salons mondains où se trouvent les plus grands nobles et qu'idole les bourgeois. C'est aussi pendant ce siècle qu'apparaissent de nombreuses émeutes et révolte en Europe, où les femmes sont

: du roman de Diderot au film de Nicloux La Religieuse est un roman-mémoires rédigé à partir d’une mystification par Denis Diderot et publié à titre posthume en 1796. L’œuvre dépeint les aventures de Suzanne dans les couvents où elle y est mise contre son gré. A travers l’histoire de Suzanne, Diderot dénonce les institutions religieuses oppressives de l’époque. En 2013, alors que l’Eglise a perdu de son influence, Guillaume Nicloux réadapte l’histoire de la

est une jeune fille naïve, jolie, sensuelle, sans volonté ni principes. Son charme est purement physique, elle n'a pas de qualités intellectuelles. Elle est le stéréotype de la sotte ingénue . Son cas montre que les filles innocentes qui sortent du couvent, sont vite corrompues et tombent facilement dans la débauche. Baudelaire la décrit comme le "type parfait de la détestable jeune fille, niaise et sensuelle" . Cécile est un exemple de la façon dont la société peut corrompre l'innocence originelle"

voiture tirée par les chevaux : « Il en sortit quelques femmes qui se retirèrent aussitôt. Mais il en resta une, fort jeune, qui s’arrêta seule dans la cour ». Cette jeune femme est accompagnée d’un « homme d’un âge avancé », chargé de la conduire au couvent, mais le personnage Des Grieux de cette époque l’ignorait, comme le signale le modalisateur de la proposition relative « qui paraissait lui servir de conducteur ». La description