Couvent

Première partie : lettres 1 à 50 Cécile de Volanges, jeune adolescente de quinze ans vient de quitter le couvent pour épouser le comte de Gercourt, trente-six ans, ancien amant de Madame de Merteuil, parente de Cécile. La marquise décide de se venger en favorisant une intrigue amoureuse qui éveillera Cécile aux plaisirs de l'amour avant son mariage. Elle sollicite l'aide de son ami Valmont, son ancien amant, mais il refuse, trop occupé à essayer de séduire Madame de Tourvel, vingt-deux ans

rendez-vous avant son départ, avant qu’elle ne quitte définitivement la demeure de son oncle le Baron et refuse le mariage prévu avec son cousin, Perdican. Nous sommes ici à la toute fin de la scène : Camille a déjà exprimé son désir de se retirer dans un couvent, loin des tentations terrestres. Perdican, qui tente déjà depuis le début de la scène de l’en dissuader, essaie, pour une dernière fois, de la ramener à la raison. Il s’agira de voir, dans cet extrait, quelle stratégie utilise Perdican pour persuader

personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son fils de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins. Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, endoctrinée par les sœurs du couvent toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir

roman écrit par Diderot en 1760, publié une première fois dans la Correspondance littéraire, de Grimm en 1780 puis, de façon posthume en 1797. C’est le récit fictif à la première personne d’une jeune fille, Suzanne, enfermée contre son gré dans un couvent et ayant prononcé ses vœux religieux sous la contrainte. Inspiré d’une histoire réelle, une religieuse, de Longchamp ayant réclamé juridiquement contre ses vœux, ce mémoire a été écrit avant tout à un destinataire réel, le marquis de Croismare, ami

Analyse d’Une vie de Maupassant. La durée romanesque : 3 étapes : Rêve d’une jeune fille naïve qui sort du couvent (courte durée→ symbolise sa courte liberté) Souffrances de la jeune épouse (environ 24 mois → durée moyenne) Tourments de mère et d’épouse (environ 23 ans → très longue durée) Moment charnier → mariage. Construction : Texte écrit en prose et titre réaliste qui englobe le récit. Symbolique du temps : Les saisons jouent un rôle très important dans ce roman

religieuse et la bordel. Premièrement, une chose que ces lieux ont en commun c'est que les images typiques de ces lieux sont presque l'opposé de leurs vraies images. Par exemple, normalement une image d'une institution religieuse donc un noviciat ou un couvent, sont censé d'être invitant et beau. Grand-Mère Antoinette a voulu envoyer Jean le Maigre au noviciat pour qu'il puisse avoir un lit à soi-même, plus de nourriture, la chaleur et de la sécurité. Mais lorsqu'il est arrivé, il découvre la vérité, que

dîner, parce que nous serions toujours seules, et qu'alors elle me dirait chaque jour l'heure où je devrait l'aller joindre l’après-midi. Le reste du temps est à ma disposition, et j'ai ma harpe, mon nécessaire à dessin, et des livres comme au couvent ; si ce n'est que la mère Perpétue n'est pas là pour me gronder, et qu'il ne tiendrait qu'à moi d’être toujours sans rien faire : mais comme je n'ai pas ma Sophie pour causer ou pour rire, j'aime autant m'occuper. Il n'est pas encore cinq heures ;

inspiré de Madame Bovary et surtout du personnage d’Emma pour écrire ce roman. Composé de 14 chapitres, il relate le destin d’une jeune femme aristocratique « au portrait de Véronèse », prénommée Jeanne, qui a 17 ans en 1819 lorsqu’elle quitte son couvent de Rouen pour rejoindre la propriété de son père, le baron Le Perthuis des Vauds. Maupassant présente à travers les personnages féminins la condition morale, conjugale, maternelle et sexuelle de la femme dans la société du XIXe. En effet, on peut

aimée, la présidente de Tourvel. À la fin du roman, toutes ses machinations sont découvertes et, défigurée par la petite vérole, elle s’exile en Hollande. Sortie du couvent pour épouser le comte de Gercourt qu’elle ne connaît même pas, elle vit chez sa mère, Madame de Volanges. Elle s’ennuie et écrit à son amie restée au couvent : Sophie du Carnay (qu'elle oubliera peu à peu à mesure qu'elle réservera ses confidences à Mme de Merteuil). Elle adore la marquise, cette dernière venant souvent chez

II, scène IV : « Cela veut dire que votre nièce a une correspondance »). -Maître Bridaine, c’est un curé, il est très gourmand et très gros. Maître Blazius et Maître Bridaine ne s’aiment pas. -Camille, c’est la nièce du baron, elle vit dans un couvent. -Dame Pluche, c’est la gouvernante de Camille, elle est très maigre, c’est une vieille fille. -Rosette, c’est la sœur de lait de Camille. Elle sera utilisée par Perdican pour rendre jalouse Camille. -Et pour finir comme dans de nombreuses pièces