Courbe

hausse du PIB nominal : a) b) c) d) e) fait augmenter la demande de monnaie mais laisse le taux d'intérêt inchangé fait diminuer la demande de monnaie car les prix sont plus élevés fait augmenter la quantité demandée de monnaie sans déplacement de la courbe fait augmenter la demande de monnaie et, conséquemment, le taux d'intérêt n'amène aucun changement 2.8 Parmi les énoncés suivants, lequel est un stabilisateur automatique? a) b) c) d) e) les dépenses gouvernementales pour l’éducation les dépenses

appelée la courbe de Phillips. Pour faire simple : quand il existe un déséquilibre sur le marche du travail, l'ajustement se fait par les salaires. Concrètement, quand le chômage augmente, autrement dit l'offre de travail augmente. Les salaires baissent (inflation diminue) pour retourner à l'équilibre. A l'inverse quand le chômage baisse (offre de travail diminue). Les salaires augmentent (inflation augmente). Il existe une relation inverse entre taux de chômage et inflation. (courbe de phillips)

réferre au carré magique de Nicholas Kaldor : la BCE pourrait s'inspirer des objectifs multiples de la FED pour favoriser la croissance et l'emploi, comme le préconisait Keynes en 1936 dans la Théorie générale de l'emploi et de la monnaie. D'après la courbe de Phillips de 1958, les autorités devraient choisir de lutter contre l'inflation ou le chômage selon la conjecture. Ex : En 1979 la lutte prioritaire du président de la FED Volcker conduit à des effets récessionnistes. Aujourd'hui, la priorité semble

dépendants en une nouvelle conception de long terme illustrant une indépendance des taux de chômage et d'inflation. I. Le dilemme inflation / chômage : la vision keynésienne de la dépendance des taux d'inflation et de chômage A. Le mécanisme de la courbe de Phillips : une relation négative entre inflation et chômage B. L'arbitrage entre taux de chômage et taux d'inflation effectué par les pouvoirs publics II. L'interprétation monétariste de la relation des taux de chômage et d'inflation : une

literature, Vol 28, No. 4 (1990). L’auteur explique que la macroéconomie a beaucoup évolué ces 20 dernières années, mais que ces changements théoriques n’ont pas eu d’impact sur la macroéconomie appliquée. En effet, le modèle IS-LM augmenté de la courbe de Phillips reste le plus utilisé dans la presse et par les dirigeants pour interpréter les questions de politique économique. Le fait que les évolutions des modèles soient si peu utilisées dans la pratique permet de supposer qu’elles n’ont qu’une

besoins illimités. Hypothèse 3 : les biens sont parfaitement divisibles. 3. Les courbes d’indifférence (CI) Toute la théorie du choix du consommateur peut en fait être formulée en termes de préférences satisfaisant les trois axiomes décrits ci-dessus, plus quelques hypothèses plus techniques. Toutefois, il s’avère commode de décrire graphiquement les préférences en utilisant une représentation connue sous le nom de courbe d’indifférence. Les CI sont le lieu de toutes les combinaisons de deux bien

pauvres » . La courbe de Lorenz . En abscisse , on trouve les effectifs cumulés croissant d'une population (les déciles) et en ordonné , on trouve les effectifs cumulés croissant de la variable étudiée ( salaire , revenus , patrimoine ..) . La bissectrice représente une répartition complétement égalitaire . Plus la courbe s'éloigne de la bissectrice , plus les inégalités sont fortes . Coefficient de Gini . C'est le rapport entre l'aire située entre la bissectrice et la courbe de Lorenz et l'aire

1°choc pétrolier pour être plus précis). Le phénomène de stagflation remet en cause les théories de PHILLIPS qui établissaient une relation entre le taux de chômage et le taux d'inflation. Le chômage baisse lorsque l'inflation monte et vice versa. La courbe de Phillips est remise en cause depuis les années 70 au cours desquelles il a été observé qu'un niveau élevé d'inflation n'était pas incompatible avec une augmentation du taux de chômage. . Aujourd’hui, c’est la déflation qui nous fait peur

passifs et solution LDI retenue........................................................ 54 2.3.1. Etude de cas et retraitement des passifs .................................................................................................... 54 2.3.2. Courbe des taux zéro-coupon et valorisation « marked to market » des passifs ....................................... 56 2.3.3. Notre solution LDI retenue en pratique .......................................................................................

respectant l’échelle (= 1 cm représente 5,6 km sur le terrain). Tracer un axe vertical en respectant l’échelle des altitudes (= 1 cm représente 20 m en altitude). Etape 2 : Placer le bord du papier millimétré le long de l’axe AB. Chaque fois qu’une courbe de niveau recoupe cette ligne AB, marquer le bord du papier millimétré et indiquer l’altitude. Etape 3 : Reporter ensuite chaque point en tenant compte de son altitude. Etape 4 : Relier les points entre eux. Etape 5 :Indiquer sur le profil topographique