Corrigé Questions Sur Antigone

partie de la justice. Le lien entre ces deux aspects est souligné au début du livre. Celui-ci s’ouvre par un dialogue entre divers personnages sur l’essence de la justice. Puis dans les difficultés qu’ont les protagonistes pour répondre à cette question le dialogue s’égard. Toujours pour trouver l’essence de la justice on change d’échelle afin de mieux répondre. Les personnages cherchent maintenant l’essence de la justice au niveau de la cité et non plus d’un individu. « Commençons à chercher dans

interroger sur l'existence et le sens immédiat des liens juridiques qui nous affectent; mais aussi, nous sommes conduits à nous poser des questions qui portent au-delà des préoccupations immédiates ; nous sommes tentés de nous interroger sur le sens, la signification profonde du droit, et plus particulièrement sur les fondements du droit. Ce sont là questions philosophiques. Nous nous questionnerons d'abord sur les raisons d'être d'une philosophie du droit et les principaux problèmes qu'elle devrait

s'exterminent l'un l'autre, le pouvoir est pris par Créon, qui décide que l'un des deux frères était le roi légitime aura droit à des obsèques et l'autre pas. Antigone décide d'enterrer son frère. On l'arrête et elle se justifie avec un Droit qui dépasse le Droit des Hommes. le Droit naturel qui pré-existe au Droit positif. • Question de l'autorité, de la répartition des biens, des impôts, des partages et échanges dont le droit s'occupe. 2. Notion de source du Droit. • par source du droit au

Conclusion : Puisque c'est Athéna qui a été le membres supplémentaire qui a fait penché la balance, la condition d'une justice public c'est l'existence d’Athéna. 2) La distinction entre Dikê et Nomos : C'est dans une autre pièce de théâtre : Antigone de Sophocle. Le mythe est quelque chose qui ne vieillit pas. Déjà au 5eme siècle av JC la pièce est une façon voilé de faire la critique d'un état. Dans le récit d’Antigone, la pièce s'ouvre sur la cité de Thèbes qui a été le théâtre d’affrontement

............. 9 La justice et la loi ...................................................... 11 Justice naturelle, justice légale .................................13 Justice et liberté ........................................................16 La question de la justice sociale ................................19 1. Qu’est-ce qu’un homme juste ? ...................................... 22 La vertu de justice .................................................... 22 Le juste et le justicier ........

......................................................... 9 Justice naturelle, justice légale................................................... 11 Justice et liberté ........................................................................ 13 La question de la justice sociale ................................................ 16 1. Qu’est-ce qu’un homme juste ? ........................................... 19 La vertu de justice....................................................................

l’histoire. Sur 50 doctrines il y a 4 grands courants : o Antique : Cette conception nous vient de la Grèce antique, plus précisément dans la pensé de Sophocle (495, 406 avant JC) Antigone. L’histoire de CREON qui est le roi de THEBES, il a ordonné de laisse le o o o cadavre de POLYNICE sans sépulture. Antigone est la sœur de Polynice, la fille d’Œdipe. Elle décide de donner une sépulture à son frère (qui est considéré comme traitre). « Je ne croyais pas tes édits qui ne viennent que d’un

fciences ; il répondra à mes foins paternels : fi cependant, emporté par la fougue de l’âge & des paffions, il s’écartoit, du chemin que je lui tracerai ; s’il ofoit me défobéir, je lui ferois fentir mon courroux. Il dit, & en même-tems s’imaginant corriger ce fils rébelle, il déchargea un grand coup d’un bâton qu’il tenoit à la main, fur la cruche placée au-deffus de fa tête : la cruche vole en éclats : l’huile coule fur la barbe & fur les cheveux du Santon, qui, revenu à lui-même, voit avec douleur

| • Plus profondément, la justice-vertu a un sens relativement à l’être : un homme parfaitement juste accomplit à la perfection ce pourquoi il est homme. Être juste, c’est être, mais être plus, être mieux, bref, c’est corriger un défaut d’être. Là réside la dimension ontologique de la justice-vertu. Aussi le champ d’application de la justice-vertu s’étend-il à la relation entre l’homme et l’être au sens absolu, c’est-à-dire Dieu. |3 |Eschyle

correctrice. Problème de la loi injuste, non conforme à ce qu'elle devrait être, au cœur de la réflexion classique sur le droit naturel. Cf. Antigone de Sophocle : décret de Créon est bien une loi positive, mais injuste, car contraire à une règle évidemment supérieure (celle qui exige d'enterrer les morts). Texte extrait de L'Ethique à Nicomaque : question de l'inadéquation de la loi et de l'injustice qui peut en découler. Cause du problème dans l'opposition de la loi positive à une norme supérieure