Corrigé Banque Pt

132004-132005-132006-132007-132008-132009-1Indice de solvabilité trimestrielIndice de solvabilité annuel500,0600,0700,0800,0900,01000,01100,01200,0959697989900010203040506070809Coût nominal en €(base 100 : 2000)Coût réel corrigé de l'évolution du pouvoir d'achatCoût réel corrigé de l'évolution du revenu disponible brut |LES RAISONS DE LA RÉSISTANCE DES PRIX À LA BAISSE |Graphique 1 : | |Le crédit immobilier favorable

émis par une banque française. Il peut acheter des titres publics en francs. Il peut effectuer un placement en francs dans une banque américaine (qui ellemême effectuera un placement dans une banque française). Du point de vue économique, ces trois manières de faire sont équivalentes. Or, la Fiche de lecture 231 masse monétaire française, telle qu'elle est définie, augmente dans le premier cas, reste stable dans les deux autres. La position monétaire extérieure des banques françaises est

vérifcation acceptation postérieur (après contrat) de consignes anticoncurrentielles. _ Les relations horizontales : accord repose sur la preuve d’une invitation et d’une acceptation. Pas de contrat forcément mais une déclaration… CJCE 2009 cartel des banques autrichiennes. Elément intéressant dans la facilitation de la preuve, quand commission preuve de la réunion qui a eu objet anticoncurrentiel élément de preuve sur objet de la réunion (contre rendu…). Le simple fait d’avoir participé à cette réunion

pouvoir compter sur l'application de la sanction en cas de méconnaissance du droit. Pour être protégés et pour prévoir le comportement qu'ils doivent eux-mêmes adopter. La sanction permet de gouverner les hommes et permet de se gouverner. Parce que la loi pt être sanctionner, les citoyens anticipent ce qu'ils font. Le caractère étatique de la sanction : Pour qu'une règle soit considérée comme juridique, il faut qu'il y ait un juge étatique. Permet de considérer que la règle est d'ordre juridique. Cela

croissance Le modèle AK (Frankel (1962) et Romer (1986)) Croissance et Éducation Croissance et État Conclusion sur les théories élargissant la notion de capital Le progrès technique (PT) endogène Le PT comme processus de diversification des biens Le PT comme élévation de la qualité des biens La question de l'endogénéité du PT: le débat accumulation du capital vs innovations technologiques et la critique de Jones (1995) F/ AUTRES THÈMES LIES A LA CROISSANCE Le paradoxe de la productivité Croissance et

articles et rapports), des sources et documents utiles (adresses de sites sur internet), des questions de révision et de réflexion, ainsi que des questions à choix multiples (QCM) par chapitre et des tests de QCM couvrant l’ensemble des chapitres (avec corrigés). Liste des chapitres complémentaires : Chapitre A. Le budget de la Sécurité Sociale Chapitre B. Le budget de l’Union européenne Chapitre C. Les fonctions de l’État Chapitre D. La qualité des dépenses publiques Chapitre E. Les principaux impôts Chapitre

2000 ne peut être comparé directement au PIB de la France de l'année 1900 car en un siècle le niveau des prix a considérablement augmenté affectant la valeur des produits le composant. C’est pourquoi on calcule le PIB réel (ou PIB en volume) pour corriger l’effet de l’inflation. Évolution du « PIB par habitant » versus évolution du « PIB » Les économistes préfèrent utiliser l’évolution du PIB par habitant pour mesurer la croissance. Une hausse du PIB ne permet pas nécessairement d’augmenter dans la

sortes de questions en apparence aussi simples que : Qu'est-ce que la monnaie ? une question particulièrement difficile face aux changements institutionnels des dernières décennies (que faire, par exemple, de l'existence de dépôts bancaires dans des banques virtuelles sur l'Internet ?). Quelle est la quantité optimale de monnaie qui devrait circuler dans l'économie ? Quels sont les instruments de la politique monétaire (liquidités, réserves, base monétaire, taux d'intérêt) ? Quelle est la nature des

expliquent pourquoi l'orientation des politiques monétaires a pu changer au cours du temps, à la faveur des revirements doctrinaux.C’est la banque centrale qui conduit la politique monétaire. Progressivement, ce rôle a supplanté les fonctions antérieures de caisse d'émission et de réserve des actifs en or et devises. Les structures institutionnelles des banques centrales ont beaucoup évolué, sous le coup de l'impératif de crédibilité de leur action, en réponse à une nouvelle hiérarchie des objectifs

productivité Une dernière approche pour la modélisation des taux de change accorde un rôle central aux écarts de productivité dans l'explication des mouvements du taux de change réel — défini comme le taux de change bilatéral nominal entre deux pays corrigé des prix relatifs des biens dans ces pays. Dans les modèles issus de cette approche, qui sont fondés sur les travaux de Balassa (1964) et de Samuelson (1964), l'hypothèse de la parité des pouvoirs d'achat est levée et le taux de change réel dépend