Corpus Sur Le Racisme

ailleurs, le sport est un vecteur de paix estime G.Grimm-Gobat . De plus,le sport est également une éducation à la paix , une guerre sans arme estime Pascal Boniface. Le sport peut se présenter sous plusieurs formes. Ainsi, dans les quatre documents du corpus ,le sport est présentée comme une arme politique. Le sport prend ainsi la forme d'un outil politique par ses moyens estime G.Grimm-Gobat. Chez Pascal Boniface, le sport est détourner par les hommes politiques à partir de la première guerre mondiale

des guerriers au siège de Troie ou lors du retour d'Ulysse dans sa patrie. b) La poésie engagée qui cherche à dénoncer une situation insupportable. ex: "Le déserteur", poème de Boris Vian contre la guerre, ou "Lili" de Pierre Perret contre le racisme ou le poème de Hugo contre le travail des enfants extrait de Les Contemplations et qui commence par le vers suivant: "Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit?" c) La poésie satirique qui se moque pour mieux dénoncer: ex: "Les imbéciles

DISSERTATION Vous vous demanderez si le roman a pour vocation de changer la société. Vous répondrez a cette question en vous appuyant sur les textes du corpus mais aussi sur vos lectures personnelles. I) Certes, le roman peut défendre des idées pour changer le monde Le romancier avant d’en être un est avant tout un acteur direct de la société celui-ci a donc une participation et peut observer la société tel qu’elle est réellement il peut donc se faire une idée par lui-même de celle-ci et se

vivant d’une nation métissée, les écrivains beurs vont au-delà des manichéismes. Ils dépeignent des identités protéennes4 en mal d’émancipation, mais enracinées entre l’histoire coloniale et un présent intolérant, voire intolérable. Il s’agit d’un corpus suffisamment large (entre quatre-vingts et cent textes, suivant les critères d’inclusion) pour y déceler des thématiques communes, telles la quête d’une identité hybride du sujet beur douloureusement, mais parfois aussi fructueusement, situé dans

Synthèse Le rire est un mécanisme naturel du corps humain, qui passe par le bruit, les expressions du visage. Il touche l’humanité dans son entier. Mais le rire ne paraît-il pas méchant lorsque nous rions les uns contre les autres ? Le corpus est composé de quatre documents, dont une page de roman, un extrait du rire, une revue ainsi qu’une interview. Nous verrons donc tout d’abord que le rire a un aspect de méchanceté, mais qu’il a également un aspect de gentillesse. Commençons tout d’abord

De fait, à la suite de la publication de ce numéro 13 de Langages, la conception la plus répandue de l’analyse du discours a été celle d’un territoire aux frontières floues où l’on étudiait 1) des textes de tous genres (ce qui tranchait avec les corpus habituels des facultés de lettres), 2) avec des outils empruntés à la linguistique, 3) pour améliorer notre compréhension des relations entre les textes et des situations socio-historiques. Dans cette perspective le terme « analyse » fonctionne comme

est donc un instrument de pouvoir, une arme individuelle et collective (doc 1, 2, 3 et 4) dont les effets peuvent être dévastateurs ou constructifs. - II. Les effets du rire : 1. Les effets négatifs : c’est l’aspect le plus développé dans le corpus 1 - - Le rire a pour effet de nier l’autre, de le déposséder de son moi et de sa personnalité (doc 1, ligne 29 image de la marionnette, doc 2 négation de celui qui n’appartient pas au même monde, lignes 9-10 et 12 à 16 ; doc 3 lignes

De nos jours, le rire est indispensable pour l’Homme mais il peut blesser, humilier, exclure. L’Homme rit surtout sur les personnes étrangères à eux. Pour étudier cela nous nous aiderons d’un corpus de texte composé d’un extrait de roman : Madame Bovary de G.FLAUBERT, de deux articles de presse : « le plaisir de rire » paru dans Multitudes et écrit par Régis TOMAS ainsi qu’un article publié dans libération : « Contrairement à Dieudonné, Coluche n’enferme pas » de Dely DENAUD et pour finir d’un essai

fondamental : c'est pour échapper à un vide existentiel profond que ceux qui rient des autres s'adonnent à ce divertissement, au sens pascalien du terme. Dominique Noguez note à ce titre que le rire "se meut dans les zones tristes de la réalité". Proche du racisme pour Axel Kahn, le rire dès lors joue une double fonction : moyen de dépassement, il est aussi un moyen de rabaissement. Ce serait pourtant se méprendre que de s'en tenir à ces critiques si réductrices quant au rire. Bergson fait à ce titre une remarque

de voir disparaître le judaïsme. >> Une autre facette de la discrimination devait être pour des raisons économiques. << […], car la crainte de la concurrence juive mobilise bon nombre de commerçants et d’artisanats. >> <<Le racisme trouve un large écho chez les intellectuels. >> C’est pour une question culturelle que les intellectuels n’apprécie pas les Juifs, qui non pas la même culture. Le mouvement raciste débute dans les universités. On peut apercevoir dans le film