Corpus Libertinage

Lumières », Pascal présent (1662-1962), Clermont-Ferrand, 1963. EHRARD (Jean), « Un Destin manqué : Vauvenargues», Littérature française, le XVIII° siècle, Paris, Arthaud, 1974, tome I : 1720-1750, pp.131-137. Encyclopédie Universalis, « Vauvenargues », corpus 23, 1995, pp. 372-374. Encyclopédie Bordas, volume X, Paris, SGED, 1994. EXIDEUIL (Pierre), Myrthe de Vauvenargues, Lourmarin, 1933. FAGUET (Emile), Histoire de la littérature française depuis le dix-septième siècle jusqu’à nos jours, Paris, Plon

auteurs tels que Labiche ou Feydeau ont été transposés à l’écran.2 Marcel Pagnol et Sacha Guitry ont aussi apporté une contribution au cinéma de dialogue et à la dramaturgie. D’une manière générale, les adaptations filmiques puisent largement dans le corpus littéraire du XIXe et du XXe siècle, il en sera de même pour les exemples choisis dans notre archipel : Zola, Lampedusa, Roché,… Travailler sur une adaptation d’œuvre littéraire au cinéma est un moyen d’orienter la réflexion des élèves sur les caractères

sur l’intitulé du programme Références bibliographiques Le Mal en GF : introduction un peu fourre-tout et qui reste en surface, mais qui offre quelques bonnes pistes ainsi que des repères de culture générale. Anne Crigon Le Mal, GF collection « Corpus » : une anthologie des grands textes philosophiques sur la question assortis de commentaires introducteurs, le tout précédé d’une introduction philosophique générale au thème. Le mal, éditions Atlande, collection « clefs concours » : l’introduction

mêmes ont leur utilité quelquefois ; mais c'est ordinairement pour remédier à d'autres erreurs, et la vérité vaut mieux absolument. Mais on abuse surtout de cette prétendue nécessité du destin, lorsqu'on s'en sert pour excuser nos vices et notre libertinage. J'ai souvent ouï dire à des jeunes gens éveillés, qui voulaient faire un peu les esprits forts, qu'il est inutile de prêcher la vertu, de blâmer le vice, de faire espérer des récompenses et de faire craindre des châtiments, puisqu'on peut dire

essentielle du mal : le démon. Un appareil théorique essentiellement anthropologique a été appliqué au fait littéraire, précisément à la quasi-totalité des textes poétiques baudelairiens, c’est-à-dire : Les Fleurs du Mal et les Petits poèmes en prose. [À ce corpus textuel donné, strictement poétique, se sont ajoutés, parfois, à titre exceptionnel, des arguments complémentaires, dotés d’une certaine « poéticité », provenant ou de la biographie du poète, ou, surtout, de ses écrits intimes (Mon cœur mis à nu,

culturels ou artistiques, individuels ou collectifs ; – ouverture d’esprit. 39 Programme d’histoire des arts Chapitre 1 La nouvelle réaliste Livre de l’élève, p. 14 à 41 Objectifs du chapitre et compétences mises en jeu Le choix du corpus • Les nouveaux programmes parus en 2008 prévoient la lecture, en classe de 4e, de romans et de nouvelles du xixe siècle. Parmi les nouvelles, deux orientations sont possibles : l’une vers la nouvelle réaliste, l’autre vers la nouvelle fantastique

Bérénice l’accompagne ; Vespasien est empereur. VII. Outre sa cruauté, on appréhendait encore son intempérance, parce qu’il se livrait avec les plus prodigues de ses amis à des orgies qui duraient jusqu’au milieu de la nuit ; et non moins son libertinage, à cause de ses troupes de mignons et d’eunuques, et de sa passion fameuse pour la reine Bérénice[102], à laquelle, disait-on, il avait même promis le mariage ; on appréhendait sa rapacité, parce qu’il était notoire qu’il avait coutume de vendre

l’opposition paternelle, il s’inscrit à l’école de droit et fréquente la société du Temple, qui réunit dans l’hôtel de Philippe de Vendôme, des membres de la haute noblesse et des poètes (dont Chaulieu), épicuriens lettrés connus pour leur esprit, leur libertinage et leur scepticisme. L’abbé de Châteauneuf, son parrain, qui y avait ses habitudes, l’avait présenté dès 1708. En leur compagnie, il se persuade qu’il est né grand seigneur libertin et n’a rien à voir avec les Arouet et les gens du commun. C'est

laisse la parole au héros qui raconte son enfance, son éducation. Si l’intrigue qui ménage bien des rebondissements ne manque pas d’intérêt, c’est surtout l’audace des situations et des discours qui étonnent, amusent et intéressent. Les idées du libertinage érudit, placées dans la bouche d’une vieille mais charmante entremetteuse ou dans celle d’un jeune homme tout tremblant d’avoir enfin dans ses bras la femme qu’il désire depuis si longtemps, prennent un éclat savoureux : n’estce pas cela qui fait

du corps dans l’espace, analyser le comportement humain dans sa relation à la lumière et présente quelques exemples de projets d’architectes et d’artistes plasticiens. Il propose aux enseignants, aux étudiants et élèves de toutes disciplines un corpus de références, des exemples de réalisations permettant d’aborder un langage architectural dont le traitement de la lumière est une des composantes. Il les met en perspective dans le contexte culturel et social de chaque époque en termes d’adéquation