Corpus Le Nez

du trou, bien chaud, douillettement, S'installe le cercueil, le mol éboulement De la terre, édredon du défunt, heureux drille(13),   Tout cela me paraît charmant, en vérité ! Et puis, tout rondelets, sous leur frac(14) écourté, Les croque-morts au nez rougi par les pourboires,         Et puis les beaux discours concis, mais pleins de sens, Et puis, cœurs élargis, fronts où flotte une gloire, Les héritiers resplendissants !(15)  » Paul Verlaine, « L'enterrement », Poèmes saturniens, 1866 Texte 4

l’entrée dans l’écrit mais aussi dans la lecture et plus tard dans l’orthographe. Après le travail oral, le passage à l’écrit de la comptine permet de passer des phonèmes aux graphèmes et des graphèmes aux phonèmes. Les documents présents dans le corpus donné sont de différentes natures : Les documents A et C sont des exemples de comptines pour des élèves de moyenne et grande section. Le document A est un exemple de travail possible sur les rimes effectué par une PE et sa classe. A partir d’une

Question de corpus : Dans ces scènes de duel, quelles sont les caractéristiques du personnage principal ? Texte A : Stendhal, La Chartreuse de Parme, livre premier, chapitre 11, 1839 Texte B : Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, chapitre IV, 1844 Texte C : Guy de Maupassant, Bel-Ami, première partie, chapitre VI, 1885 Notre analyse portera sur différents portraits de personnages lors d'un duel. Dans le chapitre 11 du livre premier du roman de Stendhal, La Chartreuse de Parme, Fabrice

mais !... puisqu'elle est en chemin, Je l'attendrai debout, [Il tire l'épée.] et l'épée à la main ! LE BRET Cyrano ! ROXANE, [défaillante] Cyrano ! [Tous reculent épouvantés.] CYRANO Je crois qu'elle regarde... Qu'elle ose regarder mon nez, cette Camarde ! Il lève son épée. Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais ! Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile ! Qu'est-ce que c'est que tous ceux-là !- Vous êtes mille

du trou, bien chaud, douillettement, S'installe le cercueil, le mol éboulement De la terre, édredon du défunt, heureux drille(13),   Tout cela me paraît charmant, en vérité ! Et puis, tout rondelets, sous leur frac(14) écourté, Les croque-morts au nez rougi par les pourboires,         Et puis les beaux discours concis, mais pleins de sens, Et puis, cœurs élargis, fronts où flotte une gloire, Les héritiers resplendissants !(15)  » Paul Verlaine, « L'enterrement », Poèmes saturniens, 1866 Texte 4

■ Sujet 1 Corpus : - Honoré de Balzac, La Femme de trente ans (1831). - Delly, Comme un conte de fées © Flammarion (1935). - Nathalie Sarraute, Le Planétarium, © Gallimard (1959). Texte A Dans La Femme de trente ans, Honoré de Balzac raconte différents moments de la vie de Julie, l’héroïne. Elle apparaît tout d’abord en 1813, éprise d’un bel officier, Victor, comte d’Aiglemont, qu’elle épousera par la suite et qui, par ses infidélités répétées, la rendra très malheureuse

Dans ce corpus de trois textes intitulés le chef d’œuvre inconnu de Balzac, l’Homme qui rit de Victor Hugo et l’Assommoir de Emile Zola, les narrateurs utilisent différents registres ayant un rôle important dans la compréhension du texte. Dans un premier temps, le narrateur dans l’extrait de Balzac use du registre réaliste ce que confirme la description minutieuse du vieillard. Celle-ci est évoquée par le champ lexical du corps et par les groupes nominaux « un front chauve », « un petit nez », ou

du trou, bien chaud, douillettement, S'installe le cercueil, le mol éboulement De la terre, édredon du défunt, heureux drille(13),   Tout cela me paraît charmant, en vérité ! Et puis, tout rondelets, sous leur frac(14) écourté, Les croque-morts au nez rougi par les pourboires,         Et puis les beaux discours concis, mais pleins de sens, Et puis, cœurs élargis, fronts où flotte une gloire, Les héritiers resplendissants !(15)  » Paul Verlaine, « L'enterrement », Poèmes saturniens, 1866 Texte 4

est elle possible sous le règne de l’ordre et du désordre ? Peut-on associer les deux cas de figures afin de mieux vivre en société? Dans la société règne l’ordre et le désordre. La pire menace pour la vie en société est le désordre. Le corpus de texte proposé donne divers arguments qui justifieraient que le désordre soit une menace pour la vie en société. Tout d’abord, d’après le texte de Sigmund Freud, le désordre est une grave menace car l’homme agit selon ses instincts et ne souhaite

centralLe système nerveux périphériqueSystème nerveux périphérique végétatif autonomeFonctions motrices et moelle épinièreModule 4. Les systèmes sensoriels – 1ère partie (7 heures minimum)La peau, le sens du toucherLa bouche : sens du goût, phonation, Le nez : sens de l’odorat Module 1. Anatomie générale et fonctionnelle – os, moyens d’unions, muscles (14 heures minium) Références : La tête aux pied , Odile Rouquet, 1991, REM, en ligne