Copeland

stocks sur le marché physique. Il peut être apparenté, dans d'autres domaines de la finance, aux dividendes associés à une action, ou aux coupons attachés à une obligation. 6. Une présentation de la théorie des options réelles peut être trouvée dans Copeland et Antikarov (2001), Grinblatt et Titman (2001), Trigeorgis (1999). BIBLIOGRAPHIE Anderson R. (1985), « Some determinants of the volatility of futures prices ». Journal of Futures Markets, 5, 331-348. Brennan M.J. & Crew N. (1997), « Hedging

et dynamique de l’alignement Nihel Jouirou & Michel Kalika Chan, Y. (2002), « Why haven’t we mastered alignment? The importance of the informal organization structure”, MIS Quarterly, vol.1, n°2, Chan, June Y.E., 2002Huff, S.L., Barclay, D.W. & Copeland, D.G. (1997), “Business strategic orientation, information systems strategic orientation, and strategic alignment”, Information Systems Research, 8 (2), pp.125-150 Croteau, A-M (2004), “L’alignement stratégique des TI : un levier d’agilité et de

plus en plus originaux et des slogans accrocheurs.  Communiquer un ensemble d’informations commerciales : la marque, le logo, les promotions éventuelles (réductions de prix, jeux…). II- La classification des produits : En 1923, Melvin T. Copeland proposa l’une des premières classifications des produits dans un optique marketing. Elle est fondée sur la nature du destinataire du bien et les analogies que l’on peut déceler dans les techniques de commercialisation des différents produits.

en plus originaux et des slogans accrocheurs.  II- La classification des produits : logo, les promotions éventuelles (réductions de prix, jeux…). Communiquer un ensemble d’informations commerciales : la marque, le En 1923, Melvin T. Copeland proposa l’une des premières classifications des produits dans un optique marketing. Elle est fondée sur la nature du techniques de commercialisation des différents produits. En fonction de la clientèle finale, on peut distinguer deux grandes catégories

prix acheteurs et vendeurs sur le marché de change résultent dans le fait que la fourchette est influencée par le volume de transaction à volatilité constante (Glassman 1987). En effet, les modèles sur les coûts d'asymétrie tel que celui de Copeland et Galai (1983) tiennent compte du contenu informationnel du volume fournissant une base théorique de ce résultat. Les récentes recherches telle que celle de Bessembinder (1994) montrent que l’impact du volume des transactions prévu et non prévu

d'évaluation : examen mi-parcours : 50 %, examen final : 50% Bibliographie : Y. Simon – D. Lautier. Finance internationale, 9 éd., Economica, 2006 ; Y.Simon-D.Lautier. Finance Internationale. Questions et exercices corrigés. 4e ed. Economica, 2003. Copeland L.S., Exchange Rates and International Finance, FT Prentice Hall, 2005. Eun C.S and Resinck B.G, International Financial Management, Mc Graw Hill, New York, 1998. Mathis J., Marchés internationaux de capitaux, 3ème édition, Economica, 2001. e

nous savons comment la valoriser grâce à la théorie des options (Black et Scholes, 1973, voir chapitre 7). Selon la théorie des options réelles, plus l’incertitude est forte et plus l’option a de la valeur (voir par exemple Avinash et Pindyck, 1995, Copeland et Antikarov, 2001). En réalité, l’abandon du projet accroît sa valeur actuelle nette. Ainsi, il y a plus de valeur à distribuer, et le CR’s peut se satisfaire avec une faible part des fonds propres lorsqu’il abandonne l’option. Cela signifie que

nous savons comment la valoriser grâce à la théorie des options (Black et Scholes, 1973, voir chapitre 7). Selon la théorie des options réelles, plus l’incertitude est forte et plus l’option a de la valeur (voir par exemple Avinash et Pindyck, 1995, Copeland et Antikarov, 2001). En réalité, l’abandon du projet accroît sa valeur actuelle nette. Ainsi, il y a plus de valeur à distribuer, et le CR’s peut se satisfaire avec une faible part des fonds propres lorsqu’il abandonne l’option. Cela signifie que

comptables de performance. En effet, plusieurs études montrent que les cash-flows, qui sont des mesures économiques, sont plus étroitement corrélés avec les valeurs de marché de la firme et ainsi que la valeur actionnariale que les mesures comptables (Copeland et al., 1994). Malgré l’existence d’une littérature abondante qui soutient l’approche de la valeur actionnariale, il y a souvent une confusion quant à la façon de créer la valeur pour les actionnaires et, en particulier, la façon avec laquelle

Security Analysis and Portfolio Management : an Analytical Approach to Investments, New York, Holt, Rinehart and Winston, 1972, pp. 423-445. [4] COBBAUT Robert, Théorie financière, Paris, Economica, Troisième édition, 1994, pp. 51-122, 215-229. [5] COPELAND Thomas E., WESTON Fred J., Financial Theory and Corporate Policy, New York, Addison-Wesley Publishing Company, Third edition, 1988, pp. 77-108. [6] CUTHBERTSON Keith, Quantitative Financial Economics : Stocks, Bonds and Foreign Exchange, John Wiley