Convergence Mercantilisme

n−s z n de la variable complexe z, o` s est un nombre u r´el donn´. e e I.1 D´terminer le rayon de convergence de cette s´rie enti`re. e e e I.2 Dans cette question, z = eiθ d´signe un nombre complexe de module 1. e +∞ I.2.1 Etudiez la convergence de cas o` s ≤ 0. u n=1 n−s z n dans le cas o` s > 1 ainsi que dans le u +∞ I.2.2 Dans le cas o` 0 < s ≤ 1, ´tudier la convergence de u e n=1 n n−s z n pour z = 1. I.2.3 Toujours dans le cas o` 0 < s ≤ 1, on suppose que z = 1. On

l’ étude en supposant x 0 1a) P si x = 0 on a pour tout n , un (x) = 0 donc la série un (0) converge P 1 1 si x 6= 0 on a un (x) n >+1 x n 1+1 . Les séries sont à termes positifs . La série de Riemann n +1 converge car P + 1 > 1 . On a donc la convergence de un (x) . P un converge simplement sur R+ p On peut remarquer que un (1= n) = 1 1 1=2 on a une série de Riemann divergente. +1=2 . Donc pour a 2 Pn P On a trouvé une suite (xn ) telle que u(xn ) diverge . la série un ne converge pas normalement

budgétaires est plus contraignant dans l’UEMOA que dans l’UE. En effet, selon le Pacte de Convergence, de Stabilité, de Croissance et de Solidarité de l’UEMOA, les soldes budgétaires de base des pays membres devaient être nuls ou positifs à partir de 2002 date butoir de convergence. Cependant, en fin 2002, aucun pays n’a pu respecter cette règle de politique budgétaire de sorte que la période de convergence a été prolongée en 2005 puis en 2008 et maintenant en 2013. Ce report successif du délai

♦ 2ème étape : 1994-1998 Convergence des politiques économiques des états membres :Coordination des politiques économiques des états membres. Ils ont cherché à éviter des déficits budgétaires trop importants des fluctuations trop fortes des taux de change, des taux d'intérêt et une inflation trop élevée Respect de critères de convergence Pour participer à l'UEL, c'est-à-dire membre de la zone euro, les pays membres de l'UE devaient respecter des critères de convergence: -stabilité des taux

Espagne -&gt; Elle a rempli les critères de Maastricht pour entrer dans l’euro, avec un plan d’ajustement très strict, qui commençait par le gel des salaires des fonctionnaires et l’assainissement de son économie et qui lui a permis d’avoir des taux de croissance supérieurs à ceux de ses voisins. Il est vrai que tout n’a pas été bien fait et qu’il aurait fallu profiter de ces années-là pour mener les réformes structurelles dont l’économie espagnole avait besoin pour être vraiment efficace. Mais

1/01/99 ; En 97, le traité d’Amsterdam remplace le traité de Maastricht, et adopte le Pacte de Stabilité et de Croissance (PSC). .Pour pouvoir passer à la monnaie unique, les pays membres de l’Union européenne (UE) devaient respecter des critères de convergence (définis par le PSC) : - limitation ou régulation de l’inflation : le taux d’inflation ne doit pas être supérieur de plus de 2 % de la moyenne des pays les plus performants - les taux d’intérêt à long terme ne doivent pas être supérieurs de plus

L’EUROPE MONETAIRE : DU SME A L’UEM I – LE SYSTEME MONETAIRE EUROPEEN Crée en mars 1979, le SME a pour but : « d’instaurer la stabilité de la monnaie et des taux de change en Europe et à plus long terme la stabilité des prix et une plus grande convergence des politiques économiques ». Il repose sur l’ECU et sur le mécanisme des taux de change. A/ L’ECU : UN « PANIER DE MONNAIES » L’ECU constitue la clé de voûte du SME. C’est l’unité de compte du SME. Il est utilisé comme instrument de paiement

monnaie de plus de trois cents millions d'Européens et ce nombre augmentera sensiblement dans les années à venir suite à l'élargissement de l'Union européenne à vingt-cinq pays. Dès que les dix nouveaux Etats membres satisferont les critères de convergence fixés par le Traité de Maastricht, ils adopteront l'euro comme monnaie nationale, posant ainsi un nouveau jalon de l'évolution de l'Union européenne économique et monétaire. Dans ce contexte, la Commission européenne souhaite évaluer tout changement

la zone euro n’ont pas compensé le caractère plus restrictif de la politique monétaire, puisqu’ils se sont engagés dans la recherche de l’équilibre budgétaire (comme le souligne le document 1) dès les années 90 afin d’atteindre les critères de convergence inscrits dans le traité de Maastricht (3% de déficit maxi et 60% de dette publique maxi pour les finances publiques) et être qualifié pour faire partie de l’UEM ! On peut donc considérer que les politiques conjoncturelles durablement restrictives

déclenchement de déficit public excessif (DPE). * Le volet répressif est déclenché, lorsqu’un EM ne se conforme pas aux objectifs assignés par la Commission, qui peut alors engager des sanctions financières contre lui. Le respect des critères de convergence reste aujourd’hui très insuffisant Aujourd’hui, seuls deux pays de la zone euro (Luxembourg et Finlande) respectent le critère de déficit public. Trois EM de la zone euro (Grèce, Espagne, Italie) ont un déficit supérieur à 10 points de PIB.