Contrôle De Constitutionnalité Et Conventionnalité

soulève également une exception d’inconstitutionnalité à l’encontre de cette loi. Le juge administratif, peut-il contrôler la constitutionnalité d’un décret pris en application d’une loi ? En l’espèce, le juge suprême de l’ordre administratif refuse de contrôler la constitutionnalité dudit décret en application de la théorie de la loi écran. En revanche il procède à un contrôle de légalité du décret, en considérant que le gouvernement n’a pas excédé les pouvoirs confiés par le Législateur

juge administratif à l’occasion de son contrôle des actes administratifs. Ø Le juge administratif est gardien de ce principe de légalité à travers le recours pour excès de pouvoir contre l’acte unilatéral. CHAPITRE 1 : LES SOURCES DE LA LEGALITE ADMINISTRATIVE Les sources : Ø Bloc de légalité qui s’impose à l’acte administratif contrôlé Ø Fondent les compétences de l’administration Ø Désignent que le juge administratif utilise pour contrôler un acte administratif Ø Façonnées par le

affirmé la constitutionnalité des droit au regard de la constit. Elle avait examiné une loi qui prévoyait un contrôle a priori des association c'est à dit qu'elle revoyait que l'autorité pouvait déclaré les association illégale. Il dit que cette loi n'est pas conforme à la consti car dans les préambule de la cons il existe une principe de liberté d'association donc la loi ne peut prévoir la constitution de celle-ci. C'est à partir de 1971 que le conseil C a un poids important car il contrôle les lois

Blanco = JA compétent pour les conflits entre administration et les gens · CE, 1875, Prince Napoléon = CE ne peut contrôler des actes du gouvernement · CE, 1907, Compagnie des chemins de fer de l'est = CE contrôle les règlements qui naissent de délégation du parlement Section 2 : Les normes et juridictions administratives I - La hiérarchie des normesA) Articulation règlement –

TD 4 Droit privé Jade LassurguereSérie 2Groupe 04Quels sont les intérêts de l’introduction de la question prioritaire de constitutionnalité dans notre système juridique français ? Ses inconvénients ? Les intérêts de la question prioritaire de constitutionnalité sont multiples. Premièrement, le contrôle de constitutionnalité a priori n’est pas systématique. Ainsi, avant, des lois pouvaient rester en vigueur longtemps tout en étant contradictoire à la Constitution. La QPC permet donc au justiciable

interne. Désormais, et grâce à une évolution progressive du droit international, ce dernier occupe une place de plus en plus importante dans notre droit interne. En effet, ce principe,énoncé par la préambule de 1946, qui fait partie du bloc de constitutionnalité, énonce implicitement la primauté du droit international. Ce qui s'implique à toutes les branches du droit, y compris le droit administratif. Le droit administratif peut se définir comme un ensemble de règles applicables aux activités de l’administration

IVe République) et la Charte de l'environnement de 2004. Cet ensemble constitue, avec les règles, principes et objectifs à valeur constitutionnelle qui ne trouvent pas directement leur source dans un texte écrit, ce qu’on appelle le bloc de constitutionnalité. L’administration désigne la structure créée par l’Etat pour gérer les affaires publiques. Institution publique, elle a en charge l’intérêt général. L’administration détient un pouvoir plus ou moins grand dans chaque société en fonction des

Constitution de 1958. Comment la jurisprudence a donné une force au Préambule de 1946… II. Les mécanismes qui permettent le respect de la Constitution. La question d’effectivité des normes constitutionnelles en droit administratif A. Le contrôle de constitutionnalité des lois. Les développements relatifs à la théorie de la loi-écran→jurisprudence Arrighi de 1936 dont le fondement était la souveraineté de la loi→renouveau de cette jurisprudence avec l’arrêt Deprez de 2005 : le juge administratif se

juridiques de la France. Cependant, l'article 55 n'a pas suffit pour intégrer totalement le droit communautaire et pour régler les relations nationaux avec les institutions communautaires car ces institutions proclament le principe de supra constitutionnalité du droit communautaire, or la France a toujours refusé ce principe voulant protéger son indépendance ce qui a été rappelé dans l'arrêt du 8 février 2007« la suprématie ainsi conférée aux engagements internationaux ne saurait, s'imposer, dans

référence de premier plan (on commence ainsi à introduire l’existence de sources concurrentes). Situation française et droit comparé. De l’Etat légal à l’Etat de droit. Propos sur la common law appréciés (pour comparaison). Norme de référence : contrôle de légalité (organisation, juges : différences selon les Etats, importance dans la protection des libertés : allons pour quelques développements sur le contentieux administratif au besoin) Développements plus spécifiques à la France (bien que