Controverse de Valladolid

réfléchir par leurs propres moyens. Il bouscule l’ethnocentrisme des européens que nous verrons dans la prochaine partie. En effet, à l’époque, les Indiens étaient critiqués, discrédités et évangélisés de force. Nous faisons ici référence à la controverse de Valladolid avec Juan Gines de Sepulveda, homme d’église, partisan de la colonisation des Amérindiens. Les Européens à l’époque des massacres entre protestants et catholiques découvrent cette œuvre de Jean de Léry et en tirent une leçon de

Christophe Colomb ne va jamais retrouver ses prérogatives de vice-roi et de gouverneur. Il mène un quatrième voyage d’avril 1502 à novembre 1504 au cours duquel il découvre le littoral de l’Amérique centrale du Honduras à Panama. Il meurt en 1506 à Valladolid sans être conscient d’avoir découvert un nouveau continent. Mais cette idée se fait vite jour en Europe et en 1507, Martin Waldseemüller publie à Saint Dié une cosmographie dans laquelle il fait apparaître ce monde nouveau qu’il nomme Amérique

faudrait pouvoir comparer ces textes à d'autres récits relatant les mêmes faits ; or, il y a très peu de sources écrites précises, en dehors des évangiles, sur la vie de Jésus. Des textes non bibliques font mention de la présence de Jésus et des controverses qu'il a provoquées au sein du peuple juif, mais rien d'assez complet pour permettre une réelle confrontation avec le contenu des évangiles. On considère comme mineures les éventuelles modifications, volontaires ou involontaires, dues aux traductions

condamner les princes. Toute la démonstration se détruit d’elle-même dans le texte. Par le biais de la « fausse logique », le lecteur doit être convaincu du caractère inacceptable de l’esclavage. Le texte de Jean-Claude Carrière, La controverse de Valladolid (1992), met en scène Sépulvéda et Las Casas. Ce dernier tente de convaincre le cardinal que les Indiens sont des hommes égaux, en rien différent des chrétiens alors que Sépulvéda veut convaincre du caractère d’esclaves des Indiens. Les arguments

peut donc les considérer comme des animaux. Pourtant de nombreux Européens considèrent les indigènes comme des sous-hommes qui ne connaissent même pas les livres sains, et donc ne seraient pas des créatures de Dieux. Grâce à la controverse (discussion philosophique) de Valladolid en 1550, les Européens tirent la conclusion que les Indiens sont des êtres intermédiaires qui sont supérieurs aux animaux mais pas humains pour autant ; les Européens trouvent aussi un compromis qui empêchent la réduction en

Saurel ou Rastignac qui souhaitait se marier par pure ambition 2ième objet d'étude : La question de l'homme Montaigne  « Des cannibales» Rousseau « Discours » Levi-strauss  « Tristre tropiques » J.C. Carrière « La controverse de Valladolid» Montaigne Montaigne est un penseur humaniste de la Renaissance qui eut un rôle important auprès du roi en tant que conseillé. Les Essais est un œuvre de réflexions philosophiques sur lui et l'homme qui expose les idées politiques

culture Doc. 1 : Cécile Elzière, doctorante, Astérix en estonien, http://ressourecs-cla.univ-fcomte.fr/gerflint/baltique2/asterix.pdf Doc. 2 : Georges Minois, Histoire du rire, Paris, Fayard, 2000, p.47 Doc. 3 : Jean-Claude Carrière, La Controverse de Valladolid, Paris, éd.Belfond, 1992 Doc. 4 : Eric Smadja, Le Rire, Paris, PUF, 2003, pp.110 à 113 Doc. 5 : image trouvée sur le net, droits inconnus DOCUMENT 1 Astérix] incarne l’esprit français dans la fonction sociale de l’humour souvent considéré

et plus avant à une conception chrétienne de l’homme. « Créé à l’image de Dieu », l’homme ne saurait être dégradé ou avili, car se serait toucher à la transcendance de son être, et donc à Dieu. Il en a résulté des polémiques comme la « controverse de Valladolid » sur la possible reconnaissance de l’humanité des Indiens d’Amérique, et plus généralement sur le bien-fondé de l’esclavage. Entre religion et morale, le principe a évolué vers une dimension philosophique plus laïque et individualiste incarnée

tumultueux débats en particulier au sein de l'Église catholique espagnole : les colons ont-ils le droit d'exploiter des Amérindiens considérés comme des esclaves (même si l'esclavage des Indiens est officiellement aboli en 1542) ? Lors de la « controverse de Valladolid » entre 1550 et 1551, le Dominicain Bartolomé de Las Casas défend en vain la cause indienne. • La connaissance du monde s'améliore : des missionnaires jésuites portugais fondent une église au Japon à la fin du xvie siècle et en Chine. Les

pouvons dire que l’homme n’est parfois plus un être rationnel, dominé par sa raison, mais qu’il devient un être aveuglé par l’argent. Dans certaines situations, l’or a poussé les hommes à agir contre leur morale. Par exemple, dans le film Controverse de Valladolid de Jean-Daniel Verhaeghe l’appât de l’or pousse les Espagnols à commettre un crime contre l’humanité sous le prétexte de la volonté de Dieu. Nous pouvons nous rendre compte que l’Homme pour avoir toujours plus de richesses invente des raisons