Controverse de Valladolid

affirme : « chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage ».On peut aussi rappeler le combat de Bartolomé de Las Casas, prêtre dominicain qui a défendu les Indiens d’Amérique en refusant de les assimiler à des sous-hommes( cf La controverse de Valladolid)

l’exemple et l’idée des opinions et usances du pays où nous sommes. Là est toujours la parfaite religion, la parfaite police (forme de gouvernement), parfait et accompli usage des choses » (l’ethnocentrisme ( attitude colonialiste (voir la controverse de valladolid). 3. Montaigne ne se présente pas en « donneur de leçons » Leçon de relativisme certes, mais plutôt invitation car jamais Montaigne ne se présente comme donneur de leçon. L'emploi du pronom «nous », principale marque

Bible fait appelle au prosélytisme et à l’évangélisation des peuples. Diderot dans Supplément au Voyage de Bougainville critique et plaint l’audace meurtrière envers les tahitiens qui ne partagent pas la même culture, tout comme dans La Controverse de Valladolid de J-C Carrière où un membre du clergé défend le peuple Indiens d’Amérique comme leur semblable alors qu’un philosophe très croyant les réduit au rang d’animaux sauvages. Dieu, un dictateur ? L’affaire des caricatures de Mahomet remet en

selon lesquelles « l’homme blanc est supérieur à l’homme noir » sont véhiculées depuis de nombreux siècles. Au XVI e siècle se posait même la question de savoir si les indiens avaient une âme avec la controverse de Valladolid. En 1550, le roi d’Espagne Charles Quint convoque cette controverse qui eut lieu13 ans après la condamnation de l'esclavage par le pape (bulle Veritas ipsa du 2 juin 1537). Il y affirmait leur droit, en tant qu'êtres humains, à la liberté et à la propriété. Mais Charles-Quint

suffit juste d’être suffisamment ouvert d’esprit, pour voir toute la culture qu’une personne étrangère peu nous apporter, que ce soit au niveau de la religion ou de la gastronomie, des supertitions ou de l’architecture. De plus, dans la controverse de Valladolid de Jean-Claude Carrière, Las Casas souligne le fait que « nous ne voyons que que ce qu’ils [les étrangers] imitent de nous ! ». En effet, César asservissait les Gaulois car selon lui ils n’étaient que des barbares, sans faire attention à

Commentaire composé : De l’Esclavage des NègresAu XVIIIe siècle naît le mouvement des Lumières. Ce mouvement est tant littéraire que scientifique et sociétal. Les philosophes des Lumières expriment une pensée égalitaire et libertaire afin de réformer la société. L’esclavage prend une place importante dans les débats de l’époque, mais il faudra néanmoins attendre jusqu’en 1848 pour le voir abolir par Victor Schœlcher. De l’Esprit des Lois est un traité publié par Montesquieu en 1748.

Conclusion: L'ironie est omniprésente, la démonstration reprend les arguments que dénonces les esclavagiste, mais en soulignant chaque fois de maniere implicite, incohérent, inadmissible, absurde. Texte 6: La contro de valladolid Theme: génocide des indiens Genre: débat d'indée, controverse Registre: polémique, pathétique. Discours: argumentatif But: dénoncer les chrétiens dans leurs mission évangélisatrice. (XVIe siecle.) Intro: Depuis la découverte des indes, les espagoin, n'on pas cessé d'asservir

l’on considère comme bien plus important que nos différences. Ne laisse en dehors que ce qui n’est pas humain…mais attention, on se rappelle tout de même que la notion d’homme à l’époque de la découverte du nouveau monde est fluctuante cf : controverse de Valladolid. Notons également que le barbare ne peut être un animal ou un non humain. Il s’agit forcément d’un humain mais un humain différent. « Comment peut-on être persans ? » Montesquieu, les lettres persanes. Cela signifie qu’on peut même

réfractaires seront torturés, tués de manière infâme : les femmes seront violés, éventrées lorsqu’elles seront enceintes. Les Espagnols prendront tout ce qui peut être en possession des Aztèques : l’or. Ils s’enrichiront grâce à cette ressource. La Controverse de Valladolid (débat qui oppose le dominicain Bartolomé de las casas er le théologien Juan Ginès de Sepulveda) mettra en exergue la situation des Indiens qui ne sont pas traités comme des humains mais plutôt comme des animaux par les Conquistadores et

tumultueux débats en particulier au sein de l'Église catholique espagnole : les colons ont-ils le droit d'exploiter des Amérindiens considérés comme des esclaves (même si l'esclavage des Indiens est officiellement aboli en 1542) ? Lors de la « controverse de Valladolid » entre 1550 et 1551, le Dominicain Bartolomé de Las Casas défend en vain la cause indienne. La connaissance du monde s'améliore : des missionnaires jésuites portugais fondent une église au Japon à la fin du xvie siècle et en Chine. Les premiers