Controle De La Masse Monétaire Par Le Bceao

seront utilisés dans la suite du texte. Ce sont les bilans des banques, des Banques centrales et des institutions monétaires ; cette expression désigne l'ensemble consolidé des banques et de la Banque centrale ainsi que, dans le cas des statistiques de la BCEAO, de certaines institutions financières (le chapitre 3 fournit plus de précisions sur l'articulation des statistiques monétaires). 1.1. LES BANQUES Les tableaux 1 et 2 de l'annexe présentent les bilans consolidés des banques de l'UMOA et de

*********************** BCEAO *********************** École Nationale Supérieure de Statistique et d’Économie Appliquée (ENSEA - ABIDJAN) Agence Principale de Ouagadougou MEMOIRE DE FIN DE CYCLE THEME : INFLATION ET CROISSANCE ÉCONOMIQUE DANS LES ÉCONOMIES DE L’UEMOA. Présenté par : Sous la supervision de : NIKIEMA Adama Élève Ingénieur Statisticien Économiste M. YAGO Ahmed Racine Ingénieur Statisticien Économiste Fondé de pouvoirs à la BCEAO Agence Principale de Ouagadougou

barrières à la mobilité internationale des capitaux sur le marché mondial. Dans la zone UEMOA, cette mobilité des capitaux est assurée par l’ensemble des systèmes de transfert mis en place par la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), l’organe régulateur des systèmes financiers de l’UEMOA. Ces systèmes de transfert ont connu une évolution remarquable allant des monnaies fiduciaire et scripturale aux moyens de paiement électroniques. La question fondamentale est de se demander

systèmes financiers décentralisés de l'Union Monétaire Ouest Africaine 68 - Instruction n° 026-02-2009 relative aux conditions de mise en œuvre du plan de comptes prévu par le référentiel comptable spécifique des systèmes financiers décentralisés de l'Union Monétaire Ouest Africaine 69 - Instruction n° 030-02-2009 fixant les modalités d'établissement et de conservation des états financiers des systèmes financiers décentralisés de l'Union Monétaire Ouest AfrIcaine 71 - Instruction n°

Avec l’entrée en masse de plusieurs banques privées en Haïti au cours des années 701, il fallait doter le système financier haïtien d’une entité régulatrice : Une Banque Centrale. Créée avec la fission de la BNRH (Banque Nationale de la République d’Haïti) en BNC (Banque Nationale de Crédit) comme banque commerciale et BRH (Banque de la République d’Haïti) en tant que Banque Centrale par la loi organique du 17 aout 1979, elle (la BRH) est responsable de la politique monétaire du pays. La politique

d’autre part d’avoir à notre disposition des éléments essentiels afin de mesurer le niveau de compétitivité de l’économie. Nous verrons que dans le choix du Change (Partie I), la construction d’une zone dumas-00647042, version 1 - 15 Dec 2011 monétaire (zone franc) et la mise en place des principes (Chapitre 1) sont importantes. Nombreux sont les avantages et inconvénient d’un régime de change (chapitre 2). Aussi, dans un régime de change fixe la dévaluation est prise comme une politique de change

contraintes 15 3.1.4. Viabilité et pérennité 16 3.1.5. Finance rurale : situation, contraintes et opportunités 17 3.2. Environnement légal et réglementaire 17 3.2.1. Situation juridique des IMF : problèmes et aménagements souhaités 17 3.2.2. Contrôle et supervision des IMF 18 3.2.3. Dispositifs réglementaires non spécifiques aux IMF 18 3.3. Options du Gouvernement et cadre institutionnel 19 3.3.1. Options du Gouvernement 19 3.3.2. Tutelle des IMF 20 3.3.3. Promotion des IMF 20 3.3.4. Coordination

Introduction générale Première Partie : La gestion des flux bancaires Chapitre1 : La gestion des flux monétaires domestiques et internationaux Introduction Section1 : La gestion des flux monétaires domestiques Section2 : La gestion des flux monétaires internationaux Conclusion Chapitre2 : La gestion des flux de papiers Introduction Section1 : La gestion intégrée des documents Section2 : La gestion des documents d’archives ou records management Conclusion Deuxième partie : la gestion

essentiel que joue la monétique à travers ses supports et ses représentations est d’être : - un intermédiaire fiable des échanges entre : les banques et les usagers - un outil de gestion à distance du portefeuille - garantir la circulation monétaire par cartes interposées - réduire les risques liés à la détention et au transport d’importante sommes d’argent 2- fonction La fonction principale reconnue à la monétique est de mettre en relation un client avec sa banque partout où il se

terme de croissance par rapport aux autres pays du Tiers Monde 1 . La théorie quantitative de la monnaie, plus encore, la nouvelle économie classique, avec la problématique de l’incohérence temporelle de la politique monétaire, ont validé le paradigme inflationniste de la création monétaire ex nihilo. Il ne reste plus aux pays du Sud, étant donné la faiblesse de leur base fiscale, qu’une seule possibilité pour envisager le financement des projets de développement : la mobilisation de l’épargne nationale