Controle De Gestion Des Ong

bord et indicateurs • Le risk management • Le benchmarking Partie III - Régulation et contrôle 1) Les moteurs 2) Les instances de régulation • La loi les Nouvelles Régulations Economiques (NRE) 3) L’instrumentalisation de la RSE • La certification sociale (ou labellisation sociale) • L’audit des rapports de gestion • La notation et l’évaluation extra-financière des performances sociétales • L’Investissement Socialement

Objectif • survol des thèmes en lien avec le management » approfondissement dans les autres cours • intégration des thèmes • liens entre management, autres disciplines, évolution de la société • élargissement du champ du management » ONG, politique, entrepreneuriat social,… M. Gonin, Management 2014 - UniNE 3 Structure • Structure de l’ouvrage – analyse des organisations » ch. 2-7 – les pôles du management: production, produits, Rh, finances » ch. 8-11 – stratégie

internationale. Donc on ne s’intéresse qu’aux principaux acteurs de cette société internationale. C’est tout d’abord l’Etat, c’est lui qui fonde les relations nationales, puis les organisations internationales (c’est à dire intergouvernementale = PAS les ONG), les ONG, les entreprises transnationales. Chapitre 1: l’etat Il est à l’interface entre société interne et société internationale et à ce titre il est le principal acteur des relations internationales. Section 1 : La Notion D’Etat On considère

une dynamique partenariale, dans le but de développer des initiatives pour mobiliser le plus d’acteurs autour des activités. La problématique: 1ère partie: le lobbying: Le lobbying est entré dans les moeurs. Les milieux d'affaires, les ONG et la société civile réagissent de plus en plus vivement quand les décisions publiques mettent en jeu leurs intérêts. Les circuits classiques de représentation et de concertation ne suffisent plus. S'il est possible d'infléchir la décision publique

  Abréviations   RSE : Responsabilité Sociale d’Entreprise ONG : Organisations Non Gouvernementales ISR : Investissement Socialement Responsable ISO : International Organisation for Standardisation ORSE : Observatoire sur la responsabilité sociétale des entreprises RH : Ressources Humaines ICPE : Installations Classées pour la Protection de l’Environnement CSR : Corporate Social Responsability GRH : Gestion des Ressources Humaines OCDE : Organisation de Coopération et de Développement

vies humaines au nom du principe de la souveraineté. Par ailleurs, se pose la question de la légitimité du droit d’ingérence. L’ingérence couvre toute action par laquelle l’extérieur des Etats tiers mais aussi des organisations non gouvernementales (ONG) pèse en général sur un Etat afin d’obtenir tel ou tel comportement dans ce qui est considéré comme son domaine intérieur. En arguant des motifs d’ordre humains, aussi nobles que la défense des droits de l’Homme, la défense des minorités, ou de leurs

pour son bon fonctionnement. Les principales partie prenantes d'une entreprise sont : acteur interne : dirigeants, salariés, employés acteur externes : - clients, fournisseurs, intermédiaires de financement, compagnie d'assurances / - ONG, associations, citoyen d'une collectivité ou l'entreprise exerce son activité, riverains... / - collectivité territoriales / - chambre de commerce et d'industrie (CCI) / - actionnaires. SON CONTENUE : entreprises doivent prendre en compte

• Intensification des campagnes nationales de solidarité (implication des ONG,…) Politique migratoire en faveur du codéveloppement Conférence interministérielle sur la migration et le développement Rabat 10-11 juillet 2006 Objectifs •Jeter les bases d’une coopération entre l’Europe et l’Afrique dans le domaine de la migration •Apporter des solutions concrètes, appropriées et durables concernant la gestion des flux migratoires. Conférence interministérielle sur la migration et

et cohérente des considérations d’ordre social, environnementales et économique dans leur gestion en concertation avec les parties prenantes’  Cette définition permet d’identifier les caractéristiques suivantes : * La RSE est un processus d’amélioration et pas un état. On peut difficilement parler d’une entreprise sociétalement responsable mais bien d’une entreprise qui intègre sa RSE dans sa gestion. * La RSE est un engagement volontaire de la part des entreprises. Elle ne se limite pas

communication, la Banque peut s’appuyer sur un certain nombre de développements positifs intervenus ces dernières années, et notamment sur les réformes institutionnelles visant à accroître l’efficacité opérationnelle de la Banque et à améliorer sa gestion des résultats ; le renforcement de l’assise financière de la Banque, à en juger par l’attribution et le maintien de la cote AAA sur les marchés internationaux des capitaux ; l’appui accru des bailleurs de fonds, au regard du succès de la reconstitution