Contre Révolution Néoclassique

sont suffisamment proches pour pouvoir être considérées comme appartenant à des écoles de pensées. I/ La science de l’accumulation des richesses A. Le courant classique Apparu à la fin du 18ème siècle, ce courant est contemporain de la révolution industrielle permettant à ses économistes d’observer une économie en pleine transformation qui passe de l’artisanat à l’industrie, l’agriculture devant s’adapter à la transition démographique. Principaux ouvrages : • Adam SMITH (1723-1790)

loteries organisées par le roi, des difficultés financières ralentissent les travaux et l’édification du bâtiment s’étale sur plus de trente ans. Elle s’achève en 1789 sous la direction de Rondelet. L’architecture de l’édifice appartient au style néoclassique, qui apparaît à la fin du XVIIIème siècle et s’inspire du style antique. En effet, nous pouvons observer des colonnes corinthiennes aux chapiteaux ornés de feuilles d’acanthe, un porche avec des péristyles, de nombreux bas-reliefs représentant

Cours de base : L’effet de levier de l’endettement et la question de la structure optimale de financement. Pour ou contre Modigliani-Miller ? Donnons tout de go nos conclusions : il n’existe pas de structure optimale de financement : Modigliani et Miller, avec leur théorème, ont sans doute raison. 1 – L’effet de levier de l’endettement L’effet de levier est avant tout une identité comptable : la rentabilité financière (notée rf) des seuls capitaux propres (notés C) apparaît comme une variable

autour tout d'abord de Daniel Bernoulli (créateur dès 1738 du concept fondamental d'utilité), puis de deux Britanniques, Adam Smith et David Ricardo. Les classiques anglais cherchent à comprendre la dynamique de la croissance dans le contexte de la révolution industrielle naissante : ils insistent à la fois sur le rôle du travail dans la création de la richesse (notion de « valeur travail ») tout en soulignant leur attachement au libéralisme économique et leur croyance dans la nécessité d'une forte accumulation

économiques §2. Calcul de l’épargne nationale SECTION 2. L’écart entre l’Investissement et l’Epargne §1. Calcul de l’écart entre l’Investissement et l’Epargne §2. Interprétation et signification de l’écart CHAPITRE III. L’approche classique et néoclassique de l’équilibre macro économique SECTION1. L’approche classique ou le plein emploi § 1 Les hypothèses de base sur le fonctionnement du système économique § 2. Le libéralisme ou le mode de régulation par le marché A. La main invisible d’Adam Smith

père fondateur de la science économique). I – RICARDO ET LES AVANTAGES COMPARATIFS 1. A l'origine de l'analyse de Ricardo : Adam Smith et les avantages absolus Smith, 1776, La richesse des Nations : Période de la révolution industrielle et du décollage économique. Il est contre les idées mercantilistes car pour lui la richesse c'est le travail. A. La valeur travail Le prix d'un bien correspond à la Quantité de travail nécessaire pour le fabriquer. Les prix des biens sont des prix relatifs

la plus importante, qui devient au XX l’orthodoxie dans plusieurs pays. Guillaume  Gloanec,  L1  Économie-­Gestion    TD3  Introduction  à  l’économie     3) XIXème, Néoclassicisme Jevons, Menger et Walras → Révolution marginaliste : donne naissance a cette pensée dominante Idée première de ces 3 hommes : refonder la science économique Mais finalement plusieurs facteurs montrent une continuité de l’économie classique : -­‐ lois économiques universelles -­‐ insistance

RICARDO réclame l’abolition de taxes qui pèsent sur les importations de blé, qui protègent le marché céréalier , les «  CORN LAWS » * MARX :les salariés ne sont pas payés à la hauteur de ce qu’ils produisent. * Néoclassiques contre Keynésiens : J.B SAY (néoclassique)( 1767-1832). Il considère que le revenu est directement lié au mécanisme du marché. Tout revenu est donc la juste contrepartie de la participation à la production. Toute offre crée sa propre demande. Cette conception est remise

réactivités face à la demande. Les nouvelles formes d’organisation du travail dans les entreprises imposent une flexibilité qui se traduit par le recours au travail temporaire ou aux licenciements. L’enjeu des politiques de l’emploi est de lutter contre le chômage en stimulant une croissance riche en emplois. Mais, au-delà de la prise en charge des diverses coûts du chômage (éco, financier, social) , la question est de savoir quel type d’emploi soutenir. I) Le Progrès technique et transformation

Pour Georges Weulersse : « les idées physiocrates ont eu une grande influence dans toute la moitié du 18ème jusqu'à la révolution incluse » En effet les grandes lois libérales votées par l’assemblée ont été inspirée directement par les physiocrates. Pour Blanqui : « à quelques maximes près, la révolution française n’a été que la théorie physiocratique en action ». Passé la révolution les physiocrates sont tombés dans l’oublie auprès des libéralistes sauf auprès de Marx. Les physiocrates affirment