Contractualisation Du Divorce

marquante : * Le nombre de mariage : En 1964, 348000 mariages ; en 2009, 245000 mariages. Ce chiffre est devenu très faible alors même que la population s’est accrue. D’autre part, le nombre de divorce a considérablement augmenté. * Le nombre de divorce : En 1964, 32000 divorces ; 2009, 130000 divorces. La durée de vie d’un mariage est devenue faible, au bout de 3ans 70 % des mariages sont dissous en milieu urbain. * Le nombre de Pacte Civil de Solidarité : En l’an 2000, ont été célébré 10000

droit. Traditionnellement, les rapports entre l'individu et la famille étaient fixés par la loi, or on constate aujd une privatisation de la famille peu à peu envahie par le contrat : on le voit avec le concubinage, avec le divorce par consentement mutuel. Contractualisation de la famille. La famille commence à être organisée par des personnes privées au détriment de la loi. Le d de la famille est nécessaire car rédige les relations au sein de la famille : il organise les relations extrapatrimoniales

DROIT EXTRAPATRIMONIAL 1: Livre : 3e édition va paraitre en janvier Code civil Ne sera pas traité : Le concubinage, La procédure de divorce Intro : Droit de la famille Définition de la famille La famille A. Définition Le code civ ne le définit pas : doctrine ou jurisprudence le fait 1. Le silence du code civ. Il na jamais exister de définition depuis 1804. Mais ce mot est employé dans environ 20 artcl en 1804. Aujourd’hui : 10 artcl.( exple : ARTCL :1815,1817 ; 1397 : intérêt de la famille, 1807

extra patrimonial (droit des relations personnel dans la famille, relation a l’intérieur d’un couple et celle qui se nouent entre parents et enfants) Le droit de la famille a bcp évolué souvent présenté d’ordre public, on parle aujourd’hui de contractualisation du droit de la famille. Et aussi pluralisme du droit de la famille. Avant 1804 : la famille et le droit de la famille était totalement encadré et réglementé par les règles canonique (droit religieux avec un seul modèle de famille : couple

plus le monopole des registres. La révolution française au va instaurer un système laïc dans lequel la question religieuse n’intervient plus. Les structures familiales ont-elles même largement évoluée : hausse du concubinage, développement du divorce, recomposition familiale. Le droit prendra compte de ces statuts différents, et s’adaptera. Les recompositions familiales peuvent bien se passer ou pas par exemple, le droit devra s’adapter. Le cas de l’homoparentalité se pose aussi : comment organiser

Seulement une demi-douzaine d’articles l’emploie : les articles 213, 215, 217, 220, 1397 et 407. D’un autre cote la famille est omni présente dans le Code Civil. Le code organise et réglemente la famille avec une très grande précision. Le mariage, le divorce, la filiation sont traités de façon détaillé. Le droit de la famille n’est traité dans le code que d’une façon individualiste. On entend régler les rapports des particuliers entre eux. Le code n’envisage que très peu l’intérêt de la famille et l’intérêt

d’égalité et de liberté a admis pour la 1ère fois le divorce, le code civil ne l’a autorisé en 1804 que pour des conditions strictes et pas pour longtemps car supprimé au moment de la restauration en 1816 et fut rétabli en 1884 au moment de la IIIe République mais uniquement pour des conditions strictes (fautes). Consentement mutuel seulement en 1975. -le lien de filiation des enfants étaient lui même assez stable car on ne pouvait pas divorcer, ou très difficilement. Il n’était pas indestructible

et légitime qui a disparu avec l’ordonnance du 4 juillet 2005. Par ailleurs le droit a prit en considération le sort de familles qui n’ont jamais été construites sur le modèle classique ou des familles déconstruites à la suite d’une séparation (divorce…). Le droit a essayé d’appréhender les familles monoparentales en terme de logement et d’autorité parentale. b) Les modèles juridiquement ignorés Ce sont les familles recomposées qui sont ignorées par le droit. Il ne veut pas organiser

comportements. On assiste à une accélération, dès les années 60, pour répondre à des principes fondamentaux (égalité (des époux, disparition de l'idée du chef de famille, des parents, des enfants légitimes et naturels...), liberté [libéralisation du divorce dans les années 1970, reconnaissance de quelques effets du concubinage, création d'autres formes du couple (ex. PACS)], sauvegarde des intérêts de l'enfant qui est devenu un objectif primordial du droit de la famille). Des questions nouvelles vont

marié avec une espagnole, veut divorcer. Quelle loi appliquer ? C'est un élément d'extranéité. Le juge doit examiner le contenu du droit étranger qui est applicable. Exemple : Règlement Bruxelles 2 bis du27 novembre 2003, contient des dispositions relatives aux divorces internationaux et à la responsabilité parentales. Récemment, règlement «  Rome 3  » du 20 Décembre 2010, met en œuvre une coopération renforcée dans le domaine de la loi applicable au divorce et à la séparation de corps