Constitution Française Constitution Américaine Differente

l'opinion ». En ce sens, cet figure politique française de la 3ième République nous explique, l'importance d'une section de contrôle, d'un encadrement du pouvoir. Ont peut dés lors comprendre l'importance et la portée de la constitution qui encadre le tout de la vie politique et juridique des démocratie libérales. Il est donc nécessaire de prévoir une instance de contrôle, prévoyant de sanctions en cas de violation des dispositions présenté par la Constitution. Les États libéraux ont donc mit en place

théories du droit naturel moderne, les révolutions américaine et française imposent l’idée qu’une constitution doit assurer la garantie des droits des citoyens => instauration d’un régime démocratique => la limitation des prérogatives de l’Etat => protection des libertés individuelles. À cet égard, la France et les États-Unis d’Amérique, mais aussi le Royaume-Uni, s’engagent dans des voies différentes :  · La Constitution des États-Unis est amendée

une constitution. Cette constitution a vocation d’une part à établir le fonctionnement de l’état, d’autre part à préserver les libertés essentielles. Dans cette optique de protection des droits, on rédige le 26 aout 1789 la « déclaration de droits de l’homme et du citoyen ». Ce texte énonce la nécessité de séparer les trois pouvoirs dans son article 16 (« Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’à point de constitution »).

Cinquième République « Une Constitution, c’est un esprit, des institutions, une pratique » disait De gaulle lors de la conférence de presse le 31 janvier 1964, au Palais de l’Elysée. Le général de gaulle, auteur de cette Constitution avec Michel Debré avait sa propre vision de la République française et de son fonctionnement. Charles de Gaulle, né le 22 novembre 1890, mène une très grande carrière militaire et participe notamment à l’organisation de la résistance française durant la seconde Guerre

L’état, au sens moderne, apparait avec l’institutionnalisation du pouvoir (dépersonnalisation du pouvoir = mouvement qui a vu le pouvoir passé d’une personne physique, le roi, à une institution, l’état.) lors de la révolution notamment la révolution française en 1989. Avant, c’est l’Ancien Régime, du Moyen-âge à la révolution, le pouvoir appartenait au roi qui était donc souverain et donc confondu à l’état, d’ou l’expression « l’état, c’est moi » (Louis XIV). Sous la monarchie absolue, le roi dispose

particulièrement important car c'est de lui que découle désormais le pouvoir politique dont il constitue le support juridique. Ce pouvoir est incarné par un État qui en est la personnification juridique et institutionnel et il est essentiellement régit par la Constitution qui en est l'instrument juridique premier. Chapitre 1 : L'État, personnification juridique et institutionnel du pouvoir politique Le pouvoir politique s'inscrit et s'exerce dans le cadre de l'État, qui se révèle ainsi en être à la fois

histoire constitutionnelle, le principe de souveraineté populaire a été proclamé deux fois «la souveraineté réside dans le peuple» (la 2ème Constitution 1793, la 3ème de 1795) dans la pratique on affirme le principe mais on a pas tiré les conséquences, le mandat impératif est prohibé* dans les Constitution française et d'une manière générale dans les Constitutions occidentales. En 1795, on revient au suffrage censitaire, en opposition du suffrage universelle (symbolique). 2°) La théorie de la souveraineté

pour ma part, qu’il l’a fait définitivement » disait DE GAULLE lors de sa conférence de presse de Janvier 1964 en parlant de la Constitution de 1958. En effet, la Constitution de la Ve République a été adoptée par référendum par plus de 80% des français le 28 septembre 1958 et est toujours en vigueur aujourd’hui régissant la vie politique et les institutions françaises. Au début du printemps 1958, la IVè République est dans sa douzième année, mais, elle n’a plus que quelques semaines à vivre : en

DROIT CONSTITUTIONNEL Le droit constitutionnel relève du droit public. (2ème et 3ème sens) Le terme droit peut avoir 3 sens différents : * le droit est une faculté d’accomplir une action (droit de vote, droit de propriété..) * le droit désigne un ensemble de normes (droit civil, droit administratif..) * le droit est une discipline scientifique (on étudie la science du droit) Le droit est un tronc commun qui se divise en plusieurs branches dont deux branches distinctes : droit public

Jean-Philippe FELDMAN est professeur des Universités en France, et maître de conférences à SciencesPo (Paris). Il est également avocat à la Cour de Paris (Cabinet Feldman). Il a publié La bataille américaine du fédéralisme (Paris, Presses Universitaires de France, 2004), De la Ve République à la Constitution de la Liberté (Paris, Institut Charles Coquelin, 2008) et La famine menace-t-elle l’humanité ? (Paris, JeanClaude Lattès, 2010). Il a préfacé les Ecrits politiques de Thomas Jefferson (Paris,